CONSIDÉRANT QUE le Royaume-Uni et l’Irlande ont tous deux déclaré au sein de leurs gouvernements l’état d’urgence climatique et environnementale, que 256 municipalités québécoises ont adopté la déclaration d’urgence climatique, que 274 696 citoyen-nes Québécois-es ont signé le Pacte pour la transition, et que le 15 Mars 2019, avec 150 000 manifestant-es décompté-es, Montréal a été le berceau de la plus grande manifestation au monde des étudiant-es contre le réchauffement climatique.
CONSIDÉRANT QUE, au rythme sociétal mondial actuel, le GIEC prévoit que le réchauffement climatique dépassera 1,5 °C entre 2030 et 2052, et que ce réchauffement climatique menace à l’échelle mondiale, notre santé, nos moyens de subsistance, notre sécurité alimentaire, notre approvisionnement en eau et notre sécurité humaine.
CONSIDÉRANT QUE ces conséquences peuvent encore être atténuées, à condition que les gouvernements à travers le monde entreprennent tous de profonds efforts et changements afin de limiter le réchauffement de la planète.