Le mort de Matthieu Lévesque soulève de nombreuses questions sur notre système de santé mentale ainsi que sur le recours à la force létal par les policiers.
Selon la mère de Matthieu, les policiers auront attendu « un quart de seconde » avant d’ouvrir le feu sur le jeune homme qui était armé d’une arme blanche.
Le dossier rappelle de l’affaire Sammy Yatim qui aurait été abattu par la police de Toronto en 2013. Dans ce cas, le policier impliqué aurait été accusé de meurtre à la suite de l’enquête indépendante.
Dans le cas de Matthieu Lévesque l’enquête aurait était confier à la Sûreté du Québec.
La famille Lévesque et l’ensemble de la population méritent des explications.