[expand title= »1) Décès prématuré dû à la mauvaise qualité de l’air " expanded= »true »]
In 2008, respiratory illnesses were the fifth leading cause of early death across the country, with the exception of Quebec, where they ranked second. third place. A 2021 report shows that Quebec was the province with the second highest number of premature deaths caused by air pollution, with 4,000 deaths. However, the province ranked first in terms of deaths caused by air quality per 100,000 inhabitants, with a rate of 48 per 100,000 en 2016. Le même rapport démontre qu’en 2016, l’Ontario ainsi que le Québec étaient les provinces les plus touchées par la pollution atmosphérique en nombre de décès, notamment dans le corridor Windsor-Québec, où les particules fines en suspension responsables de la pollution de l’air y sont très concentrées. En fait, ces particules fines causent plusieurs problèmes de santé particulièrement une mort précoce chez people with heart and lung problems. The same region also obtained high NO2 - between 5.1 and 12.4 ppb. Visit health effects of NO2 are similar and have a particular impact on the respiratory system.
To find out more about the sources of these pollutants, read 'Air pollution from wood-burning' and 'Burning poor-quality fuels in the shipping industry'.
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[expand title= » 2) Les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter " expanded= »true »]
In Quebec, between 2016 and 2019, greenhouse gas emissions increased by 5 megatonnes, despite a decrease between 2005 and 2015. This equates to a reduction of just 4.4%, while the current trend shows an increase in greenhouse gas emissions in recent years. So, who's to blame?
Since 1990, the industrial sector has reduced its emissions by 7.8 megatonnes, compared with the transportation sector, which has seen an increase of 9 megatonnes. In fact, transportation emissions have increased by 60 % since 1990, and currently account for more than 40 % of Quebec emissions. Il n’est donc pas surprenant que le Plan 2030 pour une économie verte soit axé sur la décarbonisation du secteur.
Le problème, c’est qu’il est axé sur l’électrification des transports (pour en savoir plus à ce sujet, lisez » Plan inadéquat de réduction des émissions « ). Il semble toutefois que les Québécois hésitent à prendre le virage, car le nombre de camions légers sur les routes du Québec a augmenté de 260 % alors que les émissions ont augmenté de 150 %. Malgré l’accent mis par le plan sur la réduction des émissions provenant du transport, rien ne semble inciter à réduire la consommation de ces véhicules énergivores puisque le Québec refuse de limiter la publicité pour les VUS. En l’absence de mesures concrètes, on peut s’attendre à ce que les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter dans les années à venir.
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[expand title= »3) Insufficient emissions reduction plan " expanded= »true »]
The 2030 for a green economy in Quebec vise à aider la province à atteindre ses objectifs de réduction de 37,5 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) par rapport au niveau de 1990 d’ici 2030 et à devenir neutre en carbone d’ici 2050. Cependant, il se concentre sur l’électrification de l’industrie du transport – avec quelques initiatives visant à améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments et à développer les énergies vertes, notamment le gaz naturel renouvelable et d’autres productions de bioénergie. En plus de significantly neglect social reproductionthe plan should only make it possible to reduce emissions by only 15 % from 1990 levels.
De plus, l’électrification des transports n’est pas la « solution verte » que l’on prétend, compte tenu des dommages causés par l’extraction du lithium pour les batteries. Il a été constaté que les émissions de dioxyde de carbone pendant le cycle de vie de la production de véhicules électriques sont environ 60 % higher than during the production of internal combustion vehicles when lithium is extracted to Chinese standards, whereas North American and European standards are less polluting. However, this is not the case, l’extraction d’une tonne de lithium des salines nécessite environ 500 000 gallons d’eau, et l’évaporation nécessaire de l’eau par la suite peut entraîner des fuites de produits chimiques toxiques dans l’air et l’environnement. Pour réduire réellement les nuisances environnementales de l’industrie du transport, il faut investing in public transit, ce qui dissuaderait les Québécois d’utiliser leur véhicule personnel.
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[expand title= »4) Emissions from fossil fuel cars " expanded= »true »]
Quebec's 2030 plan to reduce greenhouse gas emissions is strongly focused on l’électrification de tous les modes de transport (voitures, camions, transports publics). Toutefois, l’interdiction de la vente des neufs à essence ne concernera que les véhicules à usage personnel, et non les vehicles used for industrial and commercial purposes. In 2020, there were over 6,834,681 million vehicles on the road in the province, and less than 2% were electric vehicles. The number of cars is growing faster than the number of people in the city of Montreal. 415,705 people use public transport to get to work, while 1.2 million drive to work.t, many of them coming from the suburbs or islands to work downtown.
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[expand title= »5) Émissions des usines d’aluminium et de ciment " expanded= »true »]
Quebec's industries account for 44 % of the province's greenhouse gas emissions, just behind transportation. Among these industries, cement plants and metallurgical companies, including aluminum smelters, are the biggest polluters.
L’entreprise McInnis Cement has promised que l’usine ne serait pas nuisible à l’environnement, affirmant qu’elle utiliserait moins de carburant et d’énergie par rapport à ses concurrents, mais en 2020, elle est devenue la plus grosse pollueuse de la province, et ce alors qu’elle n’a pas encore atteint sa production maximale. Les émissions de cette industrie ont considérablement augmenté depuis 2016, contribuant à 1,213,002 in tonnes of CO2 in 2020.
L’usine Aluminium Alouette est le plus important producteur d’aluminium de toute l’Amérique du Nord, avec une production de plus de 620 000 tonnes. Par conséquent, elle est également la troisième industrie la plus polluante au Québec (après les raffineries de pétrole), contribuant, en 2020, à 1,124,715 tonnes of CO2.
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[expand title= »6) Manque d’infrastructures permettant de réduire les émissions " expanded= »true »]
In the Quebec's 2030 green plan, les efforts pour réduire les émissions de gaz à effet de serre dans la construction de bâtiments sont limités. Parmi ceux-ci se trouvent des objectifs visant à réduire l’émission de gaz à effet causé par le chauffage des bâtiments en utilisant davantage de gaz naturel renouvelable et en éliminant l’utilisation du mazout, au profit de l’électricité. En termes de matériaux de construction, il est également proposé d’augmenter l’utilisation de bois ou d’autres matériaux organiques (on ne mentionne pas lesquels). Toutefois, il n’est pas question de limiter l’usage du ciment, de briques ou d’autres matériaux dangereux. Aussi, il n’est toujours pas possible de construire une maison ou un bâtiment uniquement en bois, les stationnements souterrains nécessitent toujours l’utilisation de ciment.
Il y a beaucoup d’écoblanchiment qui se produit avec les nouveaux projets d’infrastructure (par exemple le projet Royalmount à Montréal ou le Turcot), où les projets sont considérés comme « verts » en raison de la plantation de végétation et de jardins autour des bâtiments. De plus, le budget déposé en mars 2021 par le gouvernement de la CAQ prévoit des projets d’infrastructures which will require a lot of cement and are not in line with the Green Plan 2030 vision. Moreover, in this budget, 67.9 million dollars over the next 5 years have been devoted to accelerating the environmental assessments, ce qui n’augmente pas nécessairement la rigueur de celles-ci.
Also, l’expansion du système autoroutier comme avec le troisième lien par exemple, contribue à faire augmenter les émissions de gaz à effet de serre en encourageant l’utilisation de la voiture.
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[expand title= »7) La combustion de carburants de mauvaise qualité dans l’industrie du transport maritime " expanded= »true »]
The combustion of low-grade fuel in shipping emits a variety of pollutants. air pollutants, notamment du dioxyde de carbone, des oxydes d’azote, du monoxyde de carbone, des composés organiques volatiles, du dioxyde de soufre, des particules de sulfate, du carbone noir et des particules de matière organique. Ces polluants réduisent la qualité de l’air en produisant des particules et de l’ozone, tandis que les dépôts d’azotes et de soufres contribuent à l’acidification et à l’eutrophisation (see the report here). Black carbon alone has numerous impacts, dont de graves effets sur la santé et la respiration, empêchant la formation de nuages et modifiant ainsi les régimes météorologiques régionaux. Aussi, il accélère la fonte des glaces et de la neige réduisant ainsi l’effet albédo, empêchant les rayons du soleil d’être reflétés vers l’atmosphère entrainant une hausse des températures entravant la santé et la productivité des plantes. Au total, it has a warming effect 4.60 to 1,500 times greater than carbon dioxide. La réglementation canadienne sur les émissions de carbone noir dans l’arctique est insuffisante, il est estimé qu’entre 2024 et 2029, l’usage de carburant à base de carbone noir (HFO) dans les navires devrait augmenter.
Malgré la pollution atmosphérique causée par l’industrie du transport maritime, le Québec insiste du port of Contrecoeur near Montreal, favorisant ainsi la croissance continue de la part du Québec dans l’industrie du transport maritime.
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[expand title= »8) Mauvaise qualité de l’air dans les écoles " expanded= »true »]
Le ministère de l’Éducation a demandé aux écoles du Québec de tester lhe concentration of CO2, afin de vérifier si la ventilation était suffisante pour empêcher la propagation du virus COVID-19. Même si 95% des classes au Québec présentent une qualité de l’air favorable, 2000 classes dans la province avaient encore des taux de dioxyde de carbone plus élevés que la moyenne. Il est aussi reporté qu’environ 30% des classes doivent encore composer avec des détecteurs de CO2 non fonctionnels.
Des groupes d’expert se sont prononcés sur la nécessité des purificateurs d’air pour réduire la transmission de la COVID-19 et affirment que c’est une stratégie efficace dans la lutte contre la pandémie.
Lorsque le niveau de CO2 est plus élevé que 1500 ppm, la qualité de l’air n’est pas optimale et la seule recommandation du gouvernement est d’ouvrir les fenêtres, et ce, même en hiver.
Plus d’informations :
- https://www.journaldequebec.com/2022/01/27/virage-a-180-degres-dun-groupe-dexperts-sur-les-purificateurs-dair
- https://www.journaldequebec.com/2022/02/23/detecteurs-de-co2-a-lecole-5-des-classes-ont-une-mauvaise-qualite-de-lair
- https://www.ledevoir.com/opinion/libre-opinion/674997/libre-opinion-il-faut-miser-sur-la-qualite-de-l-air-interieur
- https://www.ledevoir.com/societe/education/590400/des-tests-secrets-revelent-la-mauvaise-qualite-de-l-air-dans-les-ecoles
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[expand title= »9) La taxe sur le carbone n’est pas assez élevée pour inciter à un changement de comportement " expanded= »true »]
Depuis 2014, le Québec a un système provincial de plafonnement et d’échange avec la Californie connu sous le nom de Western Climate Initiative (WCI) dans lequel le Québec place un plafond sur les émissions maximales, et les entreprises qui le dépassent doivent acheter des crédits carbone pour compenser leur surplus. Le coût minimum d’un crédit est déterminé par le gouvernement, mais le coût réel est laissé aux forces du marché, avec une moyenne de 20.82 per tonne in 2019. In comparison, the new federal tax sera de 50 dollars par tonne en 2022 et augmentera de 15 dollars chaque année jusqu’à atteindre une taxe de 170 dollars par tonne en 2030. Le Québec, qui fait partie de la WCI depuis des années, will be exempt from this tax. This means that Quebec companies, and certainly the general public, will not have the same incentive to minimize their carbon footprint.
Essentiellement, le Québec est laissé tranquille avec son taux d’imposition inférieur à la moyenne. Il est prouvé que le prix sur le carbone n’est pas assez élevé pour inciter à un changement de comportement alors que les émissions continuent d’augmenter, en particulier dans l’industrie du transport (pour en savoir plus, lisez » Les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter « ). Cela s’explique en grande partie par le fait que le système est conçu pour faire peser les coûts sur les industrial companies than on the general public, although Montreal drivers are taxed at a rate of 3¢ per liter. Une augmentation de la taxe sur le carbone pousserait les conducteurs québécois à utiliser les transports en commun ou à acheter des véhicules électriques, ce qui est en fin de compte l’objectif du Plan 2030 for a green economy. Sans un taux de taxation du carbone adéquat, il n’y aura pas d’incitation à un véritable changement.
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[expand title= »10) Urban heat islands " expanded= »true »]
L’effet d’îlot de chaleur urbain se produit dans les villes lorsqu’il y a une faible couverture arborée, des matériaux sombres (comme l’abondance de stationnements) qui absorbent la lumière du soleil et dégagent de la chaleur, et la présence de grands bâtiments qui emprisonnent la chaleur. Les effets d’un îlot de chaleur urbain comprennent une augmentation de la demande d’énergie pour la climatisation, ce qui accroît la quantité de polluants et de gaz à effet de serre dans l’air, une augmentation de la température de l’eau, ce qui affecte les espèces aquatiques, et un impact négatif sur la santé humaine, qui peut entraîner des malaises, de l’épuisement, des problèmes respiratoires et même des décès liés à la chaleur.
L’effet d’îlot de chaleur urbain dans les villes denses comme Montréal, qui peuvent avoir des températures nettement plus élevées que les zones urbaines. Les populations vulnérables qui vivent dans les zones d’îlots de chaleur urbains sont deux fois plus susceptibles de mourir (comme on l’a vu en 2018 où 66 personnes sont mortes en 6 jours de chaleur extrême). Parce que le Québec est construit autour de l’utilisation des voitures, ce type de construction (c’est-à-dire les stationnements ou les voies hautes) piège la chaleur et contribue à cet effet de chaleur. Au centre-ville de Gatineau, les températures sont toujours plus élevées de quelques degrés, car plus de la moitié de la zone (70%) is built of concrete and asphalt. L’ajout d’espaces verts et la végétalisation des zones urbaines can help prevent heat islands from forming.
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[expand title= »11) L’oxyde nitreux des engrais " expanded= »true »]
By 2020, greenhouse gas emissions from carbon dioxide, methane and du protoxyde d’azote ont continué à augmenter malgré la pandémie. Il a été suggéré que le protoxyde d’azote est 300 times more harmful to the climate than carbon dioxide, et sa concentration continue d’augmenter dans l’atmosphère. Près de 70 % de la quantité d’oxyde nitreux ajoutée à l’atmosphère provient de l’agriculture et de l’utilisation d’engrais azotés. Ce problème ne se pose pas seulement en été, mais aussi en hiver, car les bacteria transform nitrates into nitrous oxidex qui est libéré dans l’air lorsque le sol fond.
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[expand title= »12) Réduction de la qualité de l’air due aux routes salées " expanded= »true »]
More 1.5 million tonnes of road salt are used every winter in Quebec. A recent study montre qu’il existe une liaison chimique qui se forme à partir d’une réaction entre un gaz propulseur et le sel de voirie, qui, une fois frappée par le soleil, peut se briser et libérer des atomes de chlore et du dioxyde d’azote dans l’atmosphère (chlorure de nitrile). L’étude a montré que 80 to 100 % nitrile chloride particles analysées provenaient d’aérosols de sel de voirie. En outre, lerwinter salting and sanding residues créent une épaisse couche de poussière et de saleté le long des routes, qui, lorsqu’elle est perturbée par les voitures, peuvent devenir un danger pour la respiration.
This type of salt also has an impact considérable sur les sources d’eaux comme les rivières et les puits d’eaux aux abords des routes, où le sel peut contaminé l’eau et la rendre impropre à la consommation et peut entrainer des dommages sur la biodiversité
Plus d’informations :
https://www.worldatlas.com/articles/the-biggest-environmental-issues-in-canada.html
https://nationalpost.com/news/canada/how-canadas-addiction-to-road-salt-is-ruining-everything
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[expand title= »13) Allocation of free carbon permits to large industries " expanded= »true »]
In the cadre du système de plafonnement et d’échange, les entreprises achètent des crédits de carbone pour compenser leurs émissions excédentaires (pour en savoir plus, lisez « La taxe sur le carbone n’est pas assez élevée pour inciter à un changement de comportement »). Les entreprises achètent des crédits et, par conséquent, leurs produits sont vendus à un prix plus élevé correspondant au coût de production supérieur. Cependant, le Québec attribue des permis de carbone gratuits aux grands émetteurs industriels connus sous le nom d’émetteurs exposés au commerce des émissions (EITE). Il s’agit d’émetteurs dont la concurrence est constituée d’entreprises situées dans des territoires où la réglementation environnementale est moins stricte. Ainsi, ils ne peuvent pas vendre leurs produits plus cher et rester competitive on the market. Aussi, le marché n’est pas assez contraignant pour pousser les entreprises à émettre moins de carbone et les prix pas assez élevés, ce qui nuit à l’efficacité du système de marché de carbone.
Unfortunately for the health of our planet, the EITEs include some of Quebec's biggest polluters, notably aluminum smelters, steel mills, cement plants and pulp and paper mills. Together, these four industries account for 51% of 100 most polluting companies in Quebec et ont été responsables de plus de 13 millions de tonnes d’émissions de CO2 en 2019. À titre de référence, total greenhouse gas emissions in 2017 était de 78,6 millions de tonnes. Cela signifie que les émissions de ces quatre industries en 2019 étaient équivalentes à 16,5 % des émissions totales du Québec en 2017. Une fois de plus, le Québec prouve qu’il est plus attaché à son économie qu’à la protection de l’environnement.
Pour en savoir plus sur les industries polluantes, consultez la rubrique » Émissions des alumineries et des cimenteries « .
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[expand title= »14) Laws are not strict enough to protect people from air pollution " expanded= »true »]
The Montreal Trudeau Airport Pollution Victims se battent pour obtenir une indemnisation en raison des niveaux de nanoparticules métalliques autour de l’aéroport qui étaient plus élevés que ceux du centre-ville. Si les gens les inhalaient pendant de longues périodes, elles pouvaient présenter un risque pour leur santé. Malheureusement, leurs demandes ont été rejetées par la Cour suprême en raison de l’absence de preuves suffisantes.
Un autre exemple d’accusation relative à la qualité de l’air rejetée par la Cour suprême. Le port de Québec et Arrimage Québec ont été poursuivi par des personnes vivant dans la région de Limoilou qui ont déclaré que la poussière causée par les activités portuaires et le déchargement des minéraux causait des perturbations et des inconvénients. L’affaire a été rejetée parce qu’il n’y avait pas de preuve à l’appui de l’origine de la poussière. Also, despite the nickel regulations imposed in Quebec in 2013, no fines or penalties appear to have been handed down. in the Limoilou area, while nickel levels were exceeded on several occasions in the vicinity of the Port of Québec.
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[expand title= »15) L’élévation du niveau des mers " expanded= »true »]
Sea levels are rising. Between 2014 and 1993, sea levels have risen by 6.6 centimetres, et il continue à augmenter d’environ 0,32 centimètre par an. Ce phénomène est en grande partie dû à l’expansion thermique des océans, à la fonte des glaciers et à la fonte de la glace de merwhich are all linked to anthropogenic global warming.
La hausse du niveau de la mer a son lot d’effets au Québec. Par exemple, elle contribue à la shoreline degradation, les maisons des Îles de la-Madeleine étant exposées à l’érosion des falaises. Il en est de même le long de la Gaspé Peninsula. La montée du niveau des mers affecte donc directement le fleuve Saint-Laurent et le risque de voir les berges et certaines îles submergées sera plus fréquent. De plus, avec les perturbations du cycle hydrologique dans son ensemble, qui apportent des précipitations plus intenses, on constate une augmentation de la fréquence et de l’intensité des inondations sur l’Montreal Island. Other possible consequences of flooding include landslides - as of April 30, 2019, spring flooding had already caused 82 landslides in the province. At the same time, 9,070 homes and 273 businesses were flooded, displacing 12,000 people. Comme le niveau de la mer continue de montée et les systèmes hydrologiques à être perturbés, on peut s’attendre à ce que ces effets s’aggravent.
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[expand title= »16) Air pollution caused by wood-burning
" expanded= »true »]
The smoke produced when wood is burned in fireplaces and stoves emits a very strong hundreds of different toxic substances, dont le monoxyde de carbone, les composés organiques volatiles, les particules fines, les oxydes d’azote et les hydrocarbures aromatiques polycycliques cancérigènes (read here about their impact on health). Wood smoke causes about 900 premature deaths per year sur l’île de Montréal. En fait, entre 2002 et 2008, le chauffage résidentiel au bois représentait href= »https://www.environnement.gouv.qc.ca/air/chauf-bois/index-en.htm »>42,7 % des émissions de particules fines au Québec, devançant à la fois l’industrie et le transport.
Visit CAA estime que près de 100 000 foyers de l’île de Montréal sont chauffés au bois, tout comme 20 % des foyers de la province. Le chauffage au bois est à l’origine de 39 % of fine particle emissions in Montreal, ce qui a conduit à l’interdiction en 2018 des appareils de chauffage au bois résidentiels qui émettent plus de 2,5 g par heure. Ainsi, seuls les appareils approuvés par l’Agence de protection de l’environnement sont autorisés, ce qui ne comprend pas devices sold before 2009. Also, it seems that wood heating is becoming increasingly popular. Il est toutefois important de noter qu’à part l’arrêté municipal de Montréal, le reste de la province n’est pas susceptible d’être soumis à la même rigueur. En effet, la quebec law on wood heating only concerns the sale of wood-burning appliances, not their use.
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[expand title= »17) Racisme environnemental influencé par la pollution de l’air " expanded= »true »]
In Montreal immigrant residents suffer from high cumulative air pollution parce que ces zones ont tendance à recevoir peu d’investissements et de services publics et à mettre l’accent sur les espaces verts. Dans les zones les plus défavorisées, la densité de la population a tendance à être plus élevée et la qualité de l’environnement plus faible. Dans les zones où il y a moins d’arbres et moins d’accès aux espaces verts et aux parcs, lrents can be lower and therefore attract low-income earners. One study showed that les personnes vivant dans l’est de Montréal (where the majority of industries are located and, consequently, low-income areas) ont une espérance de vie inférieure de 9 ans à celle des personnes vivant dans d’autres parties de la ville, en raison de l’augmentation de la pollution atmosphérique. De plus, dans Montréal-Nord, seulement 3,9% de l’arrondissement est couvert d’espaces verts comparés à 11,4% pour le reste de la ville de Montréal.
A mapping project, Goodscore, which measures the environmental quality of Canadian streets, a révélé que Toronto, Montréal et Vancouver ont toutes trois des ménages plus pauvres dans des quartiers où la possibilité de marcher est moindre, où le paysage de rue est moins vert et où la pollution atmosphérique liée au trafic est pire. Les conséquences de cette situation sur la santé sont le diabète, la baisse de l’activité physique et de moins bons résultats à la naissance.
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[expand title= »18) L’odeur des décharges d’ordures " expanded= »true »]
Ce n’est un secret pour personne que les ordures dégagent des odeurs nauséabondes, mais pour ceux qui vivent près des décharges, la situation est presque insupportable. Les odeurs des décharges proviennent de la décomposition des déchets. Si la plupart des gaz libérés sont du dioxyde de carbone ou du méthane, ceux qui contribuent à l’odeur putride sont le sulfure d’hydrogène et l’ammoniac, qui peuvent tous deux être détectés par l’homme même à de très faibles concentrations.
Cette odeur a été une source de discorde pour les communautés vivant à proximité des décharges. Une décharge située à Pierrefonds-Roxboro fait l’objet de plaintes concernant l’odeur d’un site local since 1985. After attempts to capture smelly biogasthe site finally closed in 2020 après trente-cinq ans de plaintes relatives aux odeurs. Récemment, le projet d’expansion du LET de Valoris à Bury a fait l’objet d’une opposition citoyenne en raison de sa probabilité d’émettre des foul odors. Le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement s’est d’ailleurs prononcé sur ce projet d’expansion en juin 2021, et a recommandé que le projet pouvait aller de l’avant, mais des craintes subsistent, including the deterioration of Bury and Bégin creeks.
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Energy
[expand title= »19) Une dépendance trop importante à l’égard des hydrocarbures " expanded= »true »]
Visit new Plan 2030 for a green economy se concentre principalement sur l’électrification des transports afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre du Québec. Après l’industrie, le secteur des transports du Québec représente 30 % de l’utilisation finale de l’énergie in 2018, Quebec consumed 165 000 barils d’essence par jour.
Malgré sa tentative d’électrification du secteur des transports, l’histoire récente du Québec ne montre pas de signes d’abandon des hydrocarbures. En 2018, les raffineries du Québec ont eu besoin d’environ 350,000 barrels of crude oil per day. Selon un rapport du Régulateur de l’énergie du Canada, le gaz naturel ne représentait que 14 % de la consommation énergétique du Québec en 2017, contre 40 % pour les produits pétroliers raffinés. Le même rapport révèle que le Québec a consommé environ de 591 millions de pieds cubes de gaz naturel par jour en 2018. Pour avoir une véritable » économie verte « , le Québec doit réduire considérablement sa dépendance aux hydrocarbures, et pas seulement dans le secteur des transports. Des avancées sur ce point ont d’ailleurs été faites avec le récent projet de loi 21 qui vise à interdire la recherche et l’exploitation des hydrocarbures au Québec.
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[expand title= »20) Hydrocarbon transport " expanded= »true »]
Le transport des hydrocarbures peut être très dangereux. N’oublions pas la Lac-Mégantic disaster, lorsqu’un train transportant 7,7 millions de barils de pétrole brut du Dakota du Nord au Nouveau-Brunswick a tué 47 personnes. Un camion-citerne transportant du pétrole de Québec à Ottawa caught fire as recently as April 22, 2021.
As far as shipping is concerned, Quebec's ports see the ingress and egress of 25 million tonnes of crude oil et d’autres produits pétroliers par an, dont 89 % passent par les ports de Québec et de Montréal. Outre le risque de oil spills oil tankers represent 13 % marine emissions dans le monde, soit 114 millions de tonnes de CO2 (pour en savoir plus, consultez la rubrique « Expansion des nouveaux ports malgré la pollution causée par l’industrie du transport maritime »).
Il y a aussi la question des pipelines, qui est étudiée en détail dans la section intitulée « Sécurité des pipelines ». Au Québec, certains des main pipelines comprennent la ligne 9 d’Enbridge d’une capacité de 300 millions de barils par jour, le pipeline Trans-Nord qui exporte 170 millions de barils par jour, le pipeline Saint-Laurent de Valero d’une capacité de 100 millions de barils par jour, et le pipeline Portland-Montréal dont les débits ont chuté en 2018 à 2,5 millions de barils par jour.
