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Suite à l’appel du Collectif pour un Québec sans pauvreté, du 8 Juillet 2018, concernant la position des partis politiques québécois quant à l’éradication de la pauvreté dans la province, le Parti Vert du Québec se livre sur ses positions et ses projets.

En effet, les enjeux qui accompagnent le quotidien des personnes dans une situation de précarité devraient être mis au premier plan des programmes politiques. Le Parti Vert du Québec estime qu’il est inacceptable qu’une grande partie de la population québécoise ne puisse pas combler ses besoins primaires.

C’est avec un programme ambitieux que nous croyons pouvoir sortir l’ensemble du Québec de la pauvreté. Nous proposons tout d’abord d’augmenter le salaire minimum à 15$ par heure, combiné avec des modifications au Code de Travail pour assurer une bonne application de la loi par les employeur-euse-s. Le Parti Vert du Québec lutte également pour l’instauration d’un revenu minimum garanti de 1200$ par mois. De plus, les personnes atteintes de maladies ou d’un handicap physique/mental verront leur revenu minimum garanti bonifié. L’ensemble des Québécois-es seront admissibles sans conditions. Il y aura également une exemption de travail de $600 par mois, afin de permettre aux personnes de travailler à temps partiel sans compromettre leur accès au programme.

Ce programme, à terme, remplacera celui de l’aide sociale et permettra la sortie de l’ensemble de la population de la pauvreté.

Nous croyons également qu’il faut mettre un terme définitif aux mesures d’austérité sauvages qui affectent principalement les personnes marginalisées et en situation de précarité. Il faut plutôt bonifier les ressources pour ces personnes plus vulnérables.

De plus, le PVQ propose aussi la construction de 50 000 unités de logements sociaux par année pour combler les besoins criant dans la province.

Quant au sujet de la pension alimentaire, le Parti Vert du Québec considère que la somme devrait être donnée en plus des prestations sociales pour les familles monoparentales. Selon nous, il est nécessaire de mettre fin au calcul des pensions alimentaires comme revenus pour les prestataires d’aide sociale. À cela devrait être ajouté un réseau de support et d’aide juridique, d’aide financière aux études et au soutien au logement.

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