« Quelques heures avant la fermeture du bureau du directeur du scrutin, le 15 septembre dernier, Jean-Charles Pelland a déposé sa candidature. Grâce à ce geste, ceux pour qui l’environnement devrait prévaloir dans toute décision politique pourront cocher la case du Parti vert.
Le chercheur postdoctoral en philosophie, qui partage son temps entre Montréal et le Lac Nicolet, tenait à pouvoir voter pour un parti qui fait de l’environnement sa mission principale. Alors qu’il se renseigne pour s’engager comme bénévole auprès du représentant régional du Parti vert, il apprend l’absence de candidat dans Arthabaska. «J’ai contacté le parti pour connaître la situation, puis j’ai envoyé mon CV», raconte Jean-Charles Pelland. Voilà pourquoi il apparait à moins de deux semaines du scrutin dans la course. »
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