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[expand title= »21) Pipeline safety " expanded= »true »]
Bien qu’il existe de nombreuses questions concernant les pipelines, notamment l’engagement du Québec à continuer d’utiliser des combustibles fossiles et les questions relatives aux terres que le pipeline traversera, le principal risque pour la sécurité des pipelines est leur potentiel de fuite. Bien que les sociétés pipelinières soient tenues de concevoir des programmes de protection pour prévenir et contrôler les déversements, ce taux à travers le Canada entre 2011 et 2014 était encore an average of 1,084 barrels per year, soit l’équivalent de deux wagons-citernes. Entre 2004 et 2017, there were 23 spills of refined petroleum products or crude oil in Quebec alone. No, this number is not decreasing over time: 55 % Quebec pipeline incidents entre 2008 et 2018 se sont produits en 2017 seulement. À l’hiver 2021, Ottawa a annoncé qu’il investirait 500,000 $ in drone manufacturing by Flyscan Systems pour aider à détecter les déversements de pipelines. Cet investissement a été dépeint comme un pas vers une reprise verte, mais il ne fait que soutenir l’utilisation continue des pipelines. Pour éliminer les risques de déversement, les pipelines doivent cesser de fonctionner.
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[expand title= »22) Insufficient use of biomass " expanded= »true »]
In 2011, 42 % du potentiel total d’énergie biomass-derived potential was realized, most of which came from forest biomass: the potential developed for residential firewood, wood processing waste, slash, pulp and paper waste and spent liquor was, respectively, 100 %, 89 %, 0 %, 63 % and 100 %. On the contrary, the energy potential of biomass urbaine (eaux usées municipales et déchets ménagers putrescibles) et de la biomasse agroalimentaire (déchets de culture, fumier, carcasses, et plus encore) n’a pratiquement pas été exploité. En 2020, la biomasse ne représentait que 7% of Quebec's national energy production . In the meantime, oil and natural gas représentaient 50% de ses sources d’énergie. Par ailleurs, en 2019, 1.5 million tonnes of organic waste été envoyé à l’enfouissement, malgré les objectifs visant à réduire cette quantité à zéro d’ici 2020, even though the percentage of organic matter has increased in recent years. Il y a encore beaucoup de travail à faire pour augmenter l’utilisation de la biomasse au Québec, et se concentrer sur la biomasse urbaine et agroalimentaire est un excellent point de départ.
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[expand title= »23) Manque d’investissements dans les énergies renouvelables " expanded= »true »]
Bien que la quasi-totalité de l’énergie au Québec soit produite par l’hydroélectricité, les Québécois sont encore très dépendants du pétrole utilisé dans l’industrie et les transports. L’énergie est responsable de 70 % of greenhouse gas emissions in Quebec.
From sources d’énergie supplémentaires seront nécessaires au Québec à mesure que les besoins en énergie augmenteront, surtout en hiver lorsque la demande d’électricité augmente et avec l’émergence des véhicules électriques. Il est peu probable que l’on continue à construire des barrages hydroélectriques, car ils sont beaucoup plus coûteux que les autres sources d’énergie renouvelable. Le solaire et l’éolien sont des options de productions d’énergies à partir de sources renouvelables intéressantes pour le Québec. Avec toutes ces preuves menant vers l’énergie renouvelable, le gouvernement Legault finances a gas pipeline project qui promeut la fracturation du gaz naturel comme moyen de réduire les émissions de gaz à effet de serre, croyant que l’électrification est plus difficile à réaliser. Pourtant, l’exploitation du gaz naturel par fracturation émet du méthane qui est un gaz à effet de serre 30 fois plus puissant que le CO2.
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[expand title= »24) Refusing to withdraw from fossil fuels " expanded= »true »]
L’Université McGill refuse de se désinvestir du secteur des combustibles fossiles. Les étudiants font pression sur ses banques (dont le Conseil d’administration de l’Université est dominé) pour qu’elles retirent leurs investissements dans les combustibles fossiles et en particulier, dans les sables bitumineux, and on the Board of Governors, which is invested in fossil fuel-intensive industries.
Des pressions s’exercent sur la province de Québec pour qu’elle se dessaisisse de l’énergie fossile à mesure que s’intensifient les effets de l’acidification des océans causée par la combustion de combustibles fossiles. Aujourd’hui, Fossil fuels account for 1% of the Caisse de dépôt et placement du Québec portfolio, which is equivalent to $4 billion.. Cependant, la Caisse s’est engagée à se débarrasser de ces investissements d’ici la fin de l’année 2022, afin d’éventuellement atteindre la carboneutralité de ses investissements d’ici 2050.
Plus d’informations :
https://climatejusticemontreal.ca/campaigns/follow-the-money
https://www.facebook.com/DivestMcGill/
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[expand title= »25) Delay in the construction of biomethane projects " expanded= »true »]
As early as 2005, Quebec recognized the dangers of methane emissions from landfills and has created programs to reduce or recover biogas emissions. En 2011, le Québec s’est fixé comme objectif de détourner tous les déchets organiques de l’enfouissement d’ici 2020. 10 ans plus tard, 1.5 million tonnes are still eliminated. In 2019, the biofuel production ne représentait que 7 % des sources d’énergie du Québec. Ces chiffres sont beaucoup trop faibles.
More recently, new biomethane projects have begun to emerge. The new Coop Agri-Énergie Warwickconstruction of which began in 2020, is expected to produce 2.3 million m3 of renewable natural gas. Visit CBAQ currently under construction, will process 86,000 tonnes of food residues and 96,000 tonnes of biosolids per year from 2023. L’usine de Rivière-du-Loupalready in operation, produces around 3 million m3 of liquefied biomethane per year. Even taking into account the recent spike in new biomethane projects and Quebec's investments in the field, plusieurs villes de la province, comme Montréal, trainent dans l’avancement de certains projets de biométhanisation.
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[expand title= »26) Manque d’efficacité énergétique dans les bâtiments " expanded= »true »]
The carbon footprint of buildings has increased over the years, since 51 % buildings de la province dépendent de l’utilisation d’énergies fossiles. Dans les bâtiments commerciaux et institutionnels, 46% de l’énergie consommée était de source fossile. Ce pourcentage élevé est lié au code du bâtiment énergétique du Québec qui, jusqu’en 2020, n’avait pas été mis à jour depuis 1983. Selon les experts, les bâtiments en verre sont l’un des principaux responsables des émissions de gaz à effet de serre dans les centres urbainsdue to the quantity of‘énergie nécessaire pour les refroidir. De plus, l’utilisation de refrigerants, especially in air conditioning consomme énormément d’énergie et pose un défi considérable pour la réduction de la consommation d’énergie dans les bâtiments. Ainsi, une baisse de consommation d’énergie fossile est possible dans le secteur du bâtiment en améliorant les stratégies de climatisation, en optant pour des matériaux de construction plus écologiques tels que le bois et en instaurant des normes environnementales strictes.
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[expand title= »27) Interest in new hydroelectric dam projects " expanded= »true »]
A projet d’Hydro-Québec (une ligne de transmission de 100 km proposée de l’Estrie au Maine) devrait commencer sans consultation des Premières Nations. Les risques que cela peut avoir sur la Coalition Innu-Atikamekw-Anishnabeg sont qu’il y a eu plusieurs cas d’inondation sur leurs terres à cause des barrages. La montée des eaux endangers their hunting and transportation traditions. A referendum held in Maine put the project on hold.
Le Québec est également très en retard dans l’application des lois de sécurité visant à contrôler les inondations printanières et à gérer le débit des rivières, même si les dommages causés par les inondations peuvent être très coûteux – rappelons l’inondation du Saguenay in 1996, which cost the province more than $1.5 billion in repairs.. Bien que les barrages hydroélectriques soient une source d’énergie renouvelable, les coûts environnementaux d’une inondation causée par un barrage sont importants. Lorsque des zones d’arbres, de tourbières et de sols sont détruites, le carbone stocké se décompose, ce qui libère du CO2 et du méthane dans l’atmosphère. Le coût environnemental de l’inondation d’un barrage, qui provoque la rapid decomposition of plantsis l’augmentation des niveaux de mercure in fish, which can have a negative impact on human health.
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[expand title= »28) Lack of availability of electric cars " expanded= »true »]
In 2015, Quebec planned to put 100,00 electric vehicles sur les routes d’ici 2020. À la fin de 2020, 92,000 electric vehicles were purchased, ce qui s’explique en grande partie par le coût de possession d’un véhicule. Les véhicules électriques ne représentent moins de 2 % of all vehicles purchased in the province, ce qui peut être lié à l’offre limitée et aux modèles de véhicules. L’offre limitée signifie également que les Québécois doivent être placés sur une liste d’attente several months to a year before they can get their electric vehicle. This situation will be problematic in the years to come, as Quebec plans to d’interdire la vente de tous les véhicules à essence d’ici 2035.
The problem in achieving these objectives is that le coût de fabrication d’un véhicule électrique est supérieur au bénéficewhich may not be worth it for these companies.
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[expand title= »29) Lack of availability of charging stations for electric vehicles " expanded= »true »]
Although Québec is le chef de file canadien en matière d’immatriculation de véhicules électriquesThere is a lack of charging stations for these vehicles: 6295 terminals pour l’ensemble de la province, dont 462 rapides, et ce en date de 2021. Il y a encore beaucoup de recherches à faire pour rendre ces stations plus accessibles et pratiques pour les consommateurs. En 2018, le Québec a modifié le code de l’électricité to oblige builders to include EV charging wiring in homes, and to offer rebates to existing homes wishing to install them. However, older existing buildings peuvent ne pas disposer de l’infrastructure permettant l’installation d’une station de recharge.
Parts of the province, such as l’Abitibi-Témiscamingue, explorent les possibilités d’obtenir des autobus électriques. Cependant, en plus des coûts d’un autobus électrique, l’infrastructure pour les stations de recharge n’est pas encore disponible ou fiable pour en faire une réalité.
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[expand title= »30) Emissions from oil refineries " expanded= »true »]
La majeure partie de l’essence consommée au Québec est raffinée dans la province. En 2017, les émissions de gaz à effet de serre du Québec provenant du secteur pétrolier et gazier étaient de 2.1 MT CO2e. Two refineries (Valero Energy and Suncor Energy) represent 10 % of industrial greenhouse gas emissions. Suncor a récemment investi plus d’argent pour augmenter sa capacité de production à 203 000 barils par jour d’ici 2021, puis pour l’améliorer afin d’ajouter potentiellement de 20 000 à 30 000 barils par jour d’ici 2024-2025, ce qui augmenterait encore les émissions. Ironiquement, le directeur du développement durable de Suncor a été nommé » champion du climat » et a été félicité pour avoir fait progresser le Canada vers des émissions nettes nulles, malgré l’augmentation de la production de la société pétrolière.
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Food and Agriculture
[expand title= »31) Les impacts de l’élevage intensif " expanded= »true »]
In Quebec, there are more than 10,075 cattle farmshalf of which are dairy farms, making Québec the largest producer in Canada. Although beef production in the province represents 4 % of Canadian production, veal production represents 80 %. La production de bétail nécessite d’énormes quantités de terres pour la production d’aliments pour les animaux, et est susceptible d’être cultivée en monoculture, ce qui peut causer l’érosion du sol et avoir des impacts négatifs sur l’écosystème du sol.
Quebec milk producers ask farmers to de cesser d’enrichir l’alimentation de leurs vaches avec de l’huile de palme, ils demandent également au gouvernement d’interdire l’importation de produits laitiers où il y a eu des traces d’huile de palme dans l’alimentation animale. Although this has been going on for more than ten years (pour fournir aux vaches un supplément d’énergie), le ministre de l’Agriculture a affirmé qu’il n’était pas au courant de cette pratique. L’ingestion d’huile de palme dans leur alimentation peut provoquer des maladies cardiaques chez les vaches, mais on sait très peu de choses sur l’impact sur les animaux. La principale préoccupation concerne l’impact de la production d’huile de palme sur l’environnement et la façon dont elle influence la vie des populations autochtones dans différentes parties du monde. De plus, le principal impact environnemental de l’élevage bovin est l’émission of methanewhich is a natural by-product of feed digestion formed in the intestinal tract of cows. According to a 2015 report, plus de 27 % des émissions de méthane du Canada proviennent de l’agricultureMost of these emissions are attributed to cows.
In 2022, Québec was the world's leading pork producer, représentant 40% de l’abattage de porcs au Canada. A 4,000-pig barn is to be built at Maricourt ce qui inquiète les citoyens sur la qualité de l’eau dans la région. Producers want to avoid a BAPE evaluationThis would jeopardize their profit potential. More recently, the Quebec government has authorized a piggery project in Saint-Adelphe comptant plus de 12 000 bêtes, et ce sans une évaluation du BAPE, ce qui soulève certaines craintes parmi les citoyens. Certains des risques associés à la production porcine sont la propagation d’agents pathogènes et de maladies comme les cas de grippe porcine qui peuvent infect people living near pig farms, such as workers. Raw, untreated livestock waste is commonly used as fertilizer to grow food for human consumption. However, the méthodes d’élimination du fumier sont mal surveillées et documentées, ce qui peut entraîner des problèmes de santé tels que la contamination de l’eau potable par la bactérie E. coli.
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[expand title= »32) Soil degradation " expanded= »true »]
La dégradation des sols est un problème mondial. Les pratiques agricoles industrielles favorisent la monoculture, qui produit un meilleur rendement, mais nécessite davantage de travail du sol (voir la section « Monocultures »). Or, le labourage weakens soils and increases the need for chemical pesticides. In fact, the United Nations has found that, if farming practices remain unchanged, the planet's topsoil will have been depleted. gone in 60 years. C’est un problème que nous constatons déjà au Québec.
Visit black earth du Québec, responsable de certains des meilleurs rendements du pays, s’érode à un rythme de 2 cm par an, ce qui ne laisse que 50 ans avant qu’elle ne disparaisse. Les experts accusent les pratiques agricoles et l’étalement urbain, qui ont détruit 528 square kilometers of natural land in southern Quebecwhere the black earth is concentrated. To make matters worse, soil degradation releases greenhouse gases and leads to the disappearance of wetlands.
Une technique agricole connue sous le nom d’agriculture régénérative s’est avérée capable d’améliorer la santé des sols, mais les sociétés d’agriculture industrielle semblent y résister, car elle pourrait réduire leurs profits.
Find out more about l’agriculture régénérativeclick here :
– L’agriculture régénératrice pour les cultures
– L’agriculture régénératrice pour les bovins
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[expand title= »33) L’utilisation des pesticides " expanded= »true »]
Le glyphosate, un ingrédient commun de l’herbicide Round Up, utilisé sur les cultures de maïs, de soja et de canola au Canada, a été associé à des cancers, à l’infertilité et à des maladies du foie. Malgré les risques associés au glyphosate, il n’a été interdit qu’au Québec dans l’industrie forestière et continue d’être utilisé en agriculture. Santé Canada, qui n’a identifié « aucun risque majeur » lié à cet herbicide, a continué d’en homologuer l’utilisation pendant encore 15 ans. However, since glyphosate has been banned in many European countries, Canada finds it harder to export its products (en particulier les produits céréaliers), d’autant plus que de plus en plus de personnes exigent un environnement sans glyphosate. En raison de l’utilisation continue du glyphosate sur les cultures, les mauvaises herbes ont développé une résistance à cet herbicide. Au Canada, plus de 75 weeds have become resistant to herbicides, ce qui peut entraîner une perte de rendement et la nécessité d’utiliser davantage de produits chimiques, ce qui peut être très coûteux pour les agriculteurs.
L’utilisation du glyphosate ainsi que d’autres pesticides, dont l’atrazine et les néonicotinoïdes, a été constatée dans près de 100 % samples taken from rivers near agricultural farms in Quebecc. De plus, la présence de certains de ces pesticides dépassait la quantité « normale » pour la qualité de l’eau. Dans des rivières comme la Yamaska, la Mascouche ou l’Acadie, les chercheurs avaient découvert 20 to 30 types of pesticides, many of which could be harmful to the aquatic life that resides in these watersand the flora and fauna that depend on them. Despite the harmful effects, Health Canada n’a pas imposé d’interdiction sur les pesticides comme le néonicotinoïde parce qu’il estime qu’il ne présente aucun risque pour la santé humaine et l’environnement.
Recent studies have shown that the cause of Parkinson's disease (which affects one in 500 people in Canada) is linked to long-term exposure to pesticides, notably paraquat (used to kill weeds) and chlorphrifos (used to kill insects). Le nombre d’agriculteurs québécois qui développeront la maladie de Parkinson devrait doubler d’ici 2040. Despite these risks, Prime Minister Legault n’a pas interdit l’utilisation des pesticidesHe believes that the issue needs to be examined in greater depth before the government can take action. However, many Quebec municipalities, such as Laval and Montréal ont interdit l’utilisation et la vente de plusieurs pesticides, dont les glyphosates.
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[expand title= »34) La pollution de l’eau par l’agriculture " expanded= »true »]
Phosphorus is commonly found in fertilizer and manure, deux éléments courant dans l’agriculture québécoise. Les pluies peuvent transporter le phosphore vers les eaux avoisinantes, un phénomène appelé » fertilizer runoff « , qui peut entraîner l’eutrophisation (pour en savoir plus, consultez les sections » Dégradation des lacs » et » Diminution de la biodiversité des lacs « ). Essentiellement, l’augmentation des nutriments stimule la prolifération des algues, qui créent à leur tour des environnements hypoxiques connus sous le nom de zones mortes.
Unfortunately, Quebec is a très gros utilisateur d’engrais, surtout par rapport au reste de l’Amérique du Nord avec very permissive phosphorus standards. L’indulgence de la réglementation est largement due au fait que les fabricants d’engrais ont des sièges à la table des décisions. Les effets sont mesurables. Entre 2017 et 2019, les neuf stations d’analyse le along the St. Lawrence River ont signalé plus de 10 % d’échantillons contenant des concentrations de phosphore supérieures aux lignes directrices, dont six ont signalé de 50 % des échantillons. Entre Saint-Augustin et Saint-Charles, le lac Saint-Augustin est classé comme étant eutrophe, tandis que les six autres lacs sont mésotrophes à mésos-eutrophes (à mi-chemin de l’eutrophie). La qualité de l’eau continuera de se dégrader si les règlements sur l’agriculture ne sont pas renforcés, ce qui est peu probable avec des chercheurs de profits à la table des décisions.
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[expand title= »35) Agricultural land dezoning " expanded= »true »]
In Quebec, the agricultural land accounts for only 2 % of the province's land mass. Malheureusement, il y a une énorme demande de rezonage des terres agricoles pour des ensembles résidentiels, des projets économiques, l’occupation de terres par des non-agriculteurs, etc. Les sociétés de développement ont tendance à construire sur des terres agricoles parce que c’est moins cher que de décontaminer des terres industrielles. What's more, there's less land available, le prix de l’hectare des terres agricoles a augmenté de façon spectaculaire au cours des dix dernières années, passant de 6 280 à 21 446 dollars en 2015. Ce chiffre continue d’ailleurs de monter alors qu’en 2019, où en Montérégie-Est, le prix moyen d’un hectare était de 36 098$. Les risques associés à cette situation sont qu’une fois que les terres agricoles cultivables ont été pavées, il faudrait plusieurs siècles pour que le sol se régénère. The municipality of Neuville (popular for its sweet corn) risked losing 50 % of its farmland. pour faire place à des projets d’ensemble résidentiel. Bien que le projet ait été refusé, il existe un risque continu pour les agriculteurs, qui même si une petite partie de leurs terres était dézonée, cela pourrait avoir un negative impact on production rates and farmers' capacities. In 2019, a residential project has been proposed to build 28,000 new housing units on over two square kilometers of the last remaining agricultural land in Charlesbourg, Quebec. Bien que l’Union des producteurs agricoles du Québec fasse pression sur la ville pour qu’elle se concentre sur des projets de développement dans des zones déjà zonées.
Au début de l’année 2021, Google a annoncé qu’il construirait son premier centre de données canadien à Beauharnois sur 62,4 de terres actuellement zonées à des fins agricoles. The Québec government will grant 3,54 $ à l’Union des producteurs agricoles afin de relocaliser l’activité agricole on equivalent land owned by Hydro-Québec and adjacent to the proposed construction project.
Plus d’informations :
- https://www.ledevoir.com/opinion/idees/601259/idees-google-et-le-probleme-de-62-hectares
- https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1792024/google-centre-donnees-informatiques-beauharnois-terres-agricoles-quebec?depuisRecherche=true
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[expand title= »36) Monocultures " expanded= »true »]
Over the past 50 years, thehe size of Canadian farms has almost doubled, but crop diversity has decreased. Farmland is mainly dominated by four crops: soybeans, wheat, rice and corn. In Quebec, in 2016 it was reported that 4 million tonnes of maize were grown (up from 250,000 tonnes in 1973) and over 800,000 tonnes of soya (up from 50,000 tonnes in 1990) - exporting 75 % of their harvest. Because these four crops are considered to be monocultures nécessitent souvent de grandes quantités de produits chimiques qui sont nocifs pour l’environnement. These crops nécessitent plus d’engrais pour compenser la perte plus importante de nutriments, plus de pesticides en raison d’une augmentation des problèmes de parasites, et nécessitent plus d’eau que les cultures diversifiées en raison de la réduction de la rétention d’humidité du sol. D’autres problèmes liés aux monocultures sont la rs biodiversity, habitat fragility and the use of heavy machinery. qui compactent les sols moins organiques et favorisent l’érosion des sols. In addition, the land becomes less fertile, ce qui rend très difficile la croissance d’autres cultures sur le même sol.
En raison de l’utilisation d’engrais et de pesticides, de nombreux insectes et oiseaux sont menacés par la limitation des sources de nourriture et la production de monocultures elles-mêmes ne laisse pas beaucoup de possibilités d’expansion de la biodiversité.
Malgré l’impact environnemental des monocultures, les aides publiques (including farm loans, stabilization insurance and crop insurance) ont permis aux monocultures d’exister au fil du temps. Des propositions ont été faites pour diversifier les terres agricoles canadiennes, mais aucune n’a eu la même valeur financière que les monocultures, c’est pourquoi elles continuent d’exister.
Plus d’informations :
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[expand title= »37) Lack of greenhouse production capacity " expanded= »true »]
Over the past ten years, greenhouse vegetable production has increased in Canada, but Quebec accounts for only 7 % of greenhouse surface area, contre 70 % en Ontario. En raison de ce faible pourcentage, il est difficile pour le Québec d’être compétitif. Pour que ces productions aient du succès, il faudrait que le gouvernement accorde des crédits d’impôt. Most of these greenhouses produce tomatoes, peppers and cucumbers. Although Quebec can produce tomatoes in sufficient quantities, il est peu probable qu’il puisse fournir des fruits tropicaux, des légumes ou des bananes, du moins pas de sitôt. Si les Québécois veulent manger des produits locaux et de saison, ils devront prendre ce qu’il est possible de produire. En plus des serres, le Québec needs to make greater use of crops grown under cover, ce qui convient bien à la production de carottes, de pommes de terre et d’oignons, et permettra à la province de prolonger les saisons de croissance.
Le risque de produire des fruits et légumes toute l’année est de savoir si la production to support the local market or whether it will be exportede. Pour certaines cultures, comme le chou, la production québécoise ne correspond pas à la consommation et est donc exportée. Cependant, la production d’épinards ne répond qu’à 17 % de la demande, tandis que celle de fraises en satisfait 44 %.
De nombreuses serres de la province dépendent encore des gaz combustibles fossiles pour chauffer et éclairer leurs installations. En 2020, une proposition a été faite pour que la réduction du tarif de l’électricité de 0.10 $ to 0.0559 $ pour l’éclairage photosynthétique et le chauffage des serres, soit élargie à plus de 1000 serres au Québec. Cette décision contribue à stimuler la croissance de l’industrie. Le coût de l’électricité est l’une des principales raisons pour lesquelles un grand nombre de producteurs de serres ne fonctionnent pas en hiver en raison des coûts élevés de l’électricité. More research needed on how to modernize companies, et aussi offrir une formation pour avoir plus de spécialistes capables de gérer une technologie de pointe. Un autre défi, alors que la production en serre augmente au Québec, est le manque de personnel. Beaucoup de gens de la région ne veulent pas travailler dans les serres à cause des bas salaires, alors le Québec embauche des gens de l’étranger. Malheureusement, during the COVID-19 pandemic, there were many difficulties for people traveling to Quebec.
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[expand title= »38) L’inaccessibilité aux légumes biologiques " expanded= »true »]
Grâce aux mesures incitatives provinciales qui permettent de payer les producteurs agricoles pour qu’ils convertissent leurs terres en production biologique, le nombre d’agriculteurs biologiques au Québec est passé à 2337 en 2019, soit le plus élevé de tout le Canada. L’agriculture biologique consiste à produire des aliments sans utiliser de produits chimiques fabriqués par l’homme (c’est-à-dire des pesticides et des engrais). Cependant, l’utilisation de fumier en agriculture biologique peut être un facteur de propagation de bactéries comme E. coli et la salmonelle. Over the past ten years, Canada has seen more recalls of organic products due to these factors.
Un autre problème lié aux aliments biologiques est qu’ils sont généralement plus chers que les produits non biologiques (entre 20 et 60 %). L’augmentation des prix s’explique par l’absence de produits chimiques dans la production, ce qui entraîne un coût plus élevé pour les agriculteurs. De plus, pour que les produits puissent recevoir une certification biologique de l’Agence canadienne d’inspection des aliments, l,un des facteurs est que les vendeurs, les transporteurs et les agriculteurs doivent s’assurer et prouver que leurs produits biologiques n’ont pas été en contact avec des produits non biologiques pendant le stockage ou le transport. Bien que la demande d’aliments locaux soit en hausse au Canada, de nombreuses personnes ont tendance à price over product et à acheter un produit importé, car il est généralement moins cher. Il existe également une concurrence entre les produits étiquetés » biologiques » et » naturels » qui peut semer la confusion chez les consommateurs. Les producteurs de produits « naturels » ne sont pas tenus de respecter les mêmes normes que les agriculteurs biologiques et can therefore sell their products more cheaply.
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[expand title= »39) Lack of adequate farmer representation " expanded= »true »]
Le Québec n’a qu’une seule organisation qui représente ses producteurs agricoles. L’Union des Producteurs Agricoles représente environ 42,000 Quebec farmers, all forest producers and representing 90 local sections, 12 regional federations, 130 unions and 26 specialized groups. C’est le seul organisme officiel qui parle au nom de tous les producteurs agricoles et forestiers du Québec. Tous les agriculteurs du Québec ont l’obligation de payer une cotisation à l’UPA. Under Bill 85, if a farmer does not pay this contribution, il n’obtiendra pas son remboursement d’impôt foncier. Ce modèle de monopole est unique au Canada et n’existe nulle part ailleurs dans le monde. Le problème d’avoir un monopole des syndicats est qu’ils favorisent les plus grandes fermes qui ont de grandes échelles de production ou qui ont de grandes quantités pour l’exportation. Les quotas imposés par l’UPA sont trop chers pour les petites exploitations qui viennent de démarrer, et le financement agricole n’est accordé qu’aux agriculteurs ayant une production à grande échelle. Alors que les gens ne veulent pas mettre fin à l’UPA, ils veulent la diviser en plus petits syndicats pour donner à d’autres producteurs, plus locaux, une chance d’être compétitifs. Bien que le gouvernement du Québec cherche à être plus autosuffisant, surtout à la lumière de la pandémie de Covid-19, ce sera difficile si le monopole de l’UPA subsiste. Selon le cofondateur de l’Union paysanne Roméo Bouchard, en 1985, la province était autosuffisante à 80 %, mais en raison de la perte de nombreuses petites fermes sous l’UPA, ce chiffre a considérablement diminué pour atteindre 30 %. Un autre facteur négatif du monopole de l’UPA serait sa concentration sur l’exportation de produits agricoles subventionnés (such as pork in Quebec), which also reduces food sovereignty and increases dependence on food imports.
