La question de la diversité sexuelle et des genres tient à coeur au Parti Vert du Québec. Nous comptons mettre de l’avant les enjeux et la réalité LGBTQ+ lors des élections provinciales qui approchent à grands pas.
Non seulement le Parti Vert du Québec est un parti féministe et multiculturel, mais c’est également le seul parti avec une équipe de candidat-e-s qui compte un grand nombre de représentant-e-s de la communauté LGBTQ+. Le Parti Vert du Québec est de l’avis que le gouvernement du Québec doit intensifier sa lutte contre l’intimidation, l’homophobie et la transphobie. Cette lutte commence sur les bancs d’école, mais doit se poursuivre partout dans notre société. Nos concitoyen-ne-s des minorités de genres et sexuelles ont les mêmes droits que les autres et l’intolérance à leur personne doit être ardemment combattue. La diversité de genre et sexuelle au Québec ainsi que l’ouverture de notre société est une source de fierté et doit être célébrée.
À cet égard, voici un aperçu rapide de nos candidat-e-s. Sylvain Dodier, militant de longue date, se présente dans le comté de Mégantic. Dès les années 80, il co-fonde le premier centre pour les gais et lesbiennes au CÉGEP de Sherbrooke. Puis, étudiant en sexologie, il collabore avec l’ADGQ et publie le Manifeste Rose qui remet en question et permet la modification de la formation universitaire offerte sur les réalités sexuelles. Yan-Dominic Couture aimerait avancer le mouvement, notamment en région là où il réside, et s’engage à travailler fort pour bâtir des ponts, faire tomber les préjugés et encourager une société plus inclusive. L’implication sociale d’Élisabeth Grégoire, candidate dans Taschereau, a débuté à 13 ans lorsqu’elle a annoncé à sa famille, ses amis et les étudiants de son école qu’elle était bisexuelle. Elle habitait une région éloignée et a subi l’intimidation de ses camarades de classes, ce qui laissa ses professeur-e-s de l’époque indifférent-e-s. C’est alors qu’à 14 ans, elle prit l’initiative de fonder un groupe LGBTQ+ dans son école pour lutter contre l’homophobie. Elle a dû faire pression sur la direction de son école pendant deux ans avant qu’ils acceptent la formation de ce groupe. Jason Mossa, candidat dans Vaudreuil, est un militant pour la cause LGBTQ+, courtier immobilier et activiste pour la cause animale. Candidat dans Mont-Royal-Outremont, Vincent J. Carbonneau est pansexuel et agender, c’est-à-dire non genré, soit ni masculin, ni féminin. Il utilise les pronoms masculins puisqu’il les utilise de façon neutre, mais en anglais utilise « they/them ». À ses yeux l’identité de genre de chaque individu lui appartient ainsi que la définition de celle-ci. À ce titre, il milite au sein du Comité diversité de sa faculté de droit en tant que représentant des 2e années. Alex Bellefeuille, se présentant dans Jean-Lesage, est impliqué au sein du Parlement étudiant du Québec ainsi que dans la cause queer. Il accomplit actuellement son deuxième mandat en tant que coordinateur événementiel et membre du conseil d’administration de l’organisme LGBTQ+ Queer Concordia. Aussi, Alex a été formé auprès de l’organisation du Gris-Québec pour leur programme de démystification de l’homosexualité et de la bisexualité auprès des étudiant-e-s au secondaire. Finalement, Annabelle Desrochers est une jeune militante écologiste qui s’implique en politique afin de revendiquer un plus grand respect de l’environnement. Elle est lesbienne et une militante LGBTQ+ depuis son plus jeune âge. Elle est maintenant déterminée à apporter du changement positif à la société québécoise en s’impliquant avec le Parti Vert du Québec comme candidate dans Saint-Jérôme.