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À l’heure actuelle, au sommet sur le climat à Paris, le nouveau ministre fédéral de l’Environnement, qui représente les Canadiens, s’oppose vivement à tout traité juridiquement contraignant sur le climat. Elle n’a pas de chiffres à présenter sur nos cibles de réduction nationales et n’est pas disposée à restreindre la croissance des sables bitumineux de l’Alberta.
Justin Trudeau a déjà promis d’aller de l’avant avec de multiples projets de pipelines. Maintenant, son gouvernement se sert d’une page du livre de recettes de Harper en refusant systématiquement d’aller au-delà des cibles fixées par les États-Unis.
Selon le premier ministre Couillard, » le Québec a largement fait sa part » pour réduire les GES.
Autrement dit, quoi qu’il arrive à Paris, le gouvernement du Québec refusera d’accroître ses efforts.