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[expand title= »40) Choosing companies over family farms " expanded= »true »]
Quebec's current agricultural laws discourage small-scale local farming and pave the way for factory farms. Act respecting the protection of agricultural land and agricultural activities y parvient de deux façons : L’article 28 interdit la division d’un seul lot et l’article 29 interdit la division de deux lots contigus. Cela signifie qu’une petite section d’un lot cannot be sold même si la zone n’est pas utilisée, car cela entraînerait la division du lot. Cela signifie également que, lorsqu’un propriétaire achète deux lots voisins, même s’ils sont divisés par une route ou une rivière, ils deviennent merged forever et ne peuvent être divisés à l’avenir, conformément à l’article 28.
Cela illustre la préférence du Québec pour les grandes exploitations agricoles industrielles et rentables. Par exemple, lorsqu’un agriculteur de Sainte-Anne-de-la-Rochelle a tenté de vendre l’érablière située sur sa terre, n’ayant pas pu atteindre le quota. The MRC concerned refused the request, car elle s’inquiétait du potentiel de rentabilité d’une entreprise sur un si petit terrain.
Pourtant, le Québec devrait faire ce qu’il peut pour soutenir les agriculteurs locaux. De manière générale, les exploitations familiales sont habituellement more sustainable que l’agriculture industrielle, car elles ne sont pas uniquement motivées par le profit. En outre, en tant que province qui s’est toujours engagée à créer des emplois pour ses citoyens, il semble logique de soutenir les agriculteurs locaux plutôt que de se concentrer sur les fermes industrielles. Le projet de loi 103 voté en 2021 permet le morcellement des terres, This would make it possible to reduce the size of farms in favor of emerging agricultural activities and family farms.. Cependant certains craignent que cela accélère l’étalement urbain and is therefore calling for guarantees that the land parcels will be used for agricultural production.
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[expand title= »41) Trade agreements discourage local production " expanded= »true »]
Québec is involved in several trade agreements which reduce or completely eliminate tariffs. These agreements are based on free trade, which encourages countries to invest in products for which they have a strong market position. comparative advantage (produits qu’ils peuvent produire à un coût inférieur à celui des autres pays en raison de bassins de main-d’œuvre spécialisée, de l’abondance des ressources, de facteurs climatiques, etc.) L’objectif du libre-échange est donc de rendre disponibles le plus grand nombre de produits au moindre coût. Ce qui, à bien des égards, décourage la production locale du Québec.
Between 2009 and 2013, Mexico increased its blueberry production of 537 %. Unlike Quebec, whose short growing season en raison de notre climat frais, le Mexique peut produire des bleuets toute l’année, ce qui les rend compétitifs par rapport aux bleuets du Québec. Le même type de concurrence existe entre le Québec et l’Europe for cheese production. Imports of this kind, with no trade barriers to level the playing field, make Quebec products more expensive and, in the end, Canadians tend to choose Quebec products. l’option la moins chère, même si elle n’est pas locale. Cela oblige les agriculteurs québécois à augmenter leur rendement au of pesticides or to receive compensation from the government, ce qui n’est pas une solution à long terme – il est absurde de réduire le coût des produits pour le public puis de compenser les agriculteurs avec l’argent des contribuables. En fin de compte, les accords de libre-échange affectent notre food sovereignty et ne profitent qu’aux entreprises.
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[expand title= »42) L’élevage des animaux à petite échelle n’est pas autorisé " expanded= »true »]
Au Québec, le système de quotas empêche l’élevage d’animaux à petite échelle. Le système de quotas est basé sur la gestion de l’offre, qui fixe des limites à la production pour s’assurer que l’offre répond à la demande (pour en savoir plus sur la gestion de l’offre au Canada, cliquez here). Les quotas s’appliquent au with chicken, eggs, turkey and milk without which they cannot be sold. Quebec farmers can be exempt from these quotas if their production is low enough - farmers can produce 99 chickens, 99 laying hens and 25 turkeys without quotas. Unfortunately, ces nombres sont trop faibles pour pouvoir vendre et faire des profits en tant qu’agriculteurs artisans. One farmer says his family eats 60 to 70 chickens, and the rest is spent on dinners with friends, making it virtually impossible to make a profit.
In addition, there are also minimum quotas for those who produce beyond the quota-free limits. These quotas are limited, often unavailable and incredibly expensive. In 2017, the minimum quotas were 775 chickens, 300 turkeys if outside the centralized sales system, whose quotas sold for 900 $ for 75 chickens and 500 $ for 6 turkeys. Note that the minimum chicken quota was 7750 before 2010, and due to strict quota transfer policies, ano new small farmer n’était entré avec le nouveau quota de 2010 en 2017 (lisez plus sur le système de quotas du Québec here). Ce système de quota limite donc les pratiques d’élevages à petite échelle.
Les faibles limites d’exemption couplées aux quotas indisponibles (et, par conséquent, coûteux) découragent directement les petits élevages. De plus, l’UPA, qui est le seul syndicat représentant les agriculteurs québécois, favorise la production à grande échelle en finançant les grandes exploitations agricoles (pour en savoir plus, lisez la section « Monopole des syndicats »).
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[expand title= »43) Manque d’investissements dans la recherche et le développement " expanded= »true »]
L’agriculture québécoise peut bénéficier de la recherche et du développement pour rendre ces pratiques plus durables. Par exemple, les céréales doivent être séchées avant d’être stockées pour éviter qu’elles ne pourrissent. De nombreux agriculteurs québécois dépendent encore du propane pour le séchage des grains, comme on a pu le constater lors de la CN strike in 2019, alors que les agriculteurs risquaient de perdre leurs récoltes. Cependant, penser que notre production de céréales dépend des hydrocarbures nous rappelle notre » surdépendance aux hydrocarbures » (lire à ce sujet la rubrique » Énergie « ). En attendant, d’autres technologies de séchage des grains existent, comme le séchage naturel à l’air and the solar grain drying.
Les tracteurs québécois ont peut-être eux aussi besoin d’un nouveau départ. Outre l’achat de tracteurs électriques entièrement neufs, dont le coût peut osciller autour de 100 000 $, des recherches peuvent être menées en vue d’une éventuelle conversion des tracteurs diesel à l’électricité. Même le nouveau tracteur John Deere alimenté par câble offre de nouvelles perspectives sur l’avenir de l’agriculture durable en abandonnant la batterie au lithium (pour en savoir plus sur les dangers de l’exploitation du lithium, lisez « Plan inadéquat pour réduire les émissions de gaz à effet de serre » et « Impacts environnementaux sous-estimés des véhicules électriques »).
L’avènement des automatic weeders peut réduire la nécessité d’utiliser des herbicides en éliminant efficacement les mauvaises herbes sans avoir recours à la main-d’œuvre. Ceci est bénéfique, car les mauvaises herbes peuvent devenir herbicide-resistant with continuous use, and they are also toxiques pour les humains et l’environnement.
Dans l’ensemble, le Québec pourrait bénéficier de la recherche et du développement en agriculture pour en faire une industrie plus durable.
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[expand title= »44) Les OGM développés dans l’intérêt des entreprises " expanded= »true »]
A genetically modified organism (GMO) est une plante ou un animal (ou un autre organisme) dont les gènes ont été modifiés en laboratoire pour former un nouvel organisme qui n’existe pas dans la nature. Au Québec, les trois principaux OGM sont le maïs, le soya et le canola. Depuis 1999, la production de chacun d’entre eux au Québec a augmenté, le canola et le maïs génétiquement modifiés représentant la quasi-totalité de leur production à l’échelle de la province. L’un des principaux avantages présumés des OGM est la possibilité d’augmenter le rendementThis can lead to lower feed costs. This is achieved by increasing resistance to viruses and tolerance to herbicides and pesticides. However, according to a 2016 report, les avantages présumés ne se concrétisent pas. Tout d’abord, il n’y a no evidence that GMOs have increased yields. Proof or not, food prices continued to rise. to increase dans tout le Canada depuis l’introduction des OGM. Ainsi, les OGM n’ont pas réussi à réduire les prix des aliments. De plus, la vente d’herbicides à travers le pays increased from 199% between 1999 and 2016. Not only are herbicides (and pesticides) mauvais pour l’environnement et pour la santé, mais ils peuvent entraîner l’apparition de mauvaises herbes résistantes aux herbicides, ce qui se traduit par une diminution du rendement et une augmentation des coûts (pour en savoir plus, consultez la rubrique » Utilisation des pesticides « ).
En outre, l’industrie manque de transparence. Premièrement, lorsque de nouveaux OGM arrivent sur le marché, les tests de sécurité sont effectués par les companies themselvesand not by Health Canada. Secondly, thee labels are not required to distinguish between GMOs, although 88 % of Canadians want the opposite.
Bien que d’autres avantages potentiels puissent découler des OGM à l’avenir, comme l’augmentation de la teneur en nutriments, la réduction des allergènes et l’amélioration des systèmes de production alimentaire, il semble que les OGM soient principalement destinés à un usage commercial pour le moment et improve their resistance to herbicides and pesticides.
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Waste
[expand title= »45) Manque d’infrastructures pour les déchets " expanded= »true »]
Quebec's waste management infrastructure is insufficient to deal with the waste generated in a sustainable manner. To begin with, Nunavik communities have to deal with several infrastructure constraints, comme le manque de routes pour acheminer les déchets recyclables de village en village ou encore un manque de ressources humaines pour s’occuper des opérations de recyclage. Il n’y a pas d’incinérateurs et donc les déchets sont brûlés à ciel ouvert et aucune étude n’a été faite afin d’observer les impacts de ces pratiques sur l’environnement et sur la santé des habitants à proximité d’où les déchets sont incinérés. Ainsi, le Québec devra investir dans l’infrastructure des déchets dans le Nord s’il veut vraiment réconcilier les deux communautés.
De plus, le Québec manque cruellement d’infrastructures de recyclage. Jusqu’en 2018, le Québec exportait 60 % of its recyclable materials to China - only 40 % were recycled in the province. China has refused to continue à accepter les expéditions en partie parce que les déchets y étaient souvent mélangés. Cela signifie un manque de sensibilisation (ou un manque d’incitation) aux bonnes habitudes de recyclage des Québécois. Les hazardous materials found at a recycling center in Gatineau. What's more, in 2019-2020, 1.2 million tonnes de matières recyclables ont plutôt été envoyées à l’enfouissement. Cela signifie également un manque d’infrastructures au Québec pour traiter les matériaux recyclables ici. Après le refus de la Chine d’accepter les envois, Montréal s’est tournée vers de new markets en Asie, notamment l’Inde, l’Indonésie et la Corée, pour y expédier des matériaux. En quelques mois seulement, près de 8,000 tonnes of materials that would normally have been shipped to China.
Bien que l’accent soit généralement mis sur les zones densément peuplées, il est évident que le Québec manque d’infrastructures de gestion des déchets essentielles sur l’ensemble de son territoire. Pour faire une différence significative à l’échelle mondiale, le Québec devra investir dans de nouvelles technologies pour traiter ses propres déchets. Cela permettra au Québec d’être responsable de ses déchets et, espérons-le, d’encourager la réduction des déchets à la source.
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[expand title= »46) Dépendance excessive à l’égard de programmes de recyclages défaillants " expanded= »true »]
Avec l’arrivée sur le marché d’un si grand nombre de nouveaux types de plastiques et de matériaux, il devient de plus en plus difficile pour le consommateur moyen de savoir ce qui va dans la poubelle de recyclage et ce qui est à jeter. Il y a également un lack of standardization and responsibility with individual brands qui ajoutent des étiquettes et des allégations sur leurs produits, mais n’ont pas de certification par une tierce partie, ce qui signifie que ce qu’elles prétendent être recyclables peut en fait ne pas être accepté par certaines installations de recyclage. L’étiquetage des produits est également préoccupant, car les programmes de recyclage individuels peuvent choisir de ne pas recycler certains matériaux (même s’ils précisent qu’ils sont recyclables) ou ne pas être en mesure de le faire pour diverses raisons, ce qui fait que les produits sont jetés à la poubelle.
Parce que les gens sont confus, ils finissent par jeter tout ce qu’ils trouvent dans les poubelles en supposant que cela sera trié par quelqu’un dans les installations de recyclage plus tard. De nombreuses personnes au Québec pensent qu’il incombe aux installations de tri de passer en revue les articles et de décider de ce qui peut être recyclé, ce qui permettrait de garantir que sur les 485,000 tonnes of materials sent to plants, 18 % rejected, sorted or not recycled. The problem with this approach is that mixing recycled (or dirty) products can cause contamination that can ruin pounds of recyclable materials.. Bien qu’il ne soit pas le plus élevé sur l’échelle des taux de contamination pour le recyclage résidentiel au Canada, the Montreal rate is 7.3 %. Les groupes environnementaux soulignent que l’industrie du recyclage devrait réintroduire the concept of separation of recyclable materials by citizens to facilitate sorting at recycling facilities and reduce the risk of contamination. Cependant, à Montréal, ce processus a été arrêté il y a des décennies parce qu’on croyait qu’en faisant en sorte que les citoyens jettent tout dans un seul bac, on encouragerait les habitudes de recyclage dans la ville.
Studies have shown that 926,000 tonnes of recyclable materials sont consommées chaque année dans les foyers, mais que plus d’un tiers de ces matériaux sont jetés à la poubelle. Les raisons en sont que les gens ne s’en soucient pas, qu’il est trop difficile pour eux de recycler, ou qu’ils savent que de nombreux objets ne seront pas recyclés de toute façon. En conséquence, les déchets s’accumulent dans les décharges, sont brûlés ou s’ajoutent aux îles qui sont déjà pleines de déchets plastiques. Le problème des matériaux recyclables qui ne sont pas éliminés correctement est qu’ils peuvent se retrouver dans des endroits où ils devraient être, comme le bord de la route. Un agriculteur du Grand-Saint-Esprit constate une augmentation des canettes et des bouteilles en métal jetées dans ses champs par les automobilistes. These fields are the crops used to feed his cows, which, if not collected, can be harvested, chopped up and fed to the cows, which can be fatal for the animals.. Although fines do exist, elles ne sont peut-être pas assez élevées pour décourager l’augmentation des déchets jetés à l’extérieur des voitures.
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[expand title= »47) Lack of composting " expanded= »true »]
Quebec's composting rate is discouraging. By 2020, 1.5 million tonnes of organic waste ont été envoyées à l’enfouissement malgré le plan du gouvernement visant à ce que ce nombre atteigne zéro d’ici là – ce qui équivaut à 60 % of provincial waste. Ce n’est pas étonnant, alors que seulement 57 % of Quebecers had access to food waste collection services. Visit 2018 data show that only 31 % of organic waste is composted. Excluding the residential sector, only 5 % des déchets organiques sont compostés. Aussi, le secteur des matières résiduelles fut responsable d’environ 5.8% of GHG emissions in Quebec. Il s’agit d’une préoccupation majeure.
Currently, the waste sector emits 4.55 million tonnes d’équivalent dioxyde de carbone chaque année et est le cinquième plus grand contributeur des provinces. Un nouveau plan vise à rendre les services de food waste collection accessibles à tous les Québécois d’ici 2025 afin d’éliminer 270 000 tonnes d’émissions de gaz à effet de serre par an d’ici 2030. Il s’agit d’un objectif extrêmement important, car l’envoi des déchets organiques dans les décharges est harmful to our climatet : dans les décharges, les déchets organiques en décomposition produisent du méthane, un gaz à effet de serre 20 fois plus puissant que le dioxyde de carbone. Toutefois, on observe que bien que les services de déchets alimentaires sont de plus en plus disponibles, la mise en application des pratiques de compostage par les citoyens n’est pas suffisante, comme dans les écoles, où bien que des bacs de compostage soient disponibles, aucune formation n’est donnée sur les façons appropriées de composter. Enfin, pour réduire efficacement nos émissions de gaz à effet de serre, le Québec devra s’attaquer à la pollution causée par l’élimination inefficace des déchets.
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[expand title= »48) Insufficient infrastructure for processing single-use plastics " expanded= »true »]
In Canada, more than 3 million tonnes of plastic waste are thrown away every year, ce qui représente une perte de valeur de près de 8 milliards de dollars et un gaspillage énorme de ressources précieuses et d’énergie. Seulement 9% of plastic waste discarded in Canada is recycled, le reste finit à la décharge. En 2018, Montréal a interdit les sacs en plastique à usage unique, mais a opté pour des sacs plus épais à un coût plus élevé. Cependant, malgré ce changement, les comportements n’ont pas changé un 70% plus de plastique fini à la décharge à cause de l’épaisseur des sacs. À Chambly, la municipalité a rédigé une proposition visant à interdire les plastiques à usage unique, mais aussi les bouteilles en plastique de moins d’un litre. Le risque de cette interdiction est la perte de ventes, les clients qui veulent acheter ces bouteilles en plastique have to go to another municipality to do their shopping, which would reduce Chambly's revenues.
Due to the COVID-19 pandemic, qui a nécessité l’utilisation d’un plus grand nombre de produits à usage unique – notamment le retour des sacs en plastique (en raison des restrictions de nombreux magasins qui interdisaient l’utilisation de sacs réutilisables), le Québec a reculé dans l’atteinte de ses objectifs de réduction des déchets. Une étude réalisée en 2020 a montré que, bien que les Canadiens soient toujours conscients des impacts environnementaux liés aux plastiques à usage unique, 29% of people said they had consumed more single-use products during the pandemic. In addition, en 2019, 72 % des personnes souhaitaient une interdiction totale des plastiques à usage unique, alors qu’en 2020, le soutien à cette interdiction a chuté à 58 %. La plupart des gens pensent que le pays devrait attendre que la pandémie soit complètement terminée avant de placer de nouvelles interdictions sur les plastiques à usage unique. Il est proposé que l’interdiction entre en vigueur au cours de l’année 2022, ce qui inclut les sacs de caisse, les bâtonnets, les anneaux pour packs de six boissons, les couverts en plastique, les pailles et les emballages alimentaires difficiles à recycler. Toutefois, cette interdiction ne concerne qu’un faible pourcentage des plastiques à usage unique. Le gouvernement du Canada a fait valoir que de nombreux articles tels que les sacs à ordures, les emballages de collations, les EPI, etc. ne seront pas interdits parce que le pays ne dispose pas d’alternatives abordables ou disponibles, et que ces autres articles montrent qu’ils n’ont pas d’impacts majeurs sur l’environnement.
À partir de janvier 2021, le ministre de l’Éducation du Québec avait rendu obligatoire le port de masques chirurgicaux pour les élèves du secondaire, chaque élève recevant deux masques par jour. Le ministère estime que cela se traduira par plus de 318 millions de masques d’ici la fin de l’année. The problem is that these masks may end up in the landfill, surtout s’il n’y a pas d’investissement pour un recyclage correct des masques. Le problème des masques non réutilisables s’étend au lieu de travail, puisque le gouvernement québécois avait rendu obligatoire le port de masques médicaux au travail en avril 2021 et non de masques réutilisables. D’un autre côté, le recyclage des masques n’est peut-être pas la meilleure option, car l’impact environnemental peut être plus élevé que s’ils étaient jetés à la poubelle. La raison en est qu’un grand nombre des programmes de recyclage qui existent ne fonctionnent pas au Québec. This would mean travelling to the United States, for example, which would increase carbon emissions.. What's more, the costs associated with mask recycling are higher than the value of the recyclable material.
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[expand title= »49) Soil contaminated by waste " expanded= »true »]
Le lieu d’enfouissement technique (LET), qui contient 80 % des matières résiduelles, situées à la limite du Haut-Saint-Francois et de Sherbrooke, devrait atteindre sa capacité au printemps 2021. Un appel est lancé pour un agrandissement afin de lui permettre de fonctionner pendant 54 ans de plus. L’expansion ajouterait 29,5 hectares qui pourraient contenir 5,34 millions de tonnes de déchets. Les risques environnementaux liés à cette élimination et à l’expansion de la décharge comprendraient la contamination de l’environnement proche par les émissions ou les eaux de lixiviation, les risques sanitaires associés à la contamination, les odeurs, les modifications désagréables du paysage et la dégradation des zones humides.
More than 600 tonnes of hazardous materials from Montreal's REM project to be landfilled en Ontario au lieu d’être décontaminées de façon plus écologique afin de réduire les coûts. Il était possible d’envoyer les matières à Saint-Ambroise, au Saguenay–Lac-Saint-Jean, où l’on pourrait utiliser un traitement qui neutralise les contaminants, mais les gestionnaires ont choisi de ne pas le faire en raison des coûts élevés. L’impact environnemental associé à l’enfouissement des déchets dangereux est qu’ils peuvent produire des vapeurs qui peuvent s’échapper dans l’atmosphère, et les liquides accumulés à partir des déchets peuvent s’infiltrer dans le sol et affecter les réserves d’eau potable des régions avoisinantes. À Point Claire, it took nearly 6 years to clean up an illegal PCBS landfill (un produit chimique artificiel composé d’atomes de carbone, d’hydrogène et de chlore que l’on trouve dans les appareils électroniques et les plastiques). L’exposition à ces produits chimiques peut provoquer des problèmes respiratoires et des problèmes de foie chez les humains.
De nombreuses questions ont été soulevées quant à la manière d’éliminer les PFAS (utilisés dans les revêtements résistants à la chaleur, à l’huile, à la graisse et aux taches, comme sur les textiles ou les emballages alimentaires). These products generally end up in landfills, leading to soil and groundwater contamination. Une fois qu’ils sont dans l’eau ou dans le sol, il leur faudra au moins mille ans pour disparaître. En février 2021, on a trouvé des PFA dans l’approvisionnement en eau potable du lac Memphrémagog, qui étaient liés à une décharge située à proximité. Malheureusement, au Canada, il y a un manque de politique ou de soutien à la réglementation de l’élimination des PFA. Il y a plus de 5000 PFAs en usage au Canada, et aucun d’entre eux n’est restreint. De plus, Santé Canada a indiqué qu’ils ne sont pas préoccupants pour la santé humaine, surtout au taux d’exposition qu’ils présentent. However, a recent study to reveal that children may be adversely affected by AFP, notably through breast milk.
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[expand title= »50) Les déchets d’automobiles " expanded= »true »]
Les parcs à ferraille du Québec supportent de plus en plus la charge des véhicules abandonnés. La situation est encore pire pour les communautés isolées, dont la ferraille, n’a nulle part où aller. Par exemple, Chevery est une municipalité de la Basse-Côte-Nord qui ne compte que 236 habitants, mais dont la ferraille s’entasse et ne cesse de s’empiler, monopolisant le territoire. Une grande partie du problème pour cette municipalité est qu’elle n’est not connected to a main road, de sorte que les entreprises de ramassage de déchets ne prennent pas la peine d’enlever leurs déchets.
De même, de nombreux véhicules sont abandonnés illégalement. Cela crée un immense problème, car tant que le véhicule est immatriculé au nom d’une personne, it cannot be sold or recycled without his signature. In addition, if the vehicle has been abandoned on private land, la Sûreté du Québec n’a aucun pouvoir sur lui. Par conséquent, le véhicule reste sur place et peut contaminate the soil si, avec le temps, l’essence ou l’huile commence à couler.
Les déchets automobiles ne semblent pas manquer et on ne peut qu’imaginer la quantité de déchets générés par les véhicules et appareils abandonnés et le nombre de parcs à ferraille qui dot en résulter. Le fait que le Québec n’encourage pas l’achat de véhicules d’occasion n’aide pas : alors que les acheteurs de véhicules électriques neufs ont droit à des discounts of 8,000 $, les acheteurs de véhicules électriques d’occasion n’ont droit qu’à 4 000 $. En voulant sauver l’environnement en électrifiant le secteur des transports, le Québec a trop oublié les déchets générés par l’achat de véhicules neufs.
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[expand title= »51) L’écotaxe n’incite pas au changement " expanded= »true »]
Lorsque vous achetez des appareils électroniques, vous avez peut-être remarqué que des frais minimes appelés » écofrais » sont ajoutés à votre facture. Cette redevance est administrée par ARPE-Québec pour assurer le traitement adéquat des appareils électroniques en fin de vie (voir l’importance de cette redevance dans la section » Déchets électroniques « ). Les fees cover the cost of collection, transport and recycling des produits électroniques, ainsi que le financement d’ARPE-Québec. Les frais sont relativement faibles : entre 5,50 $ et 24 $ à l’achat d’un nouveau téléviseur, selon sa taille, 1,25 $ pour les imprimantes, 0,80 $ pour les ordinateurs portables et 0,07 $ pour les téléphones cellulaires, among others. These fees were introduced in 2012 and have been controversial since then.
Essentiellement, le coût du recyclage des appareils électroniques retombe sur le consommateur. Il est important que les consommateurs soient conscients des coûts environnementaux réels des produits qu’ils achètent, car cela pourrait les inciter à faire des achats plus durables. Cependant, avec des frais atteignant un maximum de 24 dollars et certain ne représentant que quelques centimes, ces frais sont trop marginaux pour inciter à un changement de comportement. De plus, les éco-redevances ne sensibilisent pas au problème des déchets comme le feraient des campagnes d’éducation. Étant donné qu’il est peu probable que ces taxes modifient les habitudes des consommateurs, on se demande pourquoi elles ne sont pas plutôt payées par les fabricants. Lorsque des produits sont créés, il devrait être courant d’assumer la responsabilité de toutes les étapes du cycle de vie du produit. Les fabricants devraient donc fabriquer des produits en tenant compte du fait qu’ils doivent également s’en occuper après leur utilisation. Cette logique favoriserait probablement une économie plus circulaire.
Ainsi, pour tirer le meilleur parti des écofrais, les coûts devraient soit être augmentés comme une sorte de taxe environnementale pour inciter à des habitudes de consommation durables, soit être transférés aux fabricants pour qu’ils gèrent la fin de vie de leurs propres produits.
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[expand title= »52) Electronic waste " expanded= »true »]
Les déchets électroniques, ou E-déchets, ont connu une forte augmentation dans notre monde en perpétuelle mutation, où l’on préfère acheter du neuf plutôt que de réparer. Or, ces déchets sont particulièrement toxiques pour l’environnement. Dans « Plan inadéquat de réduction des émissions », « Impacts environnementaux sous-estimés des véhicules électriques » et « Exploitation minière pour les véhicules électriques », les impacts environnementaux de l’extraction du lithium ont été étudiés, mais la pollution se poursuit également pendant sa phase de fin de vie. Le lithium des piles contenues dans les déchets électroniques est flammable. Lorsque les piles sont éliminées de manière inappropriée, la présence de lithium mélangée à l’abondance de papier constitue une combinaison dangereuse, comme l’ont constaté certains centres de recyclage qui ont constaté une more fires. In addition, electronic products contain a variety of toxic materials such as beryllium, cadmium, mercury and lead. These toxins can s’infiltrer dans les boues au fond des décharges et contaminer les eaux souterraines et les eaux environnantes, nuisant ainsi à la faune et à l’homme.
