Ce matin, l’ancien premier ministre du Québec, Jean Charest, a écrit une lettre ouverte à LaPresse pour dénigrer la campagne internationale de désinvestissement des combustibles fossiles. Il critique particulièrement la décision de Concordia de se départir de 5 millions de dollars.
M. Charest est bien connu pour son plaidoyer en faveur de la fracturation, des sables bitumineux et de nombreuses autres politiques environnementales désastreuses. Le fait qu’il s’attaque au mouvement de désinvestissement, particulièrement à Concordia, est un signe que le mouvement gagne en force, en reconnaissance et en notoriété.
Maintenons la pression pour des investissements 100% durables à Concordia et au-delà !