The problem is largely due to our consumption of new electronic devices. The fact that l’achat d’une nouvelle imprimante soit souvent moins cher que l’achat d’une nouvelle encre ou qu’il soit beaucoup plus accessible de mettre à niveau nos téléphones que de les réparer n’aide pas. Bien sûr, ces pratiques sont hautement non durables. Rien qu’au Québec, 140,000 tonnes of electrical products have been recycled since 2012. In the province, only 9% of cell phones are recycled and 3% of laptops are recycledProgress in this area is therefore essential.
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[expand title= »53) Food waste " expanded= »true »]
Visit food waste désigne les aliments jetés par les détaillants ou les consommateurs, notamment les restes de nourriture, les aliments avariés et les déchets d’assiette. À l’échelle mondiale, le gaspillage alimentaire est un problème environnemental majeur ; lorsque les aliments se décomposent, ils libèrent du méthane, qui est 20 times more powerful than carbon dioxide. C’est pourquoi il est impératif que les déchets alimentaires soient compostés plutôt que mis en décharge (pour en savoir plus, consultez la rubrique « Manque de compostage »). L’organisation britannique WRAP a constaté que si les déchets alimentaires au Royaume-Uni étaient removed from landfillThis would be equivalent to removing 20 % of cars from British roads. In Quebec, the province's organic waste is equivalent to approximately 3.48 million tonnes per year.
In Canada, 58 % of food is lost or wastedThis represents a total value of $10 billion worth of food lost at the consumer level. This emits some 56.6 million tonnes d’équivalent CO2.
Le Québec s’intensifie pour lutter contre le gaspillage alimentaire. En 2017, il a lancé le programme de supermarket recovery à l’échelle de la province, dans le cadre duquel les épiceries donnent les aliments excédentaires aux banques alimentaires. Outre cela, le Québec participates in various initiatives to reduce food waste. Let's hope that their plan to make composting services accessible to all Quebecers will help solve the province's food waste problem.
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[expand title= »54) Industrial waste " expanded= »true »]
In Canada, des millions de tonnes de déchets provenant d’activités industrielles sont produites chaque année. Ces déchets comprennent les acides, les phénols, l’arsenic, le plomb et le mercure. Les déchets industriels peuvent également inclure des déchets provenant du raffinage du pétrole, de la fabrication de produits chimiques et du traitement des métaux. Le déversement de déchets industriels non traités peut polluer l’air, les lacs, les rivières et les sols et peut affecter tous les organismes vivants résidant dans ces zones. En 2019, plus de 320 substances provenant des déchets industriels ont été signalées comme émettant 4,9 millions de tonnes d’émissions. 2,9 millions de ces émissions ont été rejetés directement dans l’air (à partir du soufre et du monoxyde de carbone), dans l’eau (ammoniac) et dans le sol (métaux lourds). On a rapporté 822 kilotonnes de résidus miniers qui pourraient avoir des impacts négatifs sur les lacs et les rivières. Au Québec, le gouvernement n’interdit pas à une société minière travaillant sur la mine de fer du Lac Bloom de détruire des lacs et des zones humides pour stocker 872 million tonnes of tailings.
En plus des impacts environnementaux des décharges pour déchets industriels, l’expansion des sites d’enfouissement peut dégrader les sites et rendre le terrain indisponible pour d’autres usages. Alors que l’énergie éolienne se développe, les palles (qui ne durent qu’environ 20 ans) sont fabriquées à partir de matériaux composites, c’est-à-dire de fibres de verre ou de carbone, ce qui rend le recyclage de ces matériaux très difficile. Bien que ces matériaux ne s’infiltrent pas nécessairement dans les sols, ils finissent par prendre beaucoup de place dans les décharges. Un autre problème est l’impact de ces décharges sur les communautés voisines. In Kanesatake, more than 400,000 cubic metres of industrial waste are piled up on their land., qui était autrefois recouvert d’arbres, de buissons et de végétation. Outre la terrible odeur qui se dégage de cette décharge, celle-ci est située à un kilomètre de dix puits utilisés pour l’eau potable et l’irrigation. Elle se trouve également à trois kilomètres du lac des Deux Montagnes, qui s’étend jusqu’à la banlieue nord de Montréal et à la limite ouest de Laval.
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[expand title= »55) Textile waste " expanded= »true »]
In Quebec, over 190,000 tonnes of textiles are thrown away every year. Montreal alone accounts for 60,000 tonnes of this waste, of which 90 % is still portable, but ends up in landfill. Comme il n’y a pas suffisamment d’infrastructures de recyclage des déchets textiles au Québec, moins de 40 % of textiles are recovered each year. De plus, cela représente également un coût important pour les entreprises qui doivent payer des frais pour enfouir ces textiles. Bien que les magasins d’occasion soient une alternative environnementale à l’élimination des textiles non désirés, ils ont toujours un problème où une grande partie des invendus ont tendance à se retrouver dans les sites d’enfouissementThis forces community and charitable organizations to pay hundreds of dollars to landfill waste containers.
Les gens achètent deux fois plus de vêtements qu’il y a 15 ans et les portent moins longtemps. Plus de 50 % des vêtements sont jetés dans l’année qui suit leur fabrication. Afin de réduire le nombre d’articles qui se retrouvent dans les sites d’enfouissement, le Canada envoie de grandes quantités de vêtements non désirés à l’étranger. Cependant, les vêtements envoyés sont généralement de mauvaise qualité et sont jetés dans les décharges locales. Les pays africains, par exemple, are now imposing tariffs to reduce the amount of textile waste collected by Canada and dumped in their landfills.. Many companies don't know how to deal with their excess waste, especially from returns. Many returned items are either sent to landfill or destroyed. parce que c’est moins cher et plus facile pour les entreprises que d’essayer de les revendre.
While Montreal wishes to réduire de 85% ses déchets textiles d’ici 2030, sa stratégie est minimale. La ville met l’accent sur le don de textiles et l’augmentation des poubelles de dons et veut interdire l’élimination des produits invendus et des refus de production dans l’industrie et le commerce de détail, mais ne précise pas comment elle compte s’y prendre et n’inclut pas de plan pour les particuliers qui jettent leurs déchets textiles.
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[expand title= »56) Household waste " expanded= »true »]
La production quotidienne d’eaux usées de Montréal varie entre 2,5 millions de m3 les jours secs et jusqu’à 7,6 millions de m3 les jours de pluie. Bien que la ville dispose de la plus grande station d’épuration d’Amérique du Nord, celle-ci n’effectue que le traitement primaire des eaux usées, c’est-à-dire qu’elle élimine les matières solides et les nutriments, mais laisse derrière elle des bactéries, des virus, des produits pharmaceutiques, des métaux lourds et d’autres contaminants. Les boues d’épuration sont les principaux déchets produits par une station d’épuration des eaux usées. Une station de gestion des eaux usées moyenne produit environ 40 grammes de boues par jour et par habitant, in Québec, more than 124,000 tonnes of domestic sludge are produced annually. Une étude menée de 2018 à 2020 a révélé que sept municipalités sur dix au Québec contaminent les rivières en rejetant des eaux usées (qui peuvent inclure des déchets humains, des eaux de drainage de rue, des cigarettes, du plastique, des déchets alimentaires) provenant de traitements d’eau obsolètes. Selon l’étude, ces stations d’épuration ont déversé des eaux usées dans leurs rivières 53 645 fois en 2018. Cela représente un rejet de plus de 21 millions de mètres cubes d’eaux usées non traitées dans l’environnement. In Quebec, more than 60 660 déversements d’eaux usées ont été enregistrés en 2019. The city of Longueuil is said to have the worst record in Quebec for such spills. Since 2014, Quebec municipalities have been waiting to receive new standards that would set the number of acceptable overflows from treatment statements. In March 2021, Saint-Jean-sur-Richelieu dumped 25 millions de litres d’eaux usées dans la rivière Richelieu, ce qui porte leur total à 210 millions de litres déversés en trois ans. À l’heure actuelle, 80 municipalities de la province ne disposent pas d’une station d’épuration des eaux usées.
In 2015, it was announced that the city of Montreal would be dumping plus de 2 milliards de gallons d’eaux usées brutes dans le fleuve Saint-Laurent. Il s’agit de la principale source d’approvisionnement en eau potable de Montréal. Le ministre de l’Environnement du Québec a déclaré que ce déversement d’eaux usées aura des conséquences minimes sur l’environnement. Cette façon de nettoyer nos égouts n’est plus acceptable depuis les années 1980, mais la ville de Montréal a obtenu la permission du ministère de l’Environnement afin de poursuivre la démolition de l’autoroute Bonaventure. Au Canada, 215 milliards de litres d’eaux usées non traitées ont été déversés dans les lacs, les rivières et les océans en 2017, un processus considéré comme « normal » dans le pays..
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[expand title= »57) Agricultural waste " expanded= »true »]
Les déchets animaux (en particulier ceux des vaches) sont préoccupants, car bien qu’ils soient utilisés comme fumier sur les cultures, ils sont susceptibles d’être épandus sans traitement sur les terres. Les méthodes d’élimination du fumier sont poorly monitored and documented in Canada, car les pratiques normalisées et les règlements sont rarement suivis. En raison de la grande échelle de l’élevage et du fumier, il y a souvent trop de fumier qui est appliqué au-delà du taux d’absorption naturel du sol, ce qui peut ruisseler vers les sources d’eau. Les déchets de volaille sont tout aussi nocifs, car ils contiennent des quantités élevées de phosphore qui peuvent également s’infiltrer dans les sources d’eau. Waste and recyclables from farms are generally disposed of on site by the producer or by companies specializing in farm waste management, which results in a high cost of disposal. mismanagement by local governments.
In Québec, farming operations generate more than 11,000 tonnes of plastic waste per year and only 2,300 tonnes finissent par être recyclées. À l’heure actuelle, il n’existe pas de directives de recyclage ni de programmes provinciaux qui permettraient aux agriculteurs de se débarrasser de leurs déchets plastiques (qui comprennent les ficelles d’écopage, les sacs à grains, les emballages de foin et les contenants de pesticides) de manière durable. L’enfouissement et le brûlage des déchets plastiques dans les fermes sont une pratique courante au Canada et peuvent avoir un impact important sur la qualité de l’air.
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[expand title= »58) Construction, renovation and demolition waste " expanded= »true »]
Construction, renovation and demolition (CRD) waste includes residual materials provenant de la construction, de la rénovation ou de la démolition de bâtiments et d’autres infrastructures de génie civil. Ces déchets can include du béton, du bois, de l’asphalte, du gypse, du métal, du verre, etc. Le recyclage de ce type de déchets est extrêmement important pour l’environnement, car il permet d’éviter les dommages supplémentaires causés par l’exploitation de ressources vierges et de préserver l’espace d’enfouissement, en empêchant la fuite de ces matériaux (voir la section » Déchets électroniques » pour en savoir plus sur ce problème). À ce titre, la Quebec Residual Materials Management Policy vise à réduire les déchets résiduels, en n’envoyant que le résidu ultime (les déchets qui ne peuvent plus être récupérés) à l’enfouissement. Le plan d’action 2019-2024 vise à recycler 70 % des déchets de CRD d’ici 2023.
S’il est important de recycler, nous devons également réfléchir à nos habitudes de consommation. À quelle fréquence est-il nécessaire de construire, de rénover ou de démolir des infrastructures existantes ? Est-ce parce qu’elles tombent en ruine ou parce qu’elles sont démodées ? En 2015 seulement, le Recyc-Québec's CRD program a permis d’éviter l’enfouissement de 1,8 million de tonnes de CRD. Cela fait beaucoup de déchets de CRD à récupérer- in 2020, a sorting site overflowed alors que le bâtiment était enseveli par les déchets. Il n’y avait plus d’accès à la cour intérieure sans devoir grimper sur les piles de déchets, et deux incendies ont entraîné le déversement d’eau contaminée.
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Biodiversity
[expand title= »59) Conservation percentage targets " expanded= »true »]
L’objectif 11 d’Aichi de la Convention sur la diversité biologique (CDB) impose aux États de protéger 17 % des zones intérieures et 10 % des zones côtières et marines d’ici 2020. Ces zones devaient être « d’une importance particulière pour la biodiversité et les services écosystémiques » et » écologiquement représentatifs » (pour en savoir plus sur cet objectif, cliquez here). In March 2021, the protected networks in Quebec cover 16.7 % of land and 12.22 % of marine and coastal environments. To this end, Quebec has protected 19.15 % du Plan Nord, une superficie d’environ 1.2 million square kilometersor approximately 78 % of the surface area of the province of Quebec. This means that, of the 16.7 % of protected terrestrial environments, 89.4 % were above the 49th parallel (in the Plan Nord zone). This proportion is disproportionate to the actual surface area occupied by the Plan Nord in Quebec.
Cela pose quelques problèmes. Tout d’abord, la frontière du Plan Nord closely follows frontière de la limite nord de l’allocation forestière. Par conséquent, les aires protégées permettent aux compagnies forestières d’avoir accès au hardwood de la zone tempérée. Il ne s’agit pas seulement d’un geste stratégique de la part du gouvernement du Québec (pour en savoir plus à ce sujet, lisez » Les aires protégées seulement dans le Nord « ), mais ce n’est pas non plus représentatif sur le plan écologique. On pourrait également faire valoir que ces zones sont particulièrement importantes pour la biodiversité, notamment parce qu’elles sont menacées par la déforestation.
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[expand title= »60) Extinction of species/lack of biodiversity " expanded= »true »]
Les scientifiques estiment qu’entre 0.01 and 0.1 % des espèces disparaissent chaque année, soit un taux d’extinction de 1 000 à 10 000 fois supérieur au taux d’extinction naturel. Le nombre d’espèces coexistant avec nous est incertain, mais se situe between 2 million and 100 million. Si nous calculons une moyenne de 60 millions d’espèces, cela signifie qu’entre 6 000 et 60 000 espèces disparaissent chaque année. Si l’on fait une nouvelle moyenne de 33 000, cela signifie que 90 espèces disparaissent chaque jour. Un autre report indique qu’environ un million d’espèces pourraient s’éteindre en quelques décennies.
A 2005 report showed that several known species had already disappeared, at least locally in Quebec. Among the species actuellement en péril au Québec, on compte le béluga (pour en savoir plus, lisez la section » Baleines/Diminution de la population de bélugas « ), la baleine noire de l’Atlantique Nord et le caribou des bois (pour en savoir plus, lisez la section » Caribou des bois en péril « ). Parmi les espèces officiellement disparues (localement disparues), on compte l’enfouisseur d’Amérique, le grizzli, le morse de l’Atlantique et le rusty-legged bumblebee. À l’échelle mondiale, le changement climatique a entraîné la disparition d’espèces, principalement à cause de la destruction des habitats et des espèces exotiques envahissantes (pour en savoir plus, consultez les sections « Espèces envahissantes » et « Impacts du changement climatique sur la biodiversité »).
Bien que cette question soit d’envergure mondiale, ses effets se font sentir ici, au Québec. Nous ne pouvons pas prétendre que la source du problème se trouve à l’autre bout du monde ou que le Québec n’a aucune responsabilité. Chez nous, le Québec s’adonne à de nombreuses pratiques non durables, comme cette page espère le révéler, notamment la diminution du nombre d’agents de protection de la faune. Ces décisions illustrent la préoccupation superficielle du Québec pour l’environnement.
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[expand title= »61) The impact of climate change on biodiversity " expanded= »true »]
Le changement climatique résulte d’un certain nombre de facteurs différents, dont la plupart sont anthropiques, mais la véritable crise du changement climatique réside dans les rétroactions positives associées. Une rétroaction positive est une séquence d’événements qui se produisent consécutivement pour amplifier le changement initial. Par exemple, le méthane est un puissant gaz à effet de serre qui réchauffe la température de la Terre. Cependant, le réchauffement des températures fait fondre le pergélisol, libérant davantage de méthane et réchauffant ainsi davantage la Terre. L’augmentation des molécules de carbone, comme le méthane, contribue à l’acidification des océans, car ceux-ci absorbent le carbone de l’atmosphère (pour en savoir plus, consultez la section « Acidification des eaux »). Cela contribue au « blanchiment » ou à la mort des coraux, qui comptent parmi the world's most diverse ecosystems biologically.
Another important feedback linked to climate change is the arctic sea ice. La glace de mer est très réfléchissante et, par conséquent, elle reflète la lumière du soleil au lieu de l’absorber, ce qui entraîne des températures plus fraîches. Toutefois, le réchauffement climatique accélère la fonte de la glace de mer, ce qui a pour effet d’augmenter les températures de surface et d’entraîner une nouvelle fonte. Les effets peuvent être observés ici même au Québec. Les températures plus chaudes ont empêché la formation d’une quantité suffisante de glace de mer dans le golfe du Saint-Laurent, ce qui a entraîné l’absence irrégulière de harp seal pups et d’autres animaux protégés par la glace.
Bien qu’il ne s’agisse que de deux exemples, les effets des changements climatiques sur la biodiversité sont très variés. Des températures plus élevées peuvent augmenter le risque d’incendies de forêt. On the whole, the climates that are evolving at the current rate do not give enough time to espèces pour s’adapterThis leads to a loss of biodiversity.
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[expand title= »62) Sacrificing wetlands for development " expanded= »true »]
Wetlands have been sacrificed time and again in Quebec for development purposes. The fight for Save Sandy Beach Woods in Hudson for the potential construction of 214 housing units. The project involves the backfilling of 4,266 square metres de zone humide. De même, le Technoparc de Saint-Laurent a entrepris la destruction de zones humides. Depuis la construction du REM (pour en savoir plus, consultez la rubrique « Transport en commun privatisé »), les perturbations humaines accrues devraient avoir des lasting effectss sur la zone humide, les effets les plus notables se produisant pendant la saison migratoire. L’objectif de la ville est de faire du Technoparc le privileged place des entreprises de développement durable et de technologies propres. Un promoteur a déjà remblayé 75 mètres carrés d’un marécage dans la zone.
Ces exemples s’ajoutent au projet d’expansion de la Bury landfill and the project to dump tailings from the Champion mine dans le lac Bloom, qui peuvent tous deux causer des dommages aux zones humides environnantes (pour en savoir plus, consultez la section « Destruction des lacs par les projets miniers »). Il est clair que la protection des zones humides est reléguée au second plan lorsqu’il s’agit de projets de développement industriel et résidentiel, qu’ils soient ou non porteurs de licence sociale.
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[expand title= »63) Dependence on pesticides " expanded= »true »]
En raison de leur dépendance à l’égard des engrais chimiques qui contiennent des nitrates et des phosphates, les agriculteurs québécois sont les plus gros consommateurs d’Amérique du Nord. L’excès d’engrais peut contaminer les cours d’eau, l’eau potable et peut contribuer à la croissance excessive des algues. Les Quebec farmers also apply too many pesticides, en raison d’une réglementation limitée et d’une loi désuète qui régit les agronomes et qui n’a pas été mise à jour depuis 1945. Les néonicotinoïdes sont l’un des pesticides les plus utilisés au Canada. They are mainly used to control pests on agricultural crops such as corn and soybeans. They are dangerous for biodiversity, car ils se propagent dans les tissus de la plante et peuvent tuer les insectes (notamment les abeilles et les papillons) en attaquant leur système nerveux central. Ces pesticides peuvent durer longtemps et se retrouvent dans les sols et les cours d’eau. De plus, même à très faible dose, ils peuvent avoir des effets négatifs sur les oiseaux en provoquant une perte de leur sens de l’orientation et une perte de poids. Ironic, a study carried out in 2020 revealed that neonicotinoids n’ont aucun avantage réel pour les cultures de maïs et de soja et ne présentent donc aucun avantage pour les agriculteurs. Ils ont constaté que seulement 5 % de ces cultures présentaient des risques d’infestation par les insectes.
In Quebec, a larvicide called Bti has been used to kill mosquitoes, but it has a very low toxicity. effet négatif sur les espèces d’oiseaux, car le larvicide tue également d’autres insectes dont ces oiseaux ont besoin pour survivre. Des études ont montré qu’en raison de l’utilisation du Bti, certaines espèces d’oiseaux ont diminué de 30 à 60 % over the past 50 years.
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[expand title= »64) Invasive alien species " expanded= »true »]
Invasive alien species sont des espèces qui sont introduites d’une manière ou d’une autre dans de nouveaux écosystèmes en dehors de leur aire de répartition géographique typique. Elles sont préoccupantes, car elles peuvent sérieusement altérer la stabilité de l’écosystème qu’elles ont envahi, et ce de many ways : en l’absence de prédateurs, elles peuvent se développer jusqu’à atteindre des abondances énormes, ce qui accroît la concurrence avec d’autres espèces ayant des besoins en ressources similaires ; elles peuvent altérer la chaîne alimentaire locale ; et elles peuvent propager des maladies étrangères. Ce faisant, elles peuvent accroître la fragilité de l’écosystème et entraîner l’extinction d’espèces indigènes compétitives. Les espèces exotiques envahissantes sont souvent le résultat d’une mondialisation accrue (pour en savoir plus, consultez la section » Dégradation des lacs « ).
The same can be said of Quebec, which is home to numerous invasive alien species. Among the aquatic examples, citons le myriophylle à épi, qui en formant de denses colonies, menace la biodiversité des cours d’eau. Les exemples terrestres comprennent la coccinelle asiatique, le scarabée japonais, l’agrile du frêne, le cygne tuberculé et le faisan à collier. En 2019, la ville de Montréal a dû couper 40,000 trees qui étaient infestés d’agrile du frêne.
The complete list of invasive alien species in Quebec is available at here.
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[expand title= »65) Habitat fragmentation " expanded= »true »]
Amphibians, reptiles, fish and marine life sont en danger en raison des pressions exercées sur leurs habitats par l’activité humaine, notamment le développement résidentiel, industriel et commercial, et l’intensification de l’agriculture. Le chevalier cuivré, un poisson en voie de disparition qui ne vit qu’au Québec, risque de disparaître en raison de la construction du Contrecœur port terminal project approved in early 2021. La construction du quai, les activités de dragage, l’installation du pipeline ainsi que l’augmentation du trafic maritime et l’augmentation des contaminants sont autant de factors that negatively influence copper redhorse survival. Le projet propose des mesures d’atténuation pour protéger ce poisson, mais les biologistes ne croient pas que cela aura une grande influence positive sur le poisson.
Dans les zones urbaines, la fragmentation des habitats causée par le développement ou la négligence a également un impact sur la biodiversité. À Sainte-Julie, la MELCC fait l’objet d’un examen minutieux pour avoir agreed to transplant a rare or endangered species of ginseng to allow the construction of houses. Citizens fear that the transplant will not be successful and that this plant species will be lost forever if construction is approved. In Rosemont-La-Petite-Patrie, some érables rares situés près de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont sont en danger à cause de la neige souillée (mélangée à des déchets et à des sels de déglaçage) déversée illégalement par l’hôpital.
Les monocultures sont également une source de fragmentation de l’habitat. Monoculture fields of blueberries and cranberries, bien que bons pour les producteurs locaux, ne sont pas bons pour les abeilles qui ne produisent pas de miel, ce qui entraîne la mort de nombreuses colonies d’abeilles indigènes. La production d’arbres de Noël est l’un des types les plus intensifs de monocultures, puisque seules quatre variétés d’arbres (balsam, Fraser, Canaan et Cook) sont cultivées. Pour faire de la place à ces monocultures, des forêts d’espèces multiples ou des prairies indigènes sont détruites, ce qui réduit le nombre d’oiseaux, d’insectes, de mammifères, de plantes et d’autres éléments de biodiversité que l’on trouvait auparavant. Les monocultures utilisent également de grandes quantités de pesticides qui peuvent nuire davantage aux écosystèmes et polluer les sols et les bassins versants.
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[expand title= »66) Manque de protection des espèces menacées d’extinction " expanded= »true »]
La protection des espèces en voie de disparition au Québec ne semble pas être prise au sérieux. Alors qu’au niveau fédéral, les endangered species sont protégées par la Loi sur les espèces en péril, au niveau provincial, ces organismes ne reçoivent pas l’attention particulière dont ils ont besoin et sont souvent sacrifiés au profit de la croissance économique et de l’ensemble résidentiel.
Par exemple, les populations de rainettes faux-grillon de l’Ouest au Québec ont decreased au fil des ans – leur aire de répartition historique en Montérégie a diminué de plus de 90 % en 2009 et leur aire de répartition en Outaouais a diminué de 30 % depuis 1993, toutes deux largement dues au développement et à l’intensification de l’agriculture. Le rapport d’impact environnemental du projet d’expansion du port de Contrecoeur confirme que la grenouille est présente dans la région, mais que le projet n’empiétera pas sur son habitat, bien que les inventaires de ces informations n’aient pas été accessibles au public pour vérification. Un projet d’ensemble résidentiel dans la forêt de chênes blancs de L’Île-Perrot, où se trouve également la rainette faux-grillon de l’Ouest, a attiré l’attention de manifestants qui demandaient une intervention fédérale pour protéger l’espèce, car le gouvernement provincial ne l’avait pas fait.
Le caribou des bois est une autre espèce en péril au Québec (pour en savoir plus, consultez les sections » Perturbation de l’habitat du caribou des bois » et » Caribou des bois en péril « ). Un projet de chemin forestier dans la vallée de la Broadback croiserait l’habitat de trois troupeaux de caribous des bois. Le refus de faire de Pipmuakan une zone de protection, qui abrite l’une des southernmost caribou populations in the province, a accru la vulnérabilité de ces animaux, victimes de l’industrie forestière.
Il est évident que le gouvernement provincial doit prendre davantage de mesures pour protéger les espèces menacées du Québec. Ce ne devrait pas être le devoir des citoyens d’exiger leur protection ni celui de réclamer une action fédérale.
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[expand title= »67) Decrease in lake biodiversity " expanded= »true »]
L’eutrophisation et les espèces exotiques envahissantes contribuent toutes deux à la perte de biodiversité des lacs du Québec. L’eutrophisation implique des proliférations d’algues qui créent des environnements hypoxiques, car la décomposition inévitable du phytoplancton absorbe l’oxygène, réduisant ainsi sa disponibilité dans l’eau (pour en savoir plus sur le processus d’eutrophisation, consultez la section » Dégradation des lacs « ). Les environnements hypoxiques sont également connus sous le nom de « dead zones » et sont dépourvus de ressources halieutiques, notamment de poissons et de crustacés. Ils hinder biodiversity en réduisant la croissance et la reproduction des espèces, en augmentant les stress physiologiques et en réduisant l’adéquation de l’habitat, ce qui entraîne des migrations forcées. La superficie des eaux hypoxiques dans le Saint-Laurent continue d’augmenter.
Invasive alien species can also lead to a loss of biodiversity in Quebec lakes. For example, the Eurasian water milfoili est connu pour former de grandes colonies monospécifiques qui peuvent protéger l’abri de certains animaux, mais qui dissuadent certaines espèces de poissons et entraîne loss of diversity of aquatic life. What's more, its rapid, dense growth crowds out native plants. In 2018, the plant had been found in the St. Lawrence River and 180 lakes, and 87 other harmful invasive species have been documented across the province.
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[expand title= »68) Decline in whale and beluga populations " expanded= »true »]
Depuis la fin des années 2010, les bélugas que l’on retrouve dans l’estuaire du Saint-Laurent sont passés du statut de » menacé » à celui d' » en voie de disparition « . In 2016, la population de bélugas dans cette zone était d’environ 900 individusHowever, their population size has decreased by 1% since the early 2000s. Studies have shown that déclin des populations est lié à un changement des schémas migratoires causé par le réchauffement des températures de l’eau. As a result, whales find themselves in areas outside their traditional migration routes, where few protection measures exist. As a result, whales meurent de collisions avec des navires et d’enchevêtrements avec des lignes de pêche. Studies have shown that small fishing boats can also have an impact on whales, because even if the collision doesn't break the whale's bones, it can cause fatal internal damage.
La pollution de l’eau peut également avoir un impact sur les populations de bélugas. Les belugas are the species most affected puisqu’ils sont exposés aux polluants du Saint-Laurent toute l’année, comparativement aux espèces qui ne fréquentent le fleuve que l’été. Plusieurs polluants d’origine anthropique ont été retrouvés dans les carcasses des baleines. Contaminants from aluminum smelters in the Saguenay region have been linked to intestinal cancer in beluga whales. These whales have the highest cancer rate of any cetacean population in the world.
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[expand title= »69) Woodland caribou in danger " expanded= »true »]
The decline of woodland caribou populations in Quebec is linked to various factors, the main threat being the détérioration de l’habitat causée par l’exploitation forestière, l’exploration et l’extraction de pétrole et de gaz, et les réseaux routiers. En raison de la modification importante des habitats, caribou are more vulnerable to predation by wolves qui cause des taux de mortalité élevés chez ces animaux. De plus, plus une zone est perturbée, plus le caribou doit se tenir à l’affût des prédateurs, ce qui entraîne une diminution du temps d’alimentation. Pipmuacan is a traditional gathering place for the Pessamiulnut and abrite l’une des populations les plus méridionales de caribous des bois, une espèce menacée. Les dangers proviennent principalement de la construction de stations, de l’exploitation forestière et des motoneiges. A study carried out in 2020 showed that the number of woodland caribou in this area has been declining since 2012, and that the size of the animals has also decreased.
La chasse est un autre facteur contribuant au déclin de la population. Bien qu’il existe un moratoire pour la chasse sportive au caribou migrateur, lhe risk of reducing the caribou population is enormous if people continue to do this illegally.. Long-term, on s’attend à ce que les changements climatiques aient un impact sur les populations de caribous des boisThis is because extreme weather conditions and events, and the increased frequency of the freeze-thaw cycle, will make it harder for caribou to find food on the ground in winter.
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[expand title= »70) Western chorus frog population decline " expanded= »true »]
La rainette faux-grillon de l’Ouest, bien qu’elle ne soit pas en danger à l’échelle mondiale, at risk of disappearing in Quebec due to habitat destruction. These frogs are often found near Canada's major cities. In Quebec, on les trouve près de la banlieue de Gatineau, et dans les banlieues à l’est du fleuve Saint-Laurent. Ces minuscules grenouilles vivent dans les marais saisonniers et une fois que ceux-ci s’assèchent en été, les grenouilles se déplacent dans la forêt. Cependant, due to rapid residential and industrial development and the expansion of agricultural areas (qui entraîne un risque supplémentaire de contamination par des pesticides ou des engrais), la population de la rainette faux-grillon de l’Ouest pourrait disparaître d’ici 2030. Un projet immobilier proposé à L’Île-Perrot détruirait la forêt de chênes blancs, une zone où l’on trouve cette grenouille. Les manifestants font pression sur le ministre fédéral de l’environnement pour qu’il signe un arrêté visant à protéger cet habitat et cette espèce menacée. Avant cet appel à la signature de l’arrêté, protectors have been ignored by municipal and provincial governments who authorized clear-cutting. In addition, this area is home to the largest population of white oaks, a rare species in Quebec..
Another area where construction was to begin is in Gatineau, où un projet de développement d’une valeur d’un demi-milliard de dollars a été arrêté en raison de la présence de rainettes faux-grillon de l’Ouest dans un espace vert. Le promoteur, qui attendait l’autorisation du gouvernement provincial, a fait valoir que ce projet favorisait la durabilité et endiguait l’étalement urbain, et qu’il avait proposé une autre zone de terrain pour la grenouille, qui présentait une valeur environnementale supérieure. Le projet d’agrandissement du Port de Montréal menacera également les populations de rainettes faux-grillon de l’Ouest, qui vivent dans les zones humides et sur les berges de cette région, en raison du développement du transport maritime. Le directeur de l’environnement de l’administration du port de Montréal a fait valoir que le projet portuaire ne causerait pas une grande perte de l’habitat de la grenouille parce qu’il est situé de l’autre côté du projet, mais les experts estiment que l’espèce souffrira quand même.
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[expand title= »71) Déclin de la population d’abeilles " expanded= »true »]
In Canada, huit espèces d’abeilles sauvages sont inscrites au registre canadien des espèces en péril. Three species (the rusty-legged bumblebee, the gypsy cuckoo bumblebee and the macropis cuckoo bumblebee) have all lost at least 50 % of their populations and are considered endangered. Le changement climatique est l’un des facteurs qui influencent la disparition des abeilles indigènes, l’augmentation de la fréquence des événements (par exemple, les vagues de chaleur et les sécheresses) poussant les abeilles au-delà de ce qu’elles peuvent tolérer. Un autre facteur influençant la disparition des abeilles indigènes est l’augmentation du nombre d’abeilles domestiques que de nombreuses personnes ont tendance à garder dans leur jardin (soit pour produire du miel, soit en tant que services de pollinisation présentant des avantages économiques ou de sécurité alimentaire, soit en pensant que cela augmentera la population d’abeilles). L’impact négatif de la présence d’abeilles domestiques est que, non seulement elles ne sont pas menacées d’extinction, mais elles entrent en concurrence avec les abeilles indigènes pour les fleurs et le pollen. In addition, honeybees can produce 50,000 to 100,000 individuals in a hive, whereas native bees are solitary.
Wild bees are important for pollinating crops in rural areas, residential gardens and even rooftop gardens. Avec moins d’espèces indigènes, les plantes seront pollinisées de manière différente, ce qui aura probablement des répercussions négatives sur l’ensemble de l’écosystème.
Des études ont montré que l’utilisation d’insecticides néonicotinoïdes on crops such as corn, soybeans, squash and pumpkins influence the behaviour, reproduction and growth of honeybees, bumblebees and ground beeswhich play a crucial role in crop pollination. Studies have also shown that when honeybees ingest the neonicotinoid, they are less likely to groom themselves and d’éliminer un acarien parasite, ce qui peut entraîner une mort prématurée.
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[expand title= »72) Déclin de la population d’oiseaux " expanded= »true »]
Since the 1970s, birds that depend exclusively on native grasslands for breeding have declined by 87 %, swallows and swifts by 59 %, shorebirds by 55 %, and seabirds by 20 %. que l’on trouve dans les eaux canadiennes sont des espèces menacées. Un facteur important de ce déclin des populations d’oiseaux est dû aux changements climatiques, l’intervalle entre la croissance des plantes au printemps et l’arrivée des espèces d’oiseaux ayant augmenté d’un jour par an en moyenne. Bien que de nombreux oiseaux aient pu s’adapter à ces changements, ceux qui ne l’ont pas fait manquent une fenêtre critique pour trouver de bons sites de nidification et se nourrir des insectes du début du printemps. An increase in extremely cold winters in Quebec, breeding of migratory Canada geese to fall from 192,000 in 2016 to 112,000 in 2018. De plus, la prolongation d’une période printanière en 2018 a laissé de nombreux sites de reproduction couverts de neige jusqu’à la fin juin.
Visit perte d’habitat est un autre facteur influençant le déclin des oiseaux. On observe une tendance à l’augmentation des cultures alimentaires en monoculture qui assèche les marais, détruit les forêts et supprime des sites d’alimentation et de nidification importants pour les oiseaux. Au printemps, les champs de maïs sont dénudés jusqu’au sol, ce qui n’offre pas de camouflage aux oiseaux which are accustomed to nesting in three-foot-high hayfields. The Green Coalition, which has been fighting for many years, loses in court development of the Technoparc area. L’objectif de la Ville est d’en faire un lieu privilégié pour les entreprises spécialisées dans le développement durable et les technologies propres. Cependant, il s’agit d’un écosystème qui abrite plus de 80 espèces d’oiseaux nicheurs, dont des hérons, des rapaces, des oiseaux chanteurs et des canardsIt's a popular place for birdwatching. However, the city of Montreal has recently announced that it will protect some of the technopark's land..
L’augmentation du nombre d’immeubles en verre dans la province constitue un problème croissant dans le déclin des populations d’oiseaux. À Gatineau, un nombre croissant d’oiseaux sont morts au cours des dernières années after colliding with glass buildings. In Canada, collisions with glass can tuer jusqu’à 16 à 42 millions d’oiseaux par an.
Plus d’informations :
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L’eau et sa gestion
[expand title= »73) Lake degradation " expanded= »true »]
La qualité des lacs du Québec s’est dégradée au fil du temps, en raison de l’eutrophisation, des espèces envahissantes et de l’acidification (pour en savoir plus, lisez la section » Acidification « ). Tout d’abord, l’eutrophisation est un processus naturel par lequel une augmentation du phosphore dans le lac entraîne la prolifération du phytoplancton. Lorsqu’il meurt, il coule au fond et se décompose – un processus qui nécessite de l’oxygène. Avec le temps, un lac eutrophe devient moins transparent, plus appauvri en oxygène et plus rempli de sédiments. Bien que ce phénomène ait tendance à se produire dans tout lac au fil du temps, les activités humaines qui rejettent du phosphore dans l’eau accélèrent ce processus. Among the major anthropogenic causes, mentionnons l’utilisation d’engrais, la modification du littoral, le déversement d’eaux usées dans les cours d’eau et la réduction du couvert végétal. Le lac Saint-Augustin and theac Memphrémagog are just two Quebec lakes undergoing accelerated eutrophication.
There's also the question of invasive species. Invasive species create an imbalance dans l’écosystème indigène, car elles augmentent la concurrence pour les ressources. Parmi les invasive species These include Eurasian water milfoil, common reed, round goby, snakehead, giant hogweed, zebra mussel, Japanese knotweed, flowering rush, purple loosestrife and goldfish.
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[expand title= »74) Toxin bioaccumulation " expanded= »true »]
Canada throws 3.3 million tonnes of plastic every year where only 9% are recycled, the rest goes to landfill, which is déversée dans les systèmes d’eaux that can harm marine animals. In 2014, researchers discovered microbeads at the bottom of the St. Lawrence River that threaten the fish, birds and wildlife that consume them by mistake. L’étude a révélé que dans un litre de sédiment prélevé dans le fleuve Saint-Laurent, se trouvaient 1000 pieces of microplastics. The St. Lawrence River is one of the world's worst rivers in terms of microplastic pollution. From microplastics were also found in Lac Saint-Charles. Deux tiers des échantillons analysés étaient des microfibres (provenant de vêtements) provenant de la station d’épuration voisine qui ne filtre pas toutes les particules rejetées par le lavage des vêtements.
In addition, le fleuve Saint-Laurent contient d’autres polluantsThese include polychlorinated biphenyls (PCBs), polycyclic aromatic hydrocarbons (PAHs), mercury, polybrominated diphenyl ethers (PBDEs) and pharmaceuticals and personal care products (PPCPs). Most of this accumulation of pollutants in the St. Lawrence comes from urban wastewater and agricultural waste.
Toxic blue-green algae a growing problem in Quebec waters. L’augmentation des pluies qui entraînent des ruissellements dans l’eau et les étés très chauds provoquent une surabondance de cyanobactéries dans les eaux qui peuvent être nocives pour la santé humaine.
Plus d’informations :
- https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1751932/avancee-universite-mgill-microplastiques-eaux-usees?depuisRecherche=true
- https://www.environnement.gouv.qc.ca/eau/eco_aqua/toxique/contaminants-emergent-Quebec-meridional.pdf
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[expand title= »75) Cartes d’inondations influencées par la politique " expanded= »true »]
Visit préoccupations concernant les cartes d’inondation indiquent qu’elles sont créées de manière arbitraire et qu’il n’est pas fait mention de l’aide des gouvernements pour créer des infrastructures appropriées. Les résidents de Pierrefonds, dont la zone a été placée sur la carte des inondations, ont vu la valeur de leurs propriétés diminuer et les taux d’assurance augmenter. Ils ne peuvent même pas obtenir de permis pour effectuer des rénovations, des améliorations ou des travaux d’aménagements paysagers mineurs sur leur propriété. Cette zone n’a pas connu d’inondations extrêmes depuis 2017.
Les cartes mises à jour montrent les risques d’inondation le long des rivières des Mille Îles, des Prairies, but they may not be adopted for months., ce qui signifie que la construction peut se poursuivre dans ces zones, mais que les citoyens se demanderont si leurs maisons sont en zone inondable et resteront dans l’incertitude quant aux conséquences sur les taux d’assurances.
Plus d’informations :
- https://www.cbc.ca/news/canada/montreal/beaconsfield-flood-map-errors-1.5204287
- https://www.cbc.ca/news/canada/montreal/clouds-faulty-flood-maps-1.5201127
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[expand title= »76) Usage industriel de l’eau " expanded= »true »]
Les entreprises du secteur industriel de Montréal ne paient qu’une fraction de ce qu’il en coûte à Toronto et dans d’autres grandes villes nord-américaines pour utiliser et déverser de l’eau potable dans le réseau d’égouts. Une grande entreprise typique de Montréal paie environ 185 660 $ pour sa consommation annuelle d’eau à Anjou, contre 960 000 $ pour la même consommation à Toronto. The industries, les entreprises et les institutions utilisent 62 % de l’eau à Montréal, mais n’en paient que 55 %, alors que les résidents en utilisent 38 %, mais en paient 45 %. 70 $ par million de litres d’eau pour les entreprises qui utilisent l’eau comme composante de leur produit. Il en coûte 2,50 $ par million de gallons d’eau pour les entreprises qui utilisent l’eau dans leur processus de fabrication. Aussi, des entreprises au Québec pompent des milliards de litres d’eaux par année, mais il est difficile d’avoir des chiffres précis, car la consommation d’eau des entreprises relève du secret industriel, il est devient donc difficile pour le public d’avoir accès à la quantité d’eau pompée par les entreprises. Une taxe sur l’eau a été proposée en 2019, mais elle s’appliquerait aux propriétaires de maisons et aux résidences, et non aux industries.
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[expand title= »77) Overfishing " expanded= »true »]
À l’échelle mondiale, 31,4 % (3 fois plus qu’il y a 40 ans) des stocks de poissons ont été affectés par la surpêche. Outre le changement climatique qui modifie l’état des océans, la surpêche transforme la population de poissons dans l’océan et leur répartition géographique. Cela peut accroître l’exposition des poissons aux polluants, augmentant ainsi le niveau de méthylmercure présent dans de nombreux poissons (par exemple la morue ou le thon rouge de l’Atlantique) consommés par les humains. Au cours des dernières décennies, Canada has lost half of its total fish populationmainly due to overfishing. In the St. Lawrence River, the best-known case of overfishing involved cod, of which the population fell by nearly 100 %. En 2019, la pénurie de poisson due à la surpêche était si grave qu’un Saint-Laurent IGAin Montreal, had to close its fish counter for a while.
Unfortunately, overfishing in Quebec does not serve to feed the population, since most of the fish caught is exported, and the population is not able to feed itself. ce qui est consommé dans la province est importé d’ailleurs.
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[expand title= »78) Destruction of lakes by mining projects " expanded= »true »]
Fer Québec's Bloom Ore Lake claims that to store 872 million tonnes of residues qu’elle produira au cours des prochaines années d’exploitation, elle doit détruire des lacs, des cours d’eau, des zones humides et des zones boisées. At least eight lakes seront détruits. Malheureusement, le Québec n’interdit pas ces actions, et jusqu’à tout récemment, la province a gave the green light for the storage of tailings from the Bloom Lake mine
Visit projet de mine de graphite Nouveau Monde, d’une longueur de 2,6 km, est situé dans une zone écologiquement sensible et touristique dans le bassin versant du parc régional du Lac Taureau. Il s’agit du plus grand et du plus proche plan d’eau récréatif au nord de Montréal. This project will dump mineral waste in the Eau Morte stream which, after seven o'clock, se déversera dans la rivière Matawin et le lac Taureau. L’eau risque d’être contaminée par l’acide en raison des 400 tonnes of chemicals which it is estimated will be used annually by the mining project.
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[expand title= »79) Coastal degradation " expanded= »true »]
L’augmentation de la fréquence des tempêtes, principalement dues aux changements climatiques, accelerates coastal degradation in the province. L’anthropization of coastlines, industrial pollution and off-road vehicle traffic en sont d’autres causes. Elle accroît la vulnérabilité des personnes qui vivent sur les côtes et le long du fleuve Saint-Laurent, car plus de 2100 kilometers of coastline under threat. Au cours des dix dernières années, le taux annuel d’érosion des côtes de l’Est du Québec varie de 0.5 to 2 meters.
Les embarcations privées ont un impact sur les côtes du Québec, alors qu’une augmentation du nombre et de la taille des embarcations se retrouve sur l’eau. L’impact des vagues énergétiques remue les sédiments au fond des lacs, ce qui peut augmenter la quantité de phosphore dans l’eau.
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[expand title= »80) Destruction of ecosystems by motorboats " expanded= »true »]
The environmental impact of motorboats sont les suivants : ils peuvent favoriser la croissance des algues et l’expulsion des sédiments, ce qui peut avoir un impact sur la qualité de l’eau. De plus, les produits chimiques utilisés pour nettoyer, protéger et faire fonctionner les bateaux peuvent s’infiltrer dans l’eau et avoir un impact négatif sur les écosystèmes marins.
On the lac Memphrémagog, qui est un important réservoir d’eau potable, les activités nautiques peuvent affecter la qualité de l’eau du lac. Bien que la Loi sur la qualité de l’environnement du Québec stipule que la province peut interdire ou limiter l’utilisation de bateaux à moteur sur un lac ou le réduire pour protéger la qualité de l’environnement, les personnes vivant sur le lac Memphrémagog ont été informées que les lakes are governed by federal legislation. Cela signifie que les municipalités du Québec n’ont aucun contrôle sur l’activité des bateaux sur les lacs.
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[expand title= »81) Maritime traffic " expanded= »true »]
Une évaluation d’impacts du Canada a donné son feu vert à l’expansion du port à conteneurs de Contrecoeur, qui doit être construit en aval de Montréal. Cependant, des citoyens inquiets ont soulevé des questions environnementales qui pourraient avoir été négligées lors de l’évaluation environnementale. Le projet prévoit l’excavation de plus de 750,000 cubic metres of beach à proximité de la zone. De plus, l’érosion ne faisait pas partie de l’étude d’impacts. De plus, des espèces marines, comme le copper redhorse que l’on ne trouve qu’au Québec dans une petite zone du fleuve Saint-Laurent et de la rivière Richelieu, seront affectées par ce projet. Le trafic maritime détruira et/ou modifiera l’habitat et l’augmentation des contaminants causée par l’activité maritime influencera le système de reproduction de l’espèce. La population de rainettes faux-grillon de l’Ouest that live on the banks and in the wetlands of the proposed project will also be threatened by the development of shipping.
Plus d’informations :
- https://www.journaldequebec.com/2021/03/24/fleuve-saint-laurent–inquietude-pour-la-survie-dune-espece-unique-au-monde
- https://www.ledevoir.com/societe/environnement/595493/la-protection-d-un-poisson-menace-bloquera-t-elle-le-port-de-contrecoeur
- https://www.tvanouvelles.ca/2021/03/02/feu-vert-pour-le-terminal-portuaire-de-contrecur
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[expand title= »82) L’acidification des eaux " expanded= »true »]
L’acidification de l’eau désigne la diminution de son pH. Depuis l’industrialisation, l’acidité des océans increased by 30 %. L’une des causes de cette augmentation est le dépôt d’azote et de soufre provenant des émissions des navires, et le Québec ne semble pas pressé de réduire le nombre de navires sur son territoire (pour en savoir plus, lisez la section intitulée « Low-Grade Fuel Burning in Shipping Industry »). Une cause plus urgente de l’acidification est l’absorption du dioxyde de carbone atmosphérique par les eaux. Rappelons que les émissions du Québec n’ont pas cessé d’augmenter (pour en savoir plus, lisez » Les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter « ). Les molécules acidifiantes peuvent également précipiter et tomber sous forme de acid rain.
L’acidification peut causer d’immenses dommages aux écosystèmes. En effet, les organismes ont besoin de niveaux de pH spécifiques pour fonctionner correctement. Un océan qui s’acidifie peut nuire gravement au phytoplancton, qui est responsable de la production de 60 % de l’oxygène terrestre. We also found that shellfish showed a higher mortality rate in low pH waters. In the St. Lawrence River, this means that lobsters, prawns, crabs and oysters. are particularly vulnerable. Without a sufficient reduction in our emissions, Quebec's marine species will be seriously threatened.
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[expand title= »83) La contamination de l’eau potable " expanded= »true »]
Au Québec, une partie de l’eau potable est contaminée par le plomb, mais une autre partie est également contaminée par les PFAS. Les PFAS, ou per- and polyfluoroalkyl substances, sont des produits chimiques fabriqués par l’homme qui peuvent avoir de graves effets néfastes sur la santé humaine, notamment un faible poids à la naissance, des effets sur le système immunitaire, des perturbations des hormones thyroïdiennes et même le cancer. Le lac Memphrémagog, qui traverse la frontière entre le Québec et le Vermont, est une source d’eau potable pour 175,000 Quebec citizens contaminated by this substance. It is assumed that thea source est le lixiviat de la station d’épuration de Newport, au Vermont, et un moratoire de quatre ans a été mis en place en 2019 pour mettre fin à la contamination. Cependant, étant donné que c’est la deuxième fois depuis le moratoire que des PFAS sont détecté dans le lac, les citoyens se battent pour a permanent moratorium qui n’a pas encore été accepté.
Pour la contamination au plomb, la méthode utilisée par le Québec pour les tests a été critiquée comme étant imprécise étant donné qu’elle chasse l’eau des robinets pendant cinq minutes avant de récupérer l’échantillon. Cela sous-estime fortement la concentration de plomb dans l’eau du robinet, car une étude indépendante a révélé que 466 samples in 96 municipalities had lead concentrations exceeding the limit between 2015 and 2018, which was then 10ppb. In Montreal, 58 % samples had levels exceeding the new Canadian limit of 5ppb. More recently, several First Nations schools and daycares ont constaté que la concentration en plomb de leur eau du robinet dépassait la limite, bien que beaucoup n’en aient été avertis que plusieurs mois après la découverte des résultats. Pire encore, la solution qui leur a été proposée était de laisser couler l’eau pendant 10 minutes tous les jours avant l’ouverture des écoles. Il est important de noter qu’en dépit de l’existence d’une limite officielle, aucun niveau de plomb dans le sang n’a été identifié comme sûr. In addition, side effects potentiels comprennent des problèmes d’apprentissage et d’attention, une diminution des capacités intellectuelles et des changements de comportement.
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[expand title= »84) Exportations d’eaux en vrac " expanded= »true »]
En juin 2018, le Québec a annoncé un plan de gestion de l’eau qui semblait fermer la porte à l’idée d’exporter l’eau en vrac. Before that, Quebec had a major problem with this issue. For example, in 2017, only nine companies levied 2 084 284 500 litres d’eau et n’ont payé que 145 899 92 $ en redevances. Cela s’explique par le fait que, depuis 2010, les redevances sur l’eau sont de 0.07 $ per 1,000 liters for companies pumping more than 75,000 liters per day. This rate is far too low for a resource that is a common good, and one that will become increasingly scarce with climate change. What's more, l’exportation de l’eau en grande quantité met en péril les écosystèmes aquatiques et les bassins hydrologiques.
Despite the 2018 plan, l’eau continue d’être exportée en masse. En 2019, il y avait at least 18 companies qui prélevaient plus de 75 000 litres d’eau par jour (voir la liste here). Cela signifie qu’au moins 1 350 000 litres étaient extraits par jour pour seulement 94,50 dollars. De plus, le ministère de l’Environnement conceals most information, y compris les quantités exactes extraites et leurs utilisations. Ce n’est tout simplement pas une façon de traiter une ressource aussi précieuse.
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[expand title= »85) Les risques accrus d’inondations dus à l’étalement urbain " expanded= »true »]
Visit Quebec flood map from 2017 to 2019 shows the areas affected by spring flooding. Although most flooding seems to occur in agricultural fields along the coast, an increasing number of residential areas are also subject to spring flooding. Although information on the subject in Quebec is scarce, an interesting report qui a étudié la relation entre l’étalement urbain et les inondations à l’échelle mondiale a révélé que l’étalement urbain pourrait aggraver les effets des inondations, qui sont en fin de compte causés par les changements climatiques. L’étalement urbain désigne l’expansion d’un développement urbain à faible densité, où les habitations et les entreprises sont plus éloignées les unes des autres que dans les centres-villes. Le rapport explique que l’étalement urbain a conduit à l’expansion du développement dans les marais, les zones humides et les zones inondables. Non seulement cela signifie que davantage de personnes vivent dans des endroits susceptibles d’être inondés, mais la concrete coating fait que les eaux de crue ont eu de plus en plus de mal à s’écouler, exacerbant ainsi les inondations. Compte tenu des récentes inondations printanières au Québec (pour en savoir plus, consultez la rubrique « Montée du niveau des mers »), toute aggravation de la situation peut avoir de graves conséquences.
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Transport
[expand title= »86) A lack of public transport " expanded= »true »]
According to a report by the Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), among the CMM and neighboring municipalities, 94 % of workers utilisent principalement une voiture pour se rendre au travail. Selon Mme Plante, cela s’explique par le fait que les municipalités limitrophes ne sont pas tenues de respecter les same density rules que la CMM, ce qui donne lieu à des quartiers à faible densité et dépendants de la voiture. Ce qu’il faut, c’est une meilleure planification urbaine et une meilleure infrastructure de transports en commun pour décourager l’utilisation des véhicules privés. Pendant ce temps, le gouvernement du Québec continue de privilégier l’expansion des routes au to the detriment of public transit, alors que le budget alloué aux transports en commun représente près de la moitié de celui de l’asphalte (Rad en parle plus longuement dans » L’expansion sans fin des routes « ). Une étude menée par la Fondation David Suzuki a révélé que les jeunes Montréalais hesitate to use public transit parce qu’il n’est pas fiable et que les services ne sont pas flexibles.
Pour combattre ces lacunes, le Québec doit investir dans les transports en commun. Des horaires plus fréquents et des réseaux plus étendus pourraient aider les systèmes de métro, de bus et de train. Cela pourrait même dissuader suffisamment l’utilisation de véhicules individuels pour réduire le trafic, ce qui contribuerait à la fiabilité du service de bus. En outre, le gouvernement ne peut pas continuer à privatize public transport, ce qui pourrait décourager leur utilisation en augmentant les tarifs pour les usagers et en proposant des itinéraires guidés par le profit plutôt que par l’intérêt public (pour en savoir plus à ce sujet, lisez « Les transports en commun privatisés »). Par exemple, le projet REM peut empiéter sur l’expansion prévue de la ligne de blue metroThis is because the two lines will now share similar routes, a feature that private REM has conveniently overlooked. Also, the COVID-19 pandemic will have a major impact on transit company revenuesThis pushes them to reduce their service and further contributes to the problem.
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[expand title= »87) The underestimated environmental impact of electric vehicles " expanded= »true »]
Les véhicules électriques sont présentés comme la solution finale aux problèmes environnementaux du Québec, alors que les effets négatifs des véhicules électriques sont commodément négligés. Le principal problème environnemental des véhicules électriques provient du lithium nécessaire à leurs batteries. En 2016, une fuite dans l’usine de Ganzizhou Rongda Lithium à Tagong a entraîné la death of fish, cows and yaks qui flottaient en aval de la rivière après avoir bu de l’eau contaminée. Lithium mining in South America, un trou est foré dans les salines pour pomper la saumure riche en minéraux vers la surface. Après 12 à 18 mois d’évaporation et de filtration, le lithium peut être extrait. Au total, il faut environ 500 000 gallons d’eau pour produire une tonne de lithium. À titre de référence, la batterie d’une Tesla Model S contient environ 12 kilograms of lithium, ce qui nécessite environ 41 670 gallons d’eau. Les bassins d’évaporation peuvent également laisser échapper des minéraux dangereux dans l’environnement. Dans le NevadaFish 150 miles downstream have been affected by lithium processing. The recycling of lithium batteries is also extremely difficult for a a number of reasons, ce qui rend finalement leur recyclage 5 fois plus coûteux que l’extraction de lithium neuf.
Tout ceci étant dit, les véhicules électriques restent une solution. La transition vers les véhicules électriques était probable et attendue. Cependant, elle ne peut être considérée comme la solution parfaite pour réduire notre impact sur l’environnement – des efforts supplémentaires sont nécessaires pour compenser les inconvénients des véhicules électriques. En outre, nous devons réduire la consommation globale de véhicules personnels en passant à une utilisation accrue des transports en commun.
Pour plus d’informations sur les véhicules électriques, suivez ces liens :
- https://www.downtoearth.org.in
- https://www.weforum.org
- https://www.instituteforenergyresearch.org
- https://www.wired.co.uk
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[expand title= »88) Une dépendance excessive à l’égard du transport aérien " expanded= »true »]
À partir de 2019, la compagnie Air Canada n’offre plus de vols in many regions of Québec, and underserved areas se tournent vers le gouvernement pour qu’il fournisse une aide à davantage de compagnies aériennes régionales. Le problème des compagnies aériennes qui offrent encore des services régionaux est qu’il s’agit de petits transporteurs qui utilisent des avions vieillissants qui ne sont pas efficaces en termes de consommation d’énergie et de pollution atmosphérique et sonore. De plus, ces compagnies offrent des services de Montréal à Québec par exemple, ce qui représente un trajet d’une heure en avion. Un voyage aller-retour entre ces deux destinations contribuerait à l’émission de 82.2 KG of CO2 per passenger. Dans le « 2020 Green Economy Plan » du Québec, le gouvernement a prévu 3,6 milliards de dollars pour réduire les émissions de l’industrie du transport, mais il n’est pas question de réduire les émissions du transport aérien, qui représente 2.5 % of global CO2 emissions.
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[expand title= »89) No high-speed trains for inter-regional transport " expanded= »true »]
Les trains de passagers au Québec par VIA Rail vont de Montréal à Québec. Cependant, les services accusent de fréquents retards, les horaires sont peu pratiques et le temps projeté entre les gares n’est pas plus efficace que de prendre la voiture. A survey conducted from January 2017 to March 2019 a estimé qu’un train sur trois traversant le Québec arrivait en retard de plus d’une heure. Les raisons de ces retards sont que passenger trains use the same tracks as freight trains et que la priorité est donnée à ces derniers, ce qui limite la disponibilité des horaires de service. Le plan de « train à haute fréquence », proposé par VIA Rail, permettrait de construire de nouvelles voies ou de réaffecter des voies inutilisées, un projet qui coûterait, selon les dernières estimations, plus de 12 milliards de dollars. Cependant, les trains grandes fréquences visées par VIA Rail circuleraient plus rapidement et permettraient d’arriver à destination une trentaine de minutes avant les trains actuels. Au Québec, le plan proposé comprendrait une additional station in Trois-Rivières.
There has been a reduction in inter-regional transport in Quebecbut little or no funding has been allocated for this.
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[expand title= »90) A lack of freight transport " expanded= »true »]
More than 6302 km of track are located in Quebec. 73 % of these lanes are under federal jurisdiction and 27 % are under provincial jurisdiction. La réglementation relative au transport de marchandises et aux infrastructures de déchargement ou de livraison de marchandises est plus faible au Québec que celle du Canada, qui exige que les chemins de fer transportent tout produit pouvant être légalement transporté. Le niveau d’utilisation des voies ferrées dépend des politiques, des technologies disponibles et de la disponibilité des infrastructures. Huit ans après le déraillement d’un train transportant du pétrole brut et endommageant the town of Lac-Mégantic is still waiting for the bypass project, construction of which is scheduled to begin in 2022. All this while the railroad continues to run through the town, endangering the lives of citizens.
Le manque d’infrastructures supplémentaires peut également nuire à l’économie locale en cas de dommages aux rails ou de blocages, comme ce fut le cas en 2020 when members of the First Nations of the Tyendinaga Mohawk Territory blocked the tracks. This disrupted freight transport, led to rail worker layoffs and delays that cost companies thousands of dollars in additional costs..
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[expand title= »91) Increase in the number of vehicles registered each year " expanded= »true »]
Bien que la ville de Montréal ait fait des efforts pour être verte, la dépendance à l’égard des voitures ne permet pas d’atteindre une réduction adéquate des GES. Les émissions du transport routier représentent plus d’un tiers de l’empreinte carbone du Québec, et en réponse, les émissions n’ont diminué que de 3,1 % depuis 1990. Quebec has the second highest number of registered vehicles in the country, with more than 8.9 million vehicles. And this number increases every year. In response to this dependence, Quebec's cars and roads generate spending of more than 51 billion dollars a year. Le gouvernement du Québec prévoit d’aménager 100 kilometers of reserved lanes on main freeways which would be reserved for buses at certain times to encourage public transport. However, the these lanes will not restrict cars, puisque les véhicules électriques et hybrides pourront les utiliser. Selon les experts, ce plan ne fera qu’encourager davantage l’utilisation des véhicules privés, car il y aura plus de possibilités et d’espace pour conduire.
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[expand title= »92) Report du projet d’extension de la ligne bleue de la STM " expanded= »true »]
Le prolongement de la ligne bleue de la STM à Montréal jusqu’à Saint-Léonard et Anjou est une promesse depuis plus de trente ans. Maintenant qu’il est en cours, le projet accuse un retard d’at least 18 months en raison de la construction du REM de l’Est dans ce secteur. Ce projet devrait coûter 600 million dollars. Initially, the construction of this extension was placed on a fast track under Bill 61, but the CAQ government abandoned this project. Le secteur de Saint-Léonard attend depuis longtemps l’extension de la ligne bleue, car ce projet apporterait un agrandissement des trottoirs, 200 arbres, plus d’espaces publics, but this has all been postponed due to delays. The government of CAQ also expressed concern as to the construction of the REM, which would be built in an area similar to that of the Blue Line, as it does not want to duplicate the service, which would force the City of Montreal to re-evaluate its plan to optimize the project. It is likely that this extension project will not be ready by the scheduled date of 2026..
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[expand title= »93) Increase in SUV market share " expanded= »true »]
Le nombre de VUS achetés au Québec continue d’augmenter. La vente de ces véhicules représente 70 % market share in the province. Selon les données du ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, le nombre de VUS au Québec has jumped by more than 260 % since 1990. More cars on the road means more congestion, ce qui double les temps de déplacement et augmente le taux d’embouteillages. Et en raison de leur taille, ils contribuent à augmenter les émissions de gaz à effet de serre. Selon l’Agence interne de l’énergie, la fabrication des VLT est le deuxième facteur d’augmentation des émissions mondiales de CO2 depuis 2010, après le secteur de l’électricité. Cependant, il n’est pas prévu de réduire la publicité pour ces véhicules et les ventes de VUS vont continuer à augmenter.
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[expand title= »94) Manque d’infrastructures de transports actifs " expanded= »true »]
In order to reduce emissions in the transport sectorQuebec should be encouraging its citizens to adopt active modes of transport such as walking, cycling, in-line skating, skating and so on. Yet, at least in the Montreal region, 94 % of people mainly use a car to get to work. A study menée auprès d’étudiants montréalais a révélé que, même si 75 % d’entre eux espèrent un avenir multimodal, beaucoup sont découragés d’utiliser le transport actif en raison de leur vulnérabilité à la circulation automobile, aux accidents et aux conditions météorologiques. Bien que la météo soit essentiellement incontrôlable, les deux autres facteurs qui limitent la participation des jeunes au transport actif peuvent être corrigés par une meilleure planification urbaine.
In 2019, 71 pedestrians and 8 cyclists were killed in road accidents, 210 piétons et 56 cyclistes ont été gravement blessés, et plus de 4000 autres ont été légèrement blessés. Avec ces statistiques, il n’est pas étonnant que les citoyens ne se sentent pas en sécurité. Pour lutter contre ce phénomène, des initiatives doivent être prises pour faciliter le transport actif. Cependant, il est possible d’avoir des initiatives mal planifiées si la population n’est pas consultée – une panoplie de projets visant à faciliter le transport actif à travers le Québec ont échoué. L’augmentation des pistes cyclables, l’aménagement des carrefours, l’abaissement des limites de vitesse, l’intégration des réseaux multimodaux, la construction de chaucidous… bien qu’il s’agisse de bonnes idées en théorie, la consultation publique est essentielle pour identifier les meilleures solutions aux problèmes de transports actuels. Sans compter que l’urbanisme à faible densité dépend de l’utilisation des véhicules personnels, et qu’il faut donc donner la priorité à l’urbanisme à forte densité (pour en savoir plus, lisez « L’expansion routière sans fin »).
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[expand title= »95) Few tolls on the roads " expanded= »true »]
In particular, Québec is toll-free sur les routes. À l’exception de l’autoroute 30 and pont de l’autoroute 25, il n’y a pratiquement aucun péage sur les routes du Québec. Les tarifs de péage varient entre 1,20 $ et 3,46 $ (pour ceux qui ont un compte client, sinon c’est 9,24 $) pour les véhicules de catégorie 1. Aux deux péages, les véhicules électriques sont exemptés. Cela crée une incitation à conduire des véhicules électriques, ce qui va dans le sens du Plan 2030 for a green economye. Cependant, étant donné qu’il n’y a que deux péages au Québec, l’incitation reste assez faible.
C’est le cas même sans conduire un véhicule électrique. L’augmentation des péages peut non seulement alléger les dépenses liées aux travaux routiers (pour en savoir plus à ce sujet, lisez » L’expansion routière sans fin « ), mais elle peut aussi servir à encourager les Québécois à opter pour le transport en commun. Cela peut être particulièrement important étant donné que la taxe sur le carbone du Québec est sans doute faible (pour en savoir plus, lisez » La taxe sur le carbone n’est pas assez élevée pour inciter à un changement de comportement « ). Les conducteurs québécois sont à peine taxés, à l’exception de la taxe de 3¢ per liter imposée aux conducteurs montréalais. Dans l’ensemble, le Québec accuse un sérieux retard dans l’encouragement des déplacements durables. L’augmentation du nombre de routes à péage pourrait être une première étape simple.
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[expand title= »96) Less privatized public transport " expanded= »true »]
Au cours des dernières années, la question de la privatisation du transport en commun au Québec s’est posée. Plus particulièrement, le projet du Réseau express métropolitain (REM), un train léger sur rail à Montréal qui sera détenu et exploité par la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), qui gère les régimes de retraite québécois) pendant 99 ans. Le projet est critiqué parce qu’il est financé par le secteur privé, le CUPE arguing that CDPQ is more concerned with making profits than serving the public good. This means that rates are likely to rise, that the public will be less involved in the decision-making process and that social priorities such as reducing greenhouse gases will be neglected. CUPE members souffriront également, car la privatisation favorisera une pression à la baisse sur les salaires et les conditions de travail, certains travaux d’entretien étant même sous-traités pour réduire les dépenses de la CDPQ. De plus, its integration into Montreal's existing public transit system rendra difficile l’expansion des réseaux de transport en commun et nuira également à la connectivité entre les réseaux existants.
Dans l’ensemble, la privatisation du transport en commun ne profite pas au public. En créant davantage d’obstacles pour les usagers, elle peut décourager l’utilisation du transport en commun. À une époque où nous devons induire des changements écologiques, la privatisation du transport public est un pas en arrière.
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[expand title= »97) Des frais d’utilisation trop élevés " expanded= »true »]
Although the Plan 2030 pour une économie verte du Québec mette l’accent sur la réduction des émissions dans le secteur des transports, la stratégie du Québec consiste à électrifier l’industrie plutôt qu’à inciter les conducteurs to use public transit. Cela se reflète clairement dans le fait que les frais d’utilisation du Québec restent comparativement élevés. Par exemple, le coût d’un billet d’autobus simple à Montréal est de 3,50 $. Comparativement aux grandes villes des autres provinces, il s’agit du tarif le plus élevé pour un laissez-passer d’autobus simple, à égalité avec Calgary. Un laissez-passer d’autobus mensuel à Montréal coûte 90,50 $. Comparativement aux grandes villes des autres provinces, les prix à Montréal sont bien meilleurs, avec des coûts inférieurs à ceux d’un laissez-passer mensuel à Toronto, Vancouver and Calgary. . however, une étude menée aux États-Unis montre que le prix moyen d’un abonnement de bus dans les grandes villes américaines est de 67,07 $ US, soit 81,12 CAD.
L’ARTM de Montréal a l’habitude d’augmenter les tarifs. En 2013, des manifestants ont dénoncé le tarif d’autobus à 3 $. Between 2004 and 2014, single bus fares rose by increased by 20 %. De 2013 à 2021, les coûts d’une carte de bus simple ont augmenté de 16,6 %. Apparemment, ces hausses continues reflètent les taux d’inflation, une conséquence de la privatisation des transports en commun (pour en savoir plus à ce sujet, lisez la rubrique » Les transports en commun privatisés « ). Si le Québec vise à réduire les émissions dans le secteur des transports, l’augmentation des coûts du transport en commun n’est pas le moyen d’y parvenir.
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[expand title= »98) L’extension sans fin des routes " expanded= »true »]
Le gouvernement du Québec semble consacrer beaucoup d’efforts aux infrastructures routières – peut-être trop. Dans le Plan québécois des infrastructures (PQI) 2021-2031, le Québec consacre 28 milliards de dollars à l’asphalte, c’est-à-dire à la réfection et à la construction de routes, contre 12,8 milliards de dollars au transport en commun (lire here). This represents a 3 % of expenses in public transit compared with the last budget. In the Quebec Infrastructure Plan 2021-2022, 2,6 milliards de dollars sont investis pour » assurer le bon état du réseau routier. » De ce montant, 471,4 millions de dollars sont consacrés à la construction de nouvelles voies à la flexibility and reliability du réseau de transport en commun ainsi qu’à l’augmentation de ses subventions pour réduire les tarifs d’utilisation (lire à ce sujet dans » Des tarifs d’utilisation trop élevés « ). Cela inciterait davantage d’automobilistes à se tourner vers les transports en commun, ce qui décongestionnerait les routes et rendrait inutile la construction de nouvelles voies.
L’étalement urbain est aussi largement responsable de la dépendance des Québécois à l’égard des véhicules personnels. La mauvaise planification des banlieues à faible densité et éloignées les unes des autres laisse les résidents dépendre de l’utilisation de leur véhicule personnel pour se rendre au travail. Sur les 82 municipalités de la Communauté métropolitaine de Montréal et les 100 000 autres navetteurs des municipalités frontalières, 94 % mainly use a car to get to work. Une meilleure planification urbaine est nécessaire pour décourager l’utilisation du véhicule personnel, un phénomène qui contribue largement aux Quebec's greenhouse gas emissions. With better support, building new roads could finally become a thing of the past.
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[expand title= »99) No regulations for private yachts " expanded= »true »]
In 2019, a project by the Saint-Benoît Yacht Club has raised concerns. parmi les résidents de Sargent Bay et du lac Memphrémagog, car ils voulaient obtenir la permission du ministère de l’Environnement d’installer 99 sites uniquement devant leur propriété (jusqu’à 150 mètres de la rive) pour éviter de payer des frais de location. Les résidents qui vivent dans cette zone craignaient que leur qualité de vie ne souffre de l’augmentation du nombre de bateaux au bord de l’eau. Bien que le projet ait été rejeté par un juge, the municipality was at fault, as it had initially allowed the project to go ahead and had granted permits to the Saint-Benoît Yacht Club.
Speed limits for private boats and ships in Canada, particularly along the Gulf of St. Lawrence, fluctuate. selon qu’une baleine est repérée ou non ce qui peut provoquer des incohérences chez les conducteurs. In 2019, six vessels, including a luxury yacht, were fined for exceeding the speed limit, avant que le gouvernement ne la réduise, ce qui peut augmenter le trafic maritime autour des sites fréquentés par les baleines de l’Atlantique Nord. En outre, bien qu’il existe une limite à l’intérieur des zones protégées, il n’y a pas de cohérence pour les limites de vitesse autour de ces zones, ce qui fait courir le risque aux baleines d’être heurtées.
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Forests
[expand title= »100) Disruption of the forest's natural cycle " expanded= »true »]
L’une des resources consumed by government organizations is paper.. Ironiquement, depuis l’arrivée de la technologie, la consommation de papier a en fait augmenté au sein des gouvernements. Il s’agit d’une ressource, parmi tant d’autres, qui nécessitent une coupe supplémentaire d’arbres. Au Canada, every minute, an area of boreal forest (the size of seven NHL field hockey rinks) is felled. Instead of protecting the remaining forest areas, the Ministry of Forests plans to doubler les activités forestières d’ici 2080. Une augmentation de près de 15 % des activités d’exploitation forestière est prévue au cours des cinq prochaines années. De plus, Pierre Dufour, le ministre des forêts, a déclaré que couper plus d’arbres serait une solution pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Son argument était que le Québec augmenterait la quantité de bois récolté (qui stockerait le carbone dans le futur) et ouvrirait davantage de forêts à l’exploitation (les arbres plus jeunes pouvant absorber plus de carbone) et augmenterait les incitations gouvernementales. En outre, l’augmentation des activités forestières risque également d’entraîner l’exploitation des forêts, qui, selon le Forest Stewardship Council, sont censées être gérées de manière durable. En réalité, les zones forestières sont généralement laissées jonchées de résidus forestiers et de troncs d’arbres.
L’augmentation de l’exploitation forestière s’accompagne d’une augmentation des déchets supplémentaires de produits forestiers qui ne sont pas utilisés. Les usines du Québec produisent près de quatre millions de tonnes d’écorce par an, mais seulement la moitié de cette écorce est exportée ou utilisée comme sous-produit et l’industrie forestière du Québec n’a nulle part où la mettre.
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[expand title= »101) Perte d’emploi due à l’automatisation " expanded= »true »]
According to a étude menée par l’IRIS, les emplois dans le secteur forestier ont connu un déclin frappant ces dernières années. Entre 2001 et 2018, les emplois ont diminué de 94 000 à 59 900, sans compter les travailleurs forestiers indépendants. Ces pertes comprennent une diminution de 53 % dans l’exploitation forestière, de 37 % dans la fabrication du papier et de 27 % dans la fabrication du bois. Alors que la faible perte dans la fabrication du bois peut être attribuée à un certain nombre de facteurs, la perte dans la fabrication du papier peut être au moins partiellement liée à l’électronisation. Plus important encore, la perte d’emplois dans l’exploitation forestière peut être attribuée à l’automatisation de l’industrie forestière. Un épisode de la « Semaine verte » de Radio-Canada intitulée « Automation of forestry machinery » explore la rapidité et l’ampleur de l’automatisation de l’industrie forestière. D’un travailleur conduisant deux véhicules, à la possibilité projetée que les camions se conduisent eux-mêmes, il semble que le besoin d’employés dans l’industrie continuera à diminuer avec l’augmentation de l’automatisation, couplée à une importante pénurie de main-d’oeuvre.
En outre, les objectifs de l’industrie forestière sont en train de changer. Dans le documentaire L’Boreal Error, la foresterie au Québec semble avoir pour but d’employer la population. Aujourd’hui, son seul objectif semble être de générer de la croissance économique (pour en savoir plus, lisez « Le contrôle des entreprises sur l’industrie forestière »).
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[expand title= »102) Les droits des autochtones ne sont pas pris en compte par l’industrie " expanded= »true »]
En 2020, le Québec a annoncé une expansion importante des aires protégées dans l’Eeyou Istchee, la patrie des Cris, qui ferait passer la superficie de 12 à 24 %. Cependant, this expansion does not provide sufficient protection in the region de Broadback, l’une des dernières forêts intactes du territoire cri, qui sert de refuge au caribou boréal et qui est l’un des the world's most carbon-dense places. 30 000 km de chemins d’exploitation forestière marquent le paysage autour de cette région, ce qui fait que Broadback risque d’en faire partie. L’ajout d’aires protégées dans des régions réservées à l’industrie forestière soulève également des craintes dans l’industrie forestière qui dénonce de possibles pertes d’emplois dans l’industrie, alors que pour les Premières Nations c’est un enjeu de protection de leurs terres ancestrales.
Les entreprises, qui continuent de dominer les pratiques d’exploitation forestière dans de nombreuses forêts canadiennes, risquent d’opérer de manière durable et de respecter les droits des populations autochtones sans les protections solides et contraignantes que peut apporter l’intervention du gouvernement. C’est également le cas des communautés attikameks auxquelles le ministère des Forêts accorde une aide financière pour les aider à participer à diverses consultations forestières. Cependant, les recommandations ou les plans de développement des Premières Nations sont souvent ignorés et les zones forestières sont souvent coupées quoi qu’il arrive. De plus, lorsque les peuples autochtones sont impliqués dans la gestion des forêts, they are not recognized for their achievements over the years.
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[expand title= »103) Loss of urban forests " expanded= »true »]
L’augmentation de la construction résidentielle et le développement et la rénovation des infrastructures dans la province ont augmenté la perte de forêts urbaines. Building in forested areas doesn't just reduce the vegetation coverIt also damages tree roots, which can persist for many years, reducing the chances of tree regrowth. Une forêt est en train d’être coupée à Saint-Jérôme pour faire place à un projet d’ensemble résidentiel qui a été classé par les promoteurs comme un « quartier écologique » À Point Claire, la Corporation Cadillac Fairview, en collaboration avec Ivanhoé Cambridge du centre commercial Fairview, a proposé de convert Fairview Forest into a 50-hectare development. This forested area is not only an important green space for citizens, mais elle abrite également divers types d’arbres et d’animaux sauvages, dont des renards, des hiboux, des serpents et des rapaces. En outre, la coupe de la forêt ne ferait qu’intensifier l’effet d’îlot de chaleurwhich is already a problem in the Fairview area.
De nombreux projets entraînant la perte de forêts urbaines sont réalisés sans consultation publique. Par exemple, à l’entrée de l’aéroport international Jean-Lesage de Québec, plus de 500 trees to be felled pour faire place à un parc de développement de 1,2 million de mètres carrés. Outre la perte de la forêt, les citoyens s’inquiètent de l’augmentation du bruit des avions qui était auparavant bloqué par la couverture forestière. Cependant, les citoyens n’ont pas été consultés, car ils n’ont appris l’existence du projet que lorsque la déforestation avait déjà commencé.
Cependant, même lorsqu’il y a une consultation publique, elle n’a pas toujours un effet en faveur des citoyens. Par exemple, en 2008, la forêt de la région du lac Kénogami was declared a protected area, but in December 2020 the trees were felled anyway. Les résidents de Kénogami se battent pour la protection de la forêt, qui abrite des arbres de plus de 400 ans, et estiment que la consultation publique du ministère n’a aucun effet.
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[expand title= »104) Pollution from sawmills and paper mills " expanded= »true »]
In Quebec, the paper and pulp mills top of the list of the province's most polluting industries, emitting millions of tonnes of greenhouse gases dans l’atmosphère. Entre 2012 et 2019, l’usine de papier Domtar has almost doubled its greenhouse gas emissions, passant de 70 000 à 130 000 tonnes durant cette période. L’entreprise de papier Westrock, à Trois-Rivières, émet 1.25 million tonnes of greenhouse gases per year, more than the Quebec City and Montreal refineries.
Les particules de sciure de bois provenant du sciage se dispersent dans l’air et peuvent être dangereuses si elles se déposent dans les poumons des gens. Les sawmills also emit toxic gases tels que le monoxyde de carbone, le dioxyde d’azote et le dioxyde de soufre. De plus, si elles sont situées près de l’eau, runoff from sawmills can harm the biodiversity of these areas.
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[expand title= »105) Perturbation de l’habitat du caribou des bois " expanded= »true »]
L’augmentation de l’exploitation forestière laisse derrière elle des forêts dégradées et des sols perturbés qui diminuent le potentiel de croissance de la forêt. Par conséquent, elle pousse le caribou forestier vers l’extinction. In Charlevoix, less than twenty caribou en 2020 et le caribou de montagne de la Gaspésie, dont la population était d’environ 150 individus il y a dix ans, n’est plus qu’une cinquantaine dans la région. À Val D’Or , il reste less than 10 caribou. In 2018, the Québec government has refused to fund efforts to protect woodland caribou. Environmentalists claim that le gain à court terme de l’industrie forestière ne se rapproche pas des parcs qui abritent non seulement les caribous, mais qui attireront également les touristes et les chasseurs toute l’année.
What's more, when the government rejected 83 proposals for protected areas en 2020, il est clair qu’il a donné la priorité à la protection de l’industrie forestière plutôt qu’à la protection de la faune et de la flore (pour en savoir plus, lisez » Les zones protégées uniquement dans le Nord « ). Pipmuakan, qui a été exclu des zones protégées du gouvernement, abrite 140 caribous et représente l’une des populations les plus méridionales. In February 2022, two Innu communities in Quebec sued the Quebec government., jugeant que la province n’avait pas rempli ses responsabilités de protection des caribous dans la région du Lac-Saint-Jean et la Côte-Nord. De toute évidence, le caribou des bois est littéralement sacrifié au nom de l’exploitation forestière.
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[expand title= »106) Lack of responsibility and control " expanded= »true »]
Le gouvernement du Québec permet à l’industrie forestière d’établir la valeur marchande du bois coupé sur les terres publiques, ce qui fait perdre à la province des millions de dollars en redevances forestières parce que les entreprises omettent de déclarer jusqu’à 25 % de la facture. Comme il n’y a pas d’intervention officielle du gouvernement au sein de l’industrie forestière, l’échantillonnage, le poids du bois manipulé, la qualité du bois déclarée inférieure à la réalité sont autant de moyens par lesquels les entreprises falsifient les chiffres pour réaliser un profit supplémentaire. Le wood prices have risen threefold plus qu’au début de l’année 2021 et pourtant les producteurs de bois ne voient pas les bénéfices. Cependant the Quebec government does not want to discuss forest management to regulate the price and discuss the distribution of wealth among private owners. En plus de l’augmentation du prix du bois, le bois ne reste pas dans la province pour être utilisé par les Québécois, mais it is exported to the United StatesThis has led to a shortage of wood in Quebec.
Environmentalists are protesting this lack of management of Quebec's forests because of the destruction of biodiversity in the region. They claim that the Ministry of Forests is too préoccupé par les motifs économiques de la forêt plutôt que par l’environnement..
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[expand title= »107) Timber subsidies " expanded= »true »]
En 2018, l’administration Trump a imposé un tarif douanier de 20 % sur le bois d’œuvre canadien après des allégations selon lesquelles le bois d’œuvre canadien serait iSubsidized adjustment. L’argument, essentiellement, est que l’exploitation forestière québécoise se fait sur des terres publiques avec des low harvesting costs, tandis que le bois américain est récolté sur des terres privées. Le bois québécois est donc moins cher que le bois américain, de sorte que le tarif mis en place met les deux fournisseurs sur un pied d’égalité. Toutefois, en 2020, l’Organisation mondiale du commerce a estimé que les droits de douane n’étaient pas fondés, car le bois d’œuvre résineux de l’Ontario et du Québec n’est pas subventionné by Canada, which has led to a 9 % reduction in customs duties in December.
If Quebec nie subsidize l’industrie, le gouvernement semble tout de même la subventionner, seulement il le fait indirectement. Par exemple, entre 2019 et 2020, le gouvernement du Québec a dépensé 100 million dollars pour la construction de chemins forestiers sous le couvert de chemins à usages multiples. En affirmant qu’ils peuvent être utilisés par n’importe qui, le Québec prétend ne pas subventionner l’industrie, thus avoiding customs tariffs in the United States. Meanwhile, a episode publié par RADIO-CANADA montre que ces routes sont vraiment au milieu de nulle part, avec rien d’autre à proximité que La Patate du Gouin. Bien que les routes puissent être utilisées par tout le monde, il est clair que leur intention première est de servir l’industrie forestière.
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[expand title= »108) Forest road construction " expanded= »true »]
In March 2021, Québec will have 468,000 km of forest roads, enough to circle the planet 10.5 times. C’est à la suite du documentaire L’Erreur Boréale that Quebec's forestry companies have begun to reduce the size of their cutting sites pour rendre le paysage plus attrayant visuellement, mais cela a nécessité la construction de chemins forestiers pour accéder aux nouveaux sites. Or, cela a de graves conséquences sur l’environnement. Non seulement les sites dispersés nécessitent des déplacements supplémentaires et augmentent donc la diesel consumptionBut they also seriously damage biodiversity. Unlike a clear-cut forest, which may eventually grow back, paved roads don't allow trees to regrow. As a result, logging roads leave their mark on Quebec's forests. What's more, their construction can also affect animals. In 2020, a proposed 126-kilometre logging road in Cree territory would have coupé en deux l’habitat de trois troupeaux de caribous, une espèce dont le nombre est déjà en déclin. Bare roads help predators, rendant leurs proies de plus en plus vulnérables. Aujourd’hui encore, la construction de nouveaux chemins forestiers se poursuit. En mai 2021, un chemin forestier à Charlesbourg devrait subir une expansion qui menacerait nine wetlands, ten terrestrial environments and seven rivers114,000 sq.m. at risk.
Pour plus d’informations, consultez ces ressources :
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[expand title= »109) Impact of forestry operations on tourism " expanded= »true »]
Au nord-est du Lac Saint-Jean, un projet d’exploitation forestière est proposé pour commencer cet été. La rivière Péribonka, où le projet aurait lieu, a été proposée comme zone de protection pour protect 80 km of river including a rare forest ecosystem in Quebec. Cette proposition était l’un des 83 projets d’aires protégées qui ont été rejetés par le gouvernement Legault qui a autorisé l’exploitation forestière dans cette zone. L’ironie du sort veut que le gouvernement ait accordé des subventions pour le développement de l’écotourisme et du tourisme d’aventure au Québec, alors que le projet d’exploitation forestière se ferait à l’endroit prévu pour le tourisme récréatif et would destroy tourism potential along the Péribonka River and Lake Tchitogama. And more, roads and infrastructures will have to be built to access the areas where the trees will be cut. However, logging projects in this region have been put on hold this year by the Quebec government., qui s’engage à inscrire cette région en tant qu’aire protégée.
Le projet d’exploitation forestière destroys and reduces trail quality de randonnée populaires comme c’est le cas près des sentiers du Récré-eau des Quinze en Abitibi-Témiscamingue. On a dit que la coupe à blanc de cette zone était nécessaire en raison de l’infestation de la tordeuse des bourgeons de l’épinette.
Les résidents de l’Écodomaine des Forges ont été surpris de voir des arbres coupés par Hydro-Québec le long d’une piste cyclable. Hydro-Québec a déclaré que les arbres étaient trop hauts et qu’ils risquaient d’avoir un impact sur les lignes électriques. Le projet avait été reporté en raison de la pandémie et les citoyens n’ont pas été reconsultés.
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[expand title= »110) Protected areas only in the North " expanded= »true »]
Le Québec était tenu par l’objectif 11 d’Aichi de la Convention sur la diversité biologique (CDB) de protéger 17 % des terres et des eaux douces représentatives de la biodiversité globale du Québec d’ici 2020. Ainsi, le Québec s’est engagé à protéger 20 % du territoire du Plan Nord (dont au moins 12 % en forêt boréale au nord du 49e parallèle) et à établir un réseau représentatif d’aires protégées couvrant au moins 10 % de l’estuaire et du golfe du Saint-Laurent. Au 1er janvier 2021, le Québec avait protégé 17.03 % of its territorye, mais manquait notamment d’aires protégées sous la northern limit of forest allocations.
Tout d’abord, cette zone n’est pas représentative de la biodiversité du Québec si la majeure partie de l’aire protégée se trouve dans le Nord (pour en savoir plus, lisez la section » Objectifs de conservation % « ). Pire encore, les aires protégées choisies permettent commodément aux activités d’exploitation forestière de continue undisturbed. Le Québec fait l’extraordinaire en semblant respecter ses engagements internationaux en matière d’environnement et en donnant simultanément la priorité à la coupe des forêts plutôt qu’à leur protection. En protégeant stratégiquement les zones qui n’interfèrent pas avec les objectifs économiques de la province, le Québec masque ses pratiques non durables sous le couvert de la protection de l’environnement.
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[expand title= »111) Unsustainable biomass practices " expanded= »true »]
In 2011, 0 % from biomass of residues has seen its potential energy realized. In forestry residues désignent les débris d’arbres qui subsistent après l’exploitation forestière. Ce residual material est apparemment ce qui est utilisé de nos jours pour générer de l’énergie de biomasse. Si l’augmentation de l’utilisation des résidus est impressionnante, le Québec veut apparemment go further lawn en coupant le bouleau blanc, l’érable rouge et le tremble à des fins énergétiques, augmentant ainsi la récolte d’arbres indésirables.
L’abattage d’arbres dans le seul but de les brûler n’est en aucun cas durable, et le fait de brûler de la biomasse n’est pas considéré comme une option durable. Les débris de bois sont essentiels pour les habitats de centaines d’espèces, dont le pic et les champignons. La coupe des arbres libère également le dioxyde de carbone stocké dans leurs tissus. Ce qui est inquiétant, c’est que ce dioxyde de carbone n’est pas pris en compte dans les inventaires des émissions de gaz à effet de serre, car on suppose qu’il sera absorbé par la forêt ou par la reforestation nécessaire. Cette hypothèse est trompeuse pour deux raisons. Premièrement, si les arbres continuent d’être exploités, les forêts ne seront pas en mesure d’absorber tout le carbone qui a été libéré. Deuxièmement, le gouvernement du Québec does not check combien d’arbres sont replantés. Bien que l’énergie de la biomasse puisse être un pas dans la bonne direction, une meilleure gestion est nécessaire pour assurer sa durabilité.
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[expand title= »112) Le contrôle des entreprises sur l’industrie forestière " expanded= »true »]
L’industrie forestière est presque entièrement contrôlée par les forestiers et les entreprises plutôt que par le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs. Par ailleurs, les forêts du Québec sont un bien public et doivent être soigneusement protégées pour aider à maintenir la biodiversité et atténuer les changements climatiques. Pourtant, le ministère, qui compte more than 2,000 forestry employees, est soumis à l’industrie. Un épisode de Radio-Canada intitulé « L’argent pousse dans les arbres » a révélé les secrets de l’industrie forestière. Tout d’abord, il semble qu’environ 25 % du bois coupé n’est pas comptabilisé et que le reboisement est surestimé (pour en savoir plus, lisez la rubrique « Manque de responsabilité et de surveillance »). Il a été déclaré que le gouvernement du Québec n’a no way of knowing quel pourcentage de nos forêts est vierge ou combien d’arbres sont replantés. Le ministère des Forêts est également très influencé politiquement par les lobbyistes de l’industrie – ils avaient financé l’enquête, mais se sont retirés après la révélation des résultats.
Le fait que le contrôle des forêts soit dominé par l’industrie peut avoir de graves répercussions sur l’environnement. Le ministère et le vice-ministère montrent tous deux a disproportionate economic interest, car il y a beaucoup plus de réunions avec l’industrie qu’avec les groupes environnementaux. Des « special orders » sont donnés aux entreprises qui ne respectent pas les normes environnementales afin de les maintenir en activité. Sans une surveillance adéquate, il n’y a aucun moyen de garantir une gestion durable des forêts. Lorsque les personnes chargées de protéger les forêts servent les intérêts de ceux qui veulent les détruire, il faut faire quelque chose. Les enquêtes sur la foresterie au Québec sont utiles, mais elles n’ont aucun sens si rien n’est fait pour y répondre.
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Mining
[expand title= »113) Une absence de réglementation de l’industrie minière " expanded= »true »]
L’industrie minière québécoise est confrontée à de multiples problèmes législatifs. Premièrement, il n’est not required que tous les nouveaux projets miniers proposés passent par un BAPE (Bureau d’audiences publiques sur l’environnement). En soi, cela ne serait pas nécessairement un problème s’il existait une sorte de force juridique pour s’assurer que les sociétés minières respectent les questions environnementales, mais ce n’est pas le cas. La guideline 019 établit une liste de lignes directrices recommandées auxquelles les sociétés minières doivent adhérer, mais elle n’est pas legally binding. For example, Directive 019 provides a framework for the proper management of residues, une question qui se pose de plus en plus dans la province (pour plus d’informations, lire « Destruction des lacs »). Toutefois, ce cadre n’a pas de fondements juridiques. Ainsi, le gouvernement a confié aux sociétés minières le soin de faire leur propre police plutôt que de faire respecter les réglementations environnementales. Entre les problèmes avec Iron ore Quebec and New World GraphiteBut that's clearly not enough.
Pour une réelle sécurité, le Québec doit prendre des règlements environnementaux qui sont contraignants par la loi. Cela sera de plus en plus important alors que le Québec continue d’électrifier l’industrie du transport.
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[expand title= »114) Surface water pollution " expanded= »true »]
La pollution de l’eau de surface causée par l’exploitation minière provient du drainage minier acide (de l’acide sulfurique est produit lorsque les sulfures dans les roches sont exposés à l’air et à l’eau), de la contamination et de la lixiviation des métaux lourds, des produits chimiques transformés qui se déversent, fuient ou sont lessivés dans l’eau, ainsi que de l’érosion et de la sédimentation. L’élimination des déchets provenant des activités minières est interdite à moins qu’un permis ne soit délivré par le Programme d’immersion en mer d’Environnement et Changement climatique Canada – un programme qui précise les déchets non dangereux dont l’élimination dans l’eau peut être envisagée. Malgré cette réglementation, certains projets miniers ne disposent pas de plans de gestion des déchets adéquats. Par exemple, la mine de fer Champion, au lac Bloom, prévoit d’éliminer les résidus miniers dans les eaux avoisinantes, ce qui aurait un impact négatif sur 151 hectares de lacs et de rivières. La rivière Bécancour à Thetford Mines, qui est bordée par des montagnes de résidus miniers d’amiante, présente une augmentation des sédiments provenant des décharges ainsi qu’une contamination par des coliformes fécaux (causée par des années de déversements d’eaux usées), qui, si elle n’est pas nettoyée, continuera de contaminer le lac où se jette la rivière. On estime que cleaning up the river would cost $2 million.
De nombreux résidents de Saint-Michel-des-Saints s’opposent au projet d’exploitation minière de graphite Nouveau Monde, car ils craignent que les déchets de la mine ne contaminent et n’augmentent le flux de liquides acides dans le lac Taureau, qui compte 240 km de rives et de plages de sable et constitue un lieu important pour les vacances et le tourisme de loisirs.
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[expand title= »115) The destruction of lakes " expanded= »true »]
Par le passé, les projets miniers ont contribué à la destruction de lacs, et cette pratique se poursuit aujourd’hui. Comme nous l’avons expliqué dans la section « Absence de réglementation dans l’industrie minière », il n’existe pratiquement aucun moyen légal d’empêcher les sociétés minières de commettre des dommages environnementaux. Récemment, Champion Iron a déclaré son intention de stocker 872 million tonnes into Bloom Lake, destroying eight lakes and affecting 38, 41 streams and rivers. nearly 75 hectares of wetlands. Les résidus sont les matériels résiduels de l’exploitation minière – des fine particles qui peuvent libérer des toxines, accroître l’érosion et contaminer l’eau et le sol. Sans surprise, le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC) a déclaré qu’il n’y avait no bans de remblayer les lacs ou autres réserves d’eau. Il s’agit d’un enjeu important pour le Parti Vert du Québec qui a déjà pris position pour stopper ce projet minier.
Similarly, Nouveau Monde have proposed a 2.6-kilometre open-pit mine in the basin Lac Taureau watershed. The project is based on experimental measurements visant à empêcher les déchets riches en acide d’affecter le lac. En 2018, le gouvernement a également autorisé le projet d’ArcelorMittal, qui devait détruire 11 lacs, 15 étangs et 25 cours d’eau. Les projets miniers détruisent constamment les lacs environnants, et le gouvernement du Québec l’autorise en n’appliquant aucune réglementation environnementale. Alors qu’il semble impuissant, le gouvernement a le pouvoir d’appliquer des restrictions.
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[expand title= »116) Impact sur l’environnement local " expanded= »true »]
L’exploitation minière a de nombreux impacts environnementaux. Les stériles et les résidus miniers peuvent être rejetés dans l’eau ou dans le sol. Lorsque les roches sont déterrées et broyées, elles peuvent libérer une quantité importante de poussière dans l’air. De plus, les résidus miniers, qui peuvent contenir des déchets toxiques, peuvent se retrouver dans l’air. These two phenomena can have an impact on human health. La construction de routes et l’utilisation de machines lourdes sont susceptibles de détruire l’habitat de la faune. Les oiseaux et autres animaux sauvages peuvent être empoisonnés s’ils boivent l’eau contaminée trouvée dans les bassins de résidus. In Alberta, plus de 100 oiseaux sont morts après avoir été trouvés près d’un bassin de résidus de sables bitumineux. On a également rapporté la mort de truites, de saumons et d’autres organismes aquatiques en raison de l’augmentation de la sédimentation ou de l’acidité de l’eau causée par les activités minières. En In British Columbia, the trout population declined by 93 % downstream of Teck's Elk Valley coal mines..
The proposed iron mine on Bloom Lake in Fermont will destroy lacs, des cours d’eau, des zones humides et des boisés pour stocker 872 millions de tonnes de résidus. Environmental organizations believe that the mining company n’a pas proposé suffisamment de solutions ou d’alternatives à sa destruction environnementale, d’autant plus qu’il there is already a record of environmental damage caused by another mining project in the same region in 2014. The graphite project Nouveau Monde has received the go-ahead to begin mining operations alors que plusieurs études concernant le risque de pollution de l’eau, la gestion des déchets acides et l’impact environnemental global de cette mine étaient absentes.
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[expand title= »117) Subventions à l’industrie minière " expanded= »true »]
Le gouvernement du Québec soutient l’industrie minière en offrant un grand nombre d’incitations fiscales aux entreprises qui se livrent à des activités d’exploration et d’exploitation minière dans la province. Le taux d’imposition combiné des sociétés au Québec est de 26,6 % (à partir de 2019), ce qui est l’un des plus bas en Amérique du Nord. Cela permet à l’industrie minière de fonctionner de manière compétitive tout en offrant au gouvernement du Québec une juste compensation pour les minéraux extraits. Une étude qui a analysé le montant des subventions accordées aux industries au Canada de 2010 à 2016 a indiqué que le Quebec is the province that spends the most on subsidies ($44.3 billion for this period).
En 2020, le gouvernement du Québec a lancé le Plan québécois de développement des minéraux critiques et stratégiques (PMCS) afin de promouvoir le développement des minéraux utilisés dans la technologie et l’énergie verte au cours des cinq prochaines années. Dans le cadre de ce plan, the government will provide subsidies to companies for training costs and the payment of workers' wages. The federal government has announced that‘il verserait une subvention salariale aux travailleurs des mines qui n’ont pas pu travailler pendant la pandémie. Non seulement le gouvernement souhaite soutenir les milliers de personnes dont l’emploi dépend du secteur minier, mais il veut aussi permettre la reprise des activités minières dans le pays. Ces subventions encouragent un secteur hautement polluant qui à un impact énorme et négatif sur l’environnement. La province devrait plutôt diriger ses investissements vers les énergies renouvelables, par exemple.
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[expand title= »Railway construction " expanded= »true »]
En 2020, la Nation Cree et le gouvernement du Québec ont signé l’entente de la Grande Alliance qui permettrait la planification et l’exécution d’un programme d’infrastructure de 30 ans to facilitate the transportation of people and goods. As part of this agreement, the rail network would be extended to reduce the negative impacts of trucking. In addition, Premier Legault believes that this infrastructure will enable new nations to take advantage of northern Quebec's mining potential.
According to Premier Legault, a proposed 800-km rail line linking the port of Sept-Îles to a mining region north of Schefferville, Quebec, is important because il permettrait aux sociétés minières d’accéder facilement à des gisements de lithium inexploités.
In 2020, le gouvernement du Québec a accordé une subvention de 150 000 $ à l’entreprise valdorienne Minrail pour le développement d’un nouveau système minier, qui regroupera une série de machines qui pourraient être déplacées par un système ferroviaire dans les mines.
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[expand title= »118) L’exploitation minière pour les véhicules électriques (VE) " expanded= »true »]
Comme décrit dans les sections » Plan inadéquat pour réduire les émissions » et » Impacts environnementaux sous-estimés des véhicules électriques « , l’exploitation minière des VE pourrait être sérieusement polluante. Dans ces sections, les impacts de l’extraction du lithium des salines ont été explorés, bien que le lithium du Québec soit mainly extracted from pegmatites. Bien que ce produit ne draine pas l’eau et ne risque pas de contaminer les écosystèmes avoisinants comme le fait la saumure, l’extraction du lithium des pegmatites n’est pas une solution entièrement écologique : il faut nearly three times plus de dioxyde de carbone pour produire une tonne d’équivalent de carbonate de lithium que l’extraction à partir de la saumure. Il a été constaté que l’intensité de dioxyde de carbone de l’hydroxyde de lithium de qualité batterie est également seven times greater pour le lithium extrait des pegmatites. Cela ne veut pas dire pour autant que d’autres impacts environnementaux peuvent se produire. Entre 2013 et 2018, la société minière North American Lithium au Québec a provoqué plus de 80 accidents environnementaux, laissant s’échapper des hundreds of thousands of liters de sulfate de lithium, d’huile hydraulique, de diesel et d’autres polluants dans les eaux souterraines environnantes.
Alors que le Québec tente d’être un leader en matière de VE verte en encourageant la durabilité à chaque maillon de la chaine d’approvisionnement, l’exploitation minière excessive n’est jamais verte. Même avec les options les plus respectueuses de l’environnement, tant que l’exploitation minière persiste, il en va de même pour les dommages environnementaux potentiels qui y sont associés.
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[expand title= »119) Manque d’application des mesures de nettoyage des sociétés minières " expanded= »true »]
According to the Quebec Mining Act, les sociétés minières sont responsables de la conception d’un plan de restauration et de réhabilitation des sites miniers avant le début des opérations, et ce, dans les trois ans suivant la fin des opérations. Il est donc surprenant que le Québec compte autant de mines abandonnées que le gouvernement doit lui-même payer pour nettoyer. Selon le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles, il y a encore plus de 400 sites à inspecter et à restaurer qui sont sous la « responsabilité réelle et probable » de l’État. Depuis 2006, 178,5 millions de dollars publics auraient été investis dans la restauration de sites miniers, alors que ceux-ci sont censés être sous la responsabilité des compagnies minières. Pendant ce temps, la valeur du » passif » de ces sites reste à 1,2 milliard de dollars, soit le même montant qu’en 2010-2011. L’amendement de la loi sur les mines de 2013 exige que les sociétés minières fournissent au gouvernement 100% des coûts de restauration, cependant, cela ne met pas nécessairement la responsabilité du nettoyage de la mine entre leurs mains. Même si les coûts sont couverts par les sociétés minières, il faudra peut-être un certain temps avant que le Québec ne » rattrape » les projets récemment abandonnés, alors qu’il y a encore 400 sites à nettoyer en premier.
Le temps nous dira si les amendements soulageront le Québec de ses mines abandonnées, bien qu’une législation plus forte exigeant que les entreprises soient responsables du nettoyage réel pourrait être un moyen plus fort d’imposer une gestion appropriée.
Here's a list abandoned mine sites and their current stage in the restoration process.
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[expand title= »120) Le manque d’autonomie locale " expanded= »true »]
In Canada, les gouvernements provinciaux sont responsables de la réglementation de l’exploitation minière dans leurs juridictions. La participation du gouvernement fédéral est limitée et concerne le cycle du combustible nucléaire de l’uranium, les activités minières liées aux sociétés d’État fédérales ainsi que les activités sur les terres fédérales et dans les zones extracôtières. Les municipalités n’ont pas leur mot à dire sur le lieu des activités minières ni sur la proximité de l’exploration minérale et de l’exploitation minière. Comme dans le cas de Montebello, où les résidents craignent que les projets miniers n’affectent leur environnement local et leurs activités touristiques. Ils ont écrit au ministère de l’Énergie et des Ressources du Québec pour s’assurer que les résidents et les exploitants touristiques soient consultés avant le début des projets miniers.
The Quebec government has revised its guidelines for municipal powers, en vertu desquelles les municipalités régionales de comté peuvent exercer de nouveaux pouvoirs en matière d’aménagement du territoire et déterminer les zones incompatibles avec l’activité minière dans leurs plans d’aménagement et de développement. Cependant, on croit que malgré ce nouveau pouvoir, le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles et le gouvernement du Québec ont établi des lignes directrices strictes qui laissent encore peu de marge de manœuvre aux décideurs locaux, comme on l’a vu dans les monts Pinacle, Sutton et Hereford, dans les Cantons de l’Est, qui n’ont pu être protégé de l’activité minière.
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[expand title= »121) Harassment of towns by mining companies " expanded= »true »]
Au Québec, les sociétés minières ont mené une lutte acharnée contre les villes et les communautés pour faire en sorte que leurs projets soient menés à bien, malgré les craintes des villes quant aux perturbations ou aux dommages environnementaux. Dans le cas du « projet Miller » de Canada Carbon Inc. à Grenville-sur-la-Rouge, la société minière a reçu l’autorisation d’opérer dans la municipalité de la part du conseil précédent, mais aux élections suivantes, une nouvelle liste entière de membres du conseil a été élue par le public avec pour mandat d’to prevent the mining project in their town ; le projet Miller manquait cruellement d’acceptabilité sociale. Des préoccupations concernant l’environnement, comme la contamination de l’eau et les nuisances sonores dues aux explosions, ont été exprimées. Le conseil a donc adopted a new resolution afin que la mine ne soit plus conforme aux règlements. En réponse, Canada Carbon Inc. a poursuivi la ville en justice pour 96 millions de dollars de perte de profit de la mine, ce qu’elle a finally won. Le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) a mené une enquête pour déterminer l’acceptabilité sociale du projet, mais les recommandations faites par le BAPE ne sont pas juridiquement contraignantes et n’inciteraient donc pas nécessairement l’entreprise à changer. De plus, la municipalité a commissioned studies pour déterminer si l’eau serait contaminée, s’il y aurait des impacts potentiels sur les terres agricoles et si la santé des forêts serait menacée, mais ces études n’ont pas pu être réalisées, car l’entreprise a refusé l’accès à sa propriété.
Une autre situation similaire s’est produite entre Nouveau Monde Graphite et les Atikamekw. Le gouvernement avait approuvé the project while key environmental studies were missing, as was consultation with the Atikamekw. The community erected a roadblock to dissuade the workers, who apparently switched to the bulldozer.
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[expand title= »122) Expropriation pour l’exploitation minière " expanded= »true »]
According to the Quebec Mining Act, la superficie des terrains destinés aux activités minières doit être constituée d’un seul périmètre d’une superficie maximale de 100 hectares (à moins d’une autorisation spéciale du ministre). Pour la production de tourbe, la superficie ne doit pas dépasser 300 hectares. Si un projet proposé est situé dans les limites d’une municipalité, zoning and property tax laws must be respected. An open-pit mine must be located un minimum de 600 m d’une habitation ou à un minimum de 150 m s’il s’agit d’un nouveau projet minier. These distances have raised concerns in many municipalities. Dans la région de la Petite Nation en Outaouais, les résidents craignent qu’un projet d’exploitation de graphite près des villes voisines n’affecte leur qualité de vie ainsi que les activités récréatives et touristiques en raison de potential contamination of lakes and rivers. In Chibougamau, Vanadium One Iron Corp plans to operate an iron mine at 18 kilometers from the town center.
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Infrastructure
[expand title= »123) Inadequate wastewater treatment infrastructure " expanded= »true »]
Le Québec a notoirement autorisé le déversement d’eaux usées dans ses cours d’eau naturels, simplement parce qu’il n’y a pas d’autre option (pour en savoir plus, consultez la rubrique « Déversement approuvé d’eaux usées »). Une solution simple, du moins pour les débordements accidentels en période de fortes pluies, serait d’augmenter la capacité d’absorption de la province, par exemple en plantant plus d’arbres et en créant plus d’espaces verts. En effet, la concrete coating empêche l’eau de s’écouler naturellement, ce qui réduit la capacité du terrain à absorber l’excès d’eau.
In March 2021, Saint-Jean-sur-Richelieu discharged wastewater for the fourth time in three years210 million liters in 2019. This was apparently due to travaux d’entretien nécessaires pour éviter de futurs débordements, mais il doit y avoir de meilleures façons d’effectuer de tels travaux. Les futures installations de traitement des l’eau devrait certainement être construites pour éviter les débordements dès le départ, bien que le fait d’avoir des plans pour les procédures d’urgences devrait également être personnalisé. En mars 2021, 80 municipalities ne disposaient toujours pas d’installations de traitement des eaux usées. En outre, de nombreuses municipalités do not comply with regulatory standards in this area, ce qui indique que le gouvernement devrait s’efforcer de faire appliquer ces normes légalement. En outre, les stations d’épuration existantes doivent be upgradednot only to remedy their ageing process, but also to be able to deal with new, harmful compounds.
To find out more about this issue, click here.
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[expand title= »124) Accelerated sacrifice of wetlands " expanded= »true »]
With the implementation of Bill 66, construction projects are being pushed through the province with little consideration for environmental risks. This accélérera 181 projets d’infrastructures à travers la province, y compris l’extension du projet REM. De nombreux groupes environnementaux s’inquiètent des conséquences environnementales de ces projets accélérés. Projects with modern or low environmental risks will be allowed to go ahead. et ne seront tenus de fournir des évaluations environnementales qu’à mi-chemin de la construction. Le risque de cette accélération est que certains projets entraînent la perte de zones humides ou de plans d’eaux et menacent des espèces déjà vulnérables. In addition, the bill will limit citizen participation in decision-making on certain projects.
L’adoption du projet de loi a également été controversée. Deux des trois partis d’opposition ont voté against the bill Québec Solidaire and the Parti Québécois. The Liberal Party supported the bill, believing that certain strict environmental rules were needed to protect the environment. can be neglected au nom de la relance économique. Le consensus est clair : le projet de loi 66 aura définitivement des effets négatifs sur l’environnement.
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[expand title= »125) Un manque d’infrastructures pour les énergies renouvelables " expanded= »true »]
Although 95 % de l’énergie du Québec is currently supplied by hydroelectric dams, 70 % of our greenhouse gas emissions come from fossil fuels. energy sector. Pire encore, Hydro-Québec a révélé que ses barrages n’ont capacity de fournir de l’énergie que jusqu’en 2026 et de l’électricité jusqu’en 2025. Pour répondre à ses besoins énergétiques, le Québec semble plus que disposé à investir dans le gaz naturel, mais qu’en est-il des énergies renouvelables non carbonées ?
Bien qu’il y ait actuellement la question des parcs éoliens privatisés , certaines municipalités du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie ont connu a great success dans l’implantation de l’énergie éolienne. De plus, energy efficiency ratio (la quantité d’énergie produite par rapport à la quantité nécessaire pour l’obtenir) est beaucoup plus élevé pour l’énergie éolienne que pour les combustibles fossiles ; 35 à 70 contre 3 à 30 respectivement. Cela s’explique par le fait que les combustibles fossiles nécessitent plus d’énergie over time, as they become more difficult to extract.
En ce qui concerne l’énergie solaire, elle représente actuellement less than 1 % du mix énergétique du Québec. Pendant ce temps, le Québec reçoit une irradiation solaire plus élevée que l’Allemagne, qui était the fourth plus grand producteur d’énergie solaire en 2019. Plutôt que d’investir dans des ressources énergétiques combustibles, le Québec devrait diversifier ses sources d’énergie propre et renouvelable avec l’énergie solaire et éolienne.
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[expand title= »Lack of infrastructure for soil decontamination " expanded= »true »]
In Quebec, approximately two million metric tons of contaminated soil are disposed of each year.. In 2015, studies showed that more than half of all landfills and dumps designated for contaminated soil are located on public land and even under municipal parks. While toxic soils are supposed to be dumped on designated sites, contaminated soils have been dumped on agricultural land. In Saint-Rémi, a lettuce grower is located à côté d’une décharge à ciel ouvert composée de briques, de béton et d’autres matériaux de construction. La terre contaminée trouvée dans la décharge s’est infiltrée dans les terres agricoles. Cependant, bien que ce site soit considéré comme une décharge illégale, aucune accusation n’a été portée, alors que des avis de non-conformités avaient été donnés aux fautifs en 2018. Un cas similaire d’infiltration de PCBS (used to manufacture coolants and lubricants) par une entreprise d’équipement électrique dans les systèmes de drainage de Pointe-Claire s’est produit en 2013. Les barrels containing the substance were withdrawn in 2013, mais le sol contaminé n’a pas été touché avant 2021.
The City of Montreal has issued grants for municipal and private projects to decontaminate their land before the end of 2022. However, during the construction of the LRT, it was found that over 600 tonnes of hazardous materials to be landfilled in Ontario au lieu d’être décontaminées de manière plus écologique ; afin de réduire les coûts, le Québec a émis une subvention similaire, investissant 1 billion to decontaminate soil over 10 years. Also, more than 400 problem sites have been identified across the province, including primary and secondary schools, CEGEPs and administrative buildings (dont beaucoup ont été construits près de zones de mines existantes), mais malgré l’incitation financière, les actions concrètes manquent.
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[expand title= »126) Inefficient waste management and recycling infrastructure " expanded= »true »]
Au Canada, une grande partie des matériaux recyclables est envoyée à l’étranger because the country does not process a large part of its recycling at the national level.l. In Quebec, in 2017, more than 60 % of materials are sent to China, while only 40 % are processed and transformed into new products. Le gouvernement canadien a fait valoir que non seulement il ne dispose pas d’une infrastructure adéquate pour gérer ses propres déchets, mais qu’il justifie les avantages économiques pour les pays en développement d’envoyer leurs déchets chez lui. However, waste sent to these countries is unregulated and can be mixed and contaminated, making it impossible to recycle. This has led to l’interdiction pour le Canada d’expédier ses déchets vers les pays asiatiques. D’une part, le Canada a contourné cette interdiction en envoyant ses déchets aux États-Unis pour qu’ils soient ensuite exportés, mais d’autre part, une grande partie des déchets restent dans des installations de traitement en attendant d’être ramassés. Dans certaines villes canadiennes, les habitants ont été informés que les entreprises de recyclage accepteraient moins d’articles afin de réduire la quantité de déchets. If this continues, more potentially recyclable waste will end up in garbage and landfills.
Les entreprises de recyclage de Montréal se tournent vers le gouvernement provincial pour obtenir des fonds afin de résoudre le problème causé par l’interdiction. Pour que les plastiques soient correctement traités, les produits qui entrent dans l’installation de recyclage doivent être propres et bien triés. Les machines existantes ne peuvent pas tout nettoyer, et si d’autres matériaux passent, les machines peuvent se bloquer. In addition, l’augmentation des différents types de plastiques qui aboutissent dans les installations de recyclage rend difficile un recyclage satisfaisant. Et comme les installations de tri varient d’une municipalité à l’autre, certain type de plastique étant accepté dans l’une et pas dans l’autre, cela réduit la quantité de plastique brut bien trié et de haute qualité disponible pour le traitement. Un investissement est nécessaire pour promouvoir l’amélioration de la qualité et le développement des débouchés du recyclage au Québec repairing old machines and producing higher-quality recyclable products.
In the Arctic communities of Nunavik, Quebec, we've found that, while they don't produce the same amount of waste as southern regions, they do have a significant impact on the environment, elles n’ont pas accès aux services ou aux infrastructures qui leur permettraient de traiter leurs déchets. Il n’y a pas d’incinérateurs, pas de programmes visant à recycler le papier et le carton, pas de programmes de recyclage des ménages.
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[expand title= »127) Des ressources insuffisantes pour appréhender les criminels de l’environnement " expanded= »true »]
In Quebec, many environmental actions go unnoticed and environmental criminals go unpunished because of l’absence de police environnementale dans la province. Selon le droit de l’environnement au Canada, il existe des régulateurs environnementaux au Canada qui sont nommés pour mener des enquêtes environnementales ainsi que des agents d’exécution qui ont des pouvoirs similaires à ceux des agents de police. Cependant, cela n’a pas diminué le nombre d’amendes environnementales au fil des ans, notamment au Québec. En 2017, les amendes environnementales ont augmenté de 29% with over $9$ million in penalties. Beaucoup de ces activités non réglementées se produisent dans des secteurs différents. Dans l’industrie forestière, il n’y a pas de réglementation de l’exploitation des forêts et de l’impact sur l’environnement, l’accent étant mis uniquement sur les avantages économiques. Dans le secteur minier, les agents d’application de la loi d’Environnement et Changement climatique Canada ont découvert qu’une société minière québécoise avait éliminé des matériaux de dragage en dehors de la zone d’élimination en mer autorisée à quatre reprises. L’entreprise a finalement été condamnée à une amende de 400 000 $ pour dommages et intérêts. À Montréal, les problèmes de ramassage des déchets ont fait la une des journaux ces dernières années. Une enquête a révélé que les Services environnementaux Richelieu (SER) (une entreprise de gestion des déchets) facturaient à Montréal les déchets qu’ils prenaient à d’autres municipalités, que des déchets commerciaux étaient mélangés aux déchets résidentiels aux frais de la ville et qu’à plusieurs reprises, des matériaux recyclables étaient mélangés aux déchets. De plus, il a été constaté qu’en raison d’une surveillance inadéquate, les camions n’étaient pas systématiquement pesés avant de commencer leur ramassage et que les employés de la ville ne prêtaient pas attention aux traceurs GPS des camions.
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[expand title= »128) Greenhouse production capacity is insufficient " expanded= »true »]
In Canada, due to the sudden drop in cannabis production in 2019, there are thousands of square feet of empty cannabis greenhouses qui peuvent être utilisés pour produire des fruits et légumes toute l’année. La production québécoise de fruits et légumes de serre est passée à 9,3 % en 2019, une petite augmentation par rapport à l’Ontario (65 %) et à la Colombie-Britannique (19,2 %). Premier Legault has promised to double the value of greenhouse production in Quebec, estimating a budget of 50 $ over five years. Cependant, il n’a pas donné de détails sur la façon dont cet argent serait utilisé. Les experts suggèrent que pour que la production en serre soit un succès, il faudra de la technologie, de la formation, des agronomes, toutes things missing in Quebec. In terms of technology, these experts addressed the issues of heat and light (both of which are needed to produce a greenhouse efficiently). As of 2021, il a été estimé qu’à peine 40% des serres du Québec ont un éclairage artificiel, qui est une nécessité pendant l’hiver et le chauffage est fourni par le gaz naturel ou la biomasse alors qu’il devrait être fourni par l’hydroélectricité inutilisée qui repose dans les barrages du Québec.
Les toits verts constituent un autre enjeu au Québec en ce qui concerne la production de fruits et légumes de serre. Le Québec a les politiques les plus strictes au monde en matière de toits verts. Les grandes villes comme Montréal et Québec n’ont pas de lois concrètes pour exiger des toits verts, il n’y a pas de financement de la part des gouvernements locaux, et aucune politique pour installer ces toits verts sur les bâtiments existants. Aussi, au Québec, la majorité des municipalités n’obligent pas les toits verts. La plupart des problèmes liés aux toits verts proviennent du risque d’infiltration d’eau ainsi que de la capacité d’un bâtiment à supporter le poids supplémentaire que représente un toit vert. Actuellement, à Montréal, les toits peuvent supporter environ 40 livres de neige par pied carré de surface, alors qu’un pied cube de sol humide peut peser jusqu’à 100 livres. In January 2020, Gatineau's new regulations will require companies to install green roofs on all buildings over 2,000 square meters. Toutefois, les entreprises de construction s’opposent à cette nouvelle exigence environnementale, car elles estiment qu’elle fera augmenter le coût de la construction.
Plus d’informations :
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[expand title= »129) Inadequate flood management infrastructure " expanded= »true »]
Les inondations printanières au Québec sont de plus en plus fréquentes et sévères, mais les municipalités à risque ne semblent pas bien équipées pour y faire face. Jusqu’en 2019, la carte des zones inondables le long de la rivière des Prairies n’avait pas été mise à jour since the 1980s. Even in 2017, it was planned to update the map using 2006 data. Outdated maps make flood prevention planning incredibly difficult, as it's hard to predict which areas need to be protected and to what extent. The new card includes the flood zones for the spring floods of 2017 and 2019 - a useful tool that was made available far too late.
La solution évidente serait de décourager le développement dans les plaines inondables des rivières, en leur accordant ce que l’on appelle un « space of freedom« . Cela permettrait aux cours d’eau de se déverser selon leur capacité naturelle et à l’eau d’être absorbée, empêchant ainsi les inondations en aval (pour en savoir plus sur la concrétisation et les inondations, consultez la section « Inondations accrues dues à l’étalement urbain »). Ces mesures seront nécessaires à long terme, car le changement climatique continuera à aggraver la situation.
En attendant, les municipalités doivent mieux se préparer aux crues printanières. En 2019, les résidents de L’Île-Bizard, de Pierrefonds et d’Ahuntsic ont été avertis de se préparer à l’évacuationWe didn't know which dikes would overflow. A few days later, a natural dike at Ste-Marthe-sur-le-Lac s’est rompue, et en réponse, la ville a construit deux digues en gravier. À la fin du mois d’avril, 9 070 maisons et 273 entreprises ont été inondées, entraînant le déplacement de 12 000 personnes, et 82 glissements de terrain se sont produits pour faire face à l’excès d’inondation. La page « Flooding: How to protect your home » de Montréal donne aux résidents des tonnes de mesures à prendre pour protéger leur maison des inondations, notamment la construction de murs de sacs de sable. Toutefois, il ne devrait pas incomber aux citoyens de se protéger eux-mêmes contre les inondations. Si le gouvernement du Québec n’a pas mis à jour ses cartes d’inondations depuis des décennies et que les promoteurs construisent des maisons dans des zones à risque inconnues, le gouvernement devrait être chargé de protéger les maisons. En 2018, le Québec a annoncé que chaque municipalité avait two years pour établir des plans d’urgence en cas d’inondation. Espérons que les citoyens québécois seront mieux protégés grâce à l’augmentation des infrastructures de gestion des inondations, comme des digues plus grandes, un drainage plus efficace et aucun nouveau développement dans les zones inondables.
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[expand title= »130) Un manque d’infrastructures de transports en commun " expanded= »true »]
According to a report by the Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), among the CMM and neighboring municipalities, 94 % of workers utilisent principalement une voiture pour se rendre au travail. Selon Mme Plante, cela s’explique par le fait que les municipalités limitrophes ne sont pas tenues de respecter les same density rules as the CMM, ce qui donne lieu à des quartiers à faible densité et dépendants de la voiture. Ce qu’il faut, c’est une meilleure planification urbaine et une meilleure infrastructure de transport en commun pour décourager l’utilisation des véhicules privés. Pendant ce temps, le gouvernement du Québec continue de privilégier l’expansion des routes au détriment du transport en commun, alors que le budget alloué au transport en commun représente près de la moitié de celui de l’asphalte (Rad en parle plus longuement dans » L’expansion sans fin des routes « ). Une étude menée par la Fondation David Suzuki a révélé que les jeunes Montréalais hesitate to use public transit parce qu’il n’est pas fiable et que les services ne sont pas flexibles.
Pour combattre ces lacunes, le Québec doit investir dans les transports en commun. Des horaires plus fréquents et des réseaux plus étendus pourraient aider les systèmes de métro, de bus et de train. Cela pourrait même dissuader suffisamment l’utilisation de véhicules individuels pour réduire le trafic, ce qui contribuerait à la fiabilité du service de bus. En outre, le gouvernement ne peut pas continuer à privatize public transport, ce qui pourrait décourager leur utilisation en augmentant les tarifs pour les usagers et en proposant des itinéraires guidés par le profit plutôt que par l’intérêt public (pour en savoir plus à ce sujet, consultez la section « Transports en commun privatisés »). Par exemple, le projet REM peut empiéter sur l’expansion prévue de la blue metro lineThis is because the two lines will now share similar routes, a feature that private REM has conveniently overlooked.
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Land use
[expand title= »131) Augmentation de l’étalement urbain " expanded= »true »]
L’étalement urbain est le phénomène par lequel la planification urbaine favorise le développement à low density. The creation of suburbs around dense city centers is a case in point: sprawling neighborhoods that force citizens to be dependent on their personal vehicles. In Montreal's surrounding municipalities, 94 % of workers prennent la voiture tous les jours pour se rendre à leur lieu de travail. Ce type d’aménagement urbain augmente les émissions de gaz à effet de serre, mais il nuit aussi gravement à la faune.
Comme ce type d’aménagement nécessite beaucoup d’espace, la nature est souvent sacrifiée au profit des développements. Farmland, forests and natural habitats under threat. Dans « Espaces verts urbains », « Fragmentation des habitats », « Sacrifier les zones humides pour le développement » et « Sacrifier les zones humides », les impacts environnementaux négatifs de l’étalement urbain sont étudiés. De la transplantation d’une espèce rare de ginseng for development purposes in Sainte-Julie, in la destruction d’une forêt à Hudson to build housing units, at the construction d’appartements sur une zone censée être un parc à Val-d’Or, au sacrifice d’un écoparc à Montréal pour le développement, à la construction d’une maison de retraite dans un parc à Lavaland l’élimination d’un espace vert à Anjou pour un projet industriel – voilà les effets de l’étalement urbain.
L’étalement urbain a également aggravé les conséquences des inondations. En convertissant en béton des zones humides, des marais, des forêts et d’autres terres naturelles qui absorbent généralement l’excès d’eau, l’eau s’accumule lors des crues de printemps et des fortes pluies et augmente les inondations. C’est ce qu’on appelle la bétonisation, un changement d’affectation des sols qui peut avoir des effets dévastateurs sur le bien-être humain et les infrastructures (pour en savoir plus, consultez les sections « Risque accru d’inondation dû à l’étalement urbain »).
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[expand title= »132) Sacrificing wetlands " expanded= »true »]
Time and again, Quebec's wetlands are sacrificed for new development. Wetlands are important to us because elles abritent la biodiversité, réduisent les gaz à effet de serre, préviennent les sécheresses en retenant l’eau pendant les périodes de sécheresse et préviennent les inondations en réduisant la quantité d’eau envoyée en aval (pour en savoir plus, lisez la section » Risque accru d’inondation dû à l’étalement urbain « ). Dans tout le pays, wetlands are often drained pour être converties en terres agricoles – un problème étroitement lié à l’étalement urbain – ou drainées pour la construction d’infrastructures ou pour des sites d’extraction.
Hudson, a wooded wetland appelée Sandy Beach Woods risque d’être convertie en logements. Le projet impliquerait le backfilling of 4,266 square metres de zone humide. Le Technoparc de Montréal est également menacé de développement. Jusqu’en 2017, c’était la plus grande zone humide de l’île, mais elle est maintenant sacrificed for REM development, ce qui affecte plus de 100 espèces. En outre, la mine de fer du lac Bloom a proposé un plan d’élimination dans lequel 872 million tonnes of tailings would be stockpileddestroying several wetlands, but by allocating 160. The same plan would encroach on 151 hectares of lakes and rivers. Aussi, le projet d’expansion du LET à Bury détruirait 4.9 hectares of wetlands.
Sacrifier des zones humides pour le développement n’est vraiment dans l’intérêt de personne. Une conscience environnementale accrue dans la planification urbaine est nécessaire pour mettre fin aux quartiers à faible densité qui empiètent sur d’importants habitats naturels. D’autres projets, tels que le REM, la mine de fer et le LET, doivent également accorder une plus grande priorité à l’environnement.
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[expand title= »133) Utilisation des terres pour l’agriculture animale " expanded= »true »]
Aujourd’hui, 80 % of the world's agricultural land is used for livestock production. Un tiers des terres cultivables servent à produire des aliments pour les animaux, tandis que 26 % des surfaces libres de glace de la Terre sont utilisées pour le pâturage. Ironiquement, malgré l’énorme quantité de terres utilisées pour le bétail, it accounts for only 18 % of global calories and 37 % of total proteins. Au Québec, plus de la moitié de la production agricole est liée à l’élevage, Beef and dairy production are the most important, followed by pork and poultry.s. In Quebec, there are approximately 8908 farms devoted to beef production. La production de bovins (et d’agneaux) occupe la plus grande partie des terres, soit environ 2,89 milliards d’hectares pour les pâturages, puis 43 % des terres cultivées pour la production d’aliments pour animaux. Les problèmes qui se posent avec l’utilisation étendue des terres pour l’agriculture animale sont qu’elle reduces the diversity of landscapes and natural habits, d’autant plus que la plupart des cultures sont des monocultures (comme le maïs). Ces cultures peuvent provoquer l’érosion des sols et avoir un impact négatif sur l’écosystème du sol. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a déclaré que les changements de régime alimentaire, qui comprennent des régimes à base de plantes et des aliments d’origine animale durables, pourraient libérer plusieurs millions de kilomètres carrés de terres d’ici 2050 et réduire potentiellement de 0,7 à 8,0 gigatonnes les émissions de gaz à effet de serre par an. Cependant, dans le Plan d’agriculture durable du Québec, publié en octobre 2020, il n’est pas question de réduire l’utilisation des terres pour l’agriculture animale.
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[expand title= »134) Perte d’espaces verts urbains " expanded= »true »]
Au Québec, il existe de nombreux exemples d’espaces verts existants qui sont détruits pour faire place à des développements résidentiels ou commerciaux. Les promoteurs plantent quelques nouveaux arbres ou créent un petit parc pour compenser les dommages et faire paraître leur projet plus » vert « . Le plan de verdissement de l’arrondissement Mercier-Hochelaga a suscité des inquiétudes. Bien que les plans prévoient la plantation d’arbres et la création d’espaces verts et de jardins, de nombreux arbres ont été coupés et des jardins déplacés pour faire place à des projets d’infrastructures. Le plan prévoit également de déminéraliser les trottoirs tout en minéralisant les skate parks. Un projet industriel est proposé pour être construit sur le site du Golf Métropolitain d’Anjou qui comprendrait 1 million de pieds carrés de bâtiments ainsi qu’un stationnement pouvant accueillir 1200 véhicules et camions. Ce projet entraînerait l’élimination d’un espace vert dans ce secteur ainsi que l’obstruction d’un corridor vert entre le parc du ruisseau Montigny à l’extrême nord de l’île et le parc de la promenade Bellerive. Le maire d’Anjou veut aller de l’avant avec ce projet, car il croit qu’il s’agit d’un bon investissement économique pour l’arrondissement. Dans la ville de Val-d’Or, une partie des terrains destinés au futur parc des Pionniers doit être vendue pour permettre la construction d’immeubles à logements, car le maire estime qu’il s’agit d’un bon investissement et qu’il y a très peu d’autres terrains à construire autrement. Un problème similaire se pose à Laval où une maison pour ainés fut construire dans un au bord de l’eau, malgré la contestation des citoyens, qui préféraient que l’ensemble du terrain du parc soit conservé. And the area where the retirement home is to be built is in a flood zone.
In Montreal, the Green Coalition loses its court battle against the Technoparc zone. L’objectif de la Ville est d’en faire un lieu privilégié pour les entreprises spécialisées dans le développement durable et les technologies propres. Or, il s’agit d’un écosystème abritant une grande variété d’espèces d’oiseaux qui sont en danger et qui pourraient subir une perte importante de leur population avec la construction et l’abattage des arbres. La ville de Montréal a toutefois affirmé qu’elle protégera 16 hectares de terrains dans la zone du Technoparc.
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[expand title= »135) Forest harvesting " expanded= »true »]
Il y a eu de nombreux cas au Québec où des arbres rares ou matures ou des zones forestières ont été coupés pour faire de la place à des développements immobiliers, et très souvent il n’y a pas eu de consultations publiques avec les citoyens. À Sainte-Foy, dans la ville de Québec, mature trees are cut down to build a home for the elderly. La particularité de cette zone est qu’elle est occupée par une ancienne église qui avait été vendue au gouvernement du Québec pour être transformée en maison de retraite et entourée d’arbres. Bien que le CIUSS affirme qu’il va replanter des centaines d’arbres pour compenser la perte, les citoyens n’ont pas besoin de la nécessité de couper les arbres existants. De plus, les citoyens ont reçu très peu d’informations sur l’ensemble du projet de réaménagement de l’église.
À L’Île-Perrot, citizens were dismayed to see crews cutting down a white oak forest to make way for a housing development. Non seulement le chêne blanc est une espèce d’arbre rare au Québec, mais il a une valeur écologique et historique importante pour la ville. Il abrite également une espèce de grenouille protégée par le gouvernement fédéral (la rainette faux-grillon de l’Ouest) ainsi que des oiseaux et des renards. Selon les citoyens, il n’y a pas eu de consultation publique autour du projet.
À Pointe-Claire, il y a eu plusieurs cas d’abattage et d’élagage d’arbres pour faire de la place pour les routes pavées et pour le nouveau projet de condos Pioneer. Selon la ville, ces opérations étaient nécessaires pour le réacheminement des poteaux et des fils électriques. Ils disent qu’ils vont compenser la perte d’arbres en prévoyant quatre nouveaux arbres à croissance rapide dans le village.
Le long de l’échangeur Turcot et de Montréal-Ouest, un parc de 2,8 kilomètres sera aménagé et comprendra des pistes cyclables et piétonnes. However, between 400 and 600 trees will be felled as part of the redevelopment plan.. La ville fait valoir que l’abattage des arbres est nécessaire parce que les travailleurs doivent accéder à la falaise pour assurer un drainage adéquat et protéger la stabilité des terres entourant cette zone. Les défenseurs de l’environnement sont en colère contre ce plan, car cette zone boisée abrite plus de 65 espèces d’oiseaux, qui sont désormais menacées une fois l’abattage commencé